FourTris : La guerre Divergent

3 Pourquoi eux ?!

J'entre chez moi... Non mon ancien chez moi.... Je m'attends à voir ma mère ou mon père mais non, je vois Jeanine. Mais que fait-elle chez moi ? Qu'est-ce qu'elle leur veut ?

"Béatrice Prior, dit-elle me coupant dans mes pensées, fille d'Andrew et de Nathalie Prior, je m'y attendais quelque peu...

-A quoi vous attendiez vous ? ma voix n'est pas aussi assurée que je l'espèrais, mais elle ne laisse en rien transparaître ma peur. Tobias entre dans la pièce à ce moment là, il se poste à côté de moi et effleure ma main. Je lâche un vague soupir.

-Divergente, tu es divergente, j'avais mes doutes sur le sujet mais ils se sont révélés être confirmés... me dit-elle en réajustant ses lunettes, Oh mais serait-ce Tobias Eaton ?

-C'est Quatre désormais Jeanine, la coupa-t-il, son visage est celui de Quatre est pas de Tobias, Quatre est froid et dans sa carapace, Tobias est ouvert, tendre et émotif, il n'y a que moi qui connaisse Tobias tout le monde ne connais que Quatre.

-Quatre si tu veux, Elle soupire comme exaspérée de la discussion, Revenons-en au sujet s'il vous plait, elle marque une pause et nous dévisage tous les deux.

-Qu'allez-vous nous faire, je demande ça d'une petite voix presque implorante.

-Ah la pète-sec quelle comédienne celle-ci ! rigola Eric, je ne remarqua sa présence qu'à ce moment là et il ne m'avais pas manqué jusqu'à présent.

-Eric un peu de tenue s'il te plait ! Nous allons vous executer, nous lance-t-elle comme si elle racontait une banalité.

-Mais pourquoi ?! m'écriais-je.

-Elle va se calmer la pète-sec sinon c'est dès maintenant je l'éxecute ! Nous allons vous mettre hors d'état de nuire car vous êtes divergent, donc un potentiel danger, que dis-je non, vous êtes réellement un danger pour la société, donc on tue les divergents pour plus de sécurité, nous dit-il avec une étincelle sadique dans le regard.

-Mais c'est n'importe quoi en qu...je me fais interrompre par une balle qui passe à 2 centimètres de ma tête.

-Maintenant tu la fermes Pète-sec ici c'est nous qui commandons pas toi ! Et puis tu sais quoi ? c'est à ce moment il fait signe à deux gardes en me pointant du doigt, les deux gardes en question s'approche dangereusement de moi.

Tobias m'attrape dans ses bras pour me protèger, je lui souffle un "je t'aime" en le regardant dans les yeux pendant que deux autres gardes nous séparrent et se charge de lui. Il se débat comme il peut mais c'est en vain car nous voila tous les deux à genoux mains derriere la tête attendant la mort. A ce moment précis j'entendis un coup je laissa une larme couler pensant qu'il s'agissait d'une balle qui venait de se figer dans le crane Tobias lui ôtant la vie mais non. Le tireur se révele etre une femme et elle vient d'abattre les personnes supposés nous tuer. Elle nous hurle de la suivre et c'est à ce moment que je la reconnais, c'est elle.

"MAMAN ! C'est bien toi ?!

-Oui mon ange, allez filons pas de temps à perdre !

Je n'y crois pas je dois rêver. Après 10 minutes à courrir, nous nous retrouvons dans une ruelle, à l'extrèmitée de celle-ci se trouve une plus grande avenue qui la coupe.

-Nous allons devoir traverser, ton père, ton frère et quelques autres altruistes sont là-bas, Tobias, Béatrice prêt ?

-Oui, nous répondons d'une même voix.

-1,2, 3 Courez ! nous ne nous faisons pas prier et courrons en face nous toquons au batiment que ma mère nous a désigné durant notre course folle.

Je toque et dis "Ce n'est que nous ouvrez s'il vous plait....." C'est lorsqu'ils m'ouvre que je vois la balle qui touche ma mère à l'abdommen. Mon coeur rate un batement, quelqu'un me tire à l'intèrieur du batiment tandis que Tobias porte ma mère un bras sous les genoux l'autre dans le dos. Je m'assois et me contente de faire le vide dans ma tête... J'entends ma mère hurler de douleur mon père lui souffler des mots doux pendant qu'un autre altruiste fait des pieds et des mains pour oter la balle. Je me ressaisis, m'assieds auprès d'elle attrape sa main et lui apporte mon soutien tandis que Tobias reste derrière moi en me carressant le dos. Après 10 minutes le verdict tombe, l'altruiste affiche une mine pènnée :

"Je suis désolé, la balle à touchée des organes, je ne peux rien faire, je dois arrêter là, continuer serait lui infliger une torture inutile..."

Les larmes coulent, mais je reprends le dessus pour elle, je lui dit tout ce que je ressens pour elle lui fait mes adieux. C'est la pire épreuve que j'ai à endurer.

C'est fini, elle est morte, je pleure, mais m'arrête avant que je ne puisse plus le faire. Nous devons arrêter ce massacre, pour elle et pour mes souvenirs, pour mon enfance, pour ma vie d'antant, mon ancienne faction je ne peux laisser cela durer plus longtemps !

"Nous devons mettre un therme à ce massacre, déclarais-je d'une voix blanche.

-Et comment ? me répondit Marcus du tac au tac, je sens Tobias se tendre derriere moi mais lui attrape la main.

-Nous devons nous rendre chez les érudits, le coeur de cette simulation se trouve là-bas.

-Mais quelle simulation Béatrice explique moi je t'en prie, dit mon père les yeux larmoyant."

Caleb sortit de son terrier, et entreprit d'expliquer avec moi la situation à mon père. Une fois que tout le monde à compris, nous nous concertons à propos de la manière de laquelle nous allons procèder. Nous décidons de nous rendre au QG érudit, d'après Caleb c'est là que se trouve je coeur de la simulation et c'est la que nous pouvons l'arrêter.

Nous nous mettons en route, sortant discretement de notre abris pour aller prendre le train, nous sommes 5. Nous devons y arriver, le QG érudit approche... Nous sautons et ça commence.