Enlacée par le passé

Chapitre VII : Suspicion

Le soir venu, Hermione se prépara, anxieuse à rejoindre Malfoy. Jamais elle n'en serait débarrasser! L'enquiquiner devait faire partie de Malfoy.

Après avoir démêler  sa chevelure, elle repensa à Poudlard. À l'époque ses cheveux étaient un tas de noeuds embroussaillés et fade, à présent ils s'étaient disiplinés et avaient acquis de jolis reflets.

Elle se sentit heureuse du fait que Malfoy ne pourrait plus l'insulter sur ceux-ci, cette fouine incolore.

  Hermione était une femme marquée par le passé et la guerre... une  fine cicatrice s'étalait sur sa joue mais cela lui donnait un certain charme.

Elle la caressa avec tristesse, un joli cadeau de Voldemort, une façon de lui rappelait à chaque instant ce qu'il avait fait.

À Ginny, Ron, Harry et à....

Une larme perla sur la joue de la sorcière.

Une larme de sel, de colère, d'amertume, de mélancolie.... mais aussi une larme d'espoir. Espoir de vengeance.

Elle vengerait la personne la plus précieuse qu'il avait osé lui ôter. Elle et les milliers d'autres âmes enlevées à leurs proches.

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- Rosier... tu as failli me faire attendre...

Drago semblait déjà s'être approprié  la salle commune des serpentards. Trônant dans un fauteuil de velours vert bouteille au broderies argentées...

- Je sais que ma présence t'es tellement agréable mais j'avais d'autres priorités figures toi Peterker.

Drago sourit... d'un rictus pervers et non joyeux.

- je t'en pris, installes toi. À défaut d'être honorable comme tu me l'as si gentiment fait remarquer ce matin, j'ai un certain sens de l'hospitalité.

Étrangement la soirée se passa plutôt bien. Malfoy s'était décidé à travailler et Hermione en était ravie. Leur devoir avançait rapidement malgré les quelques piques que s'adressaient les deux sorciers.

Malfoy sourit, le regard hagard... la Hermione avait la langue afutée à présent. Et c'était même plaisant de voire une fille... enfin une femme.. oui Granger était devenu une femme... avoir une intelligence et une repartie à son niveau.

- Peterker! T'écoutes un peu! Je me demande quelle plante pourrait permettre à la potion de ne pas atténuer les effets de lévitation. Tu aurais une idée?

- Pfff... une mandragore. Cela annulera les effets néfastes.

- Bien sûr! Je l'avais pourtant déjà lu il me semble. C'était évident ....

- Non Rosier. Pas évident. Je suis un génie c'est tout.

Il n'avait pas changer finalement
Hermione répliqua en roulant les yeux.

- Ton arrogance te perdra.

- C'est dans mes gènes très chère... je suis une Mal... Peterker.

C'est étrange Hermione aurait jurer qu'il avait hésiter à dire Malfoy. Sûrement le stress de la mission la rendait paranoïaque.

Après une demi heure de travaille supplémentaire ils avaient enfin finis.

Hermione s'esclaffa d'une remarque de Malfoy quand elle aperçu un regard interrogatif la dévisageait .

Venait de rentrer dans la salle commune Tom Jedusor. Soudain un mélange d'une immense peur et haine s'empara d'elle. Elle foudroya Jedusor d'un regard noir.

Il s'approcha d'eux deux et lança à Malfoy :

" Le nouveau je vais être clair. Ici c'est moi qui fait la loi. Ici c'est chez les serpentards. Et les ennemis des serpentards ceux sont c'est connard de griffiondors. Alors la prochaine fois que tu ramènes cette fille, que se soit une sang pure ou pas, tu auras affaire à moi. Choisis bien tes alliés le décoloré."

Malfoy se renfrogna, humilié devant tous les serpentards... et surtout devant Granger. Mais Jedusor allait devenir Voldemort, il se devait à tout pris réussir à établir une confiance avec lui. Devenant ainsi Le Bras droit, du furtur mage noir.

Hermione se leva en furie et sortit de la salle chancelante.
Elle s'adossa a un mur du couloir et respira un bon coup.
Étrange... il lui avait sembler qu'en repartant, Jedusor avait comme caressait sa main... sûrement le hasard. Elle devenait décidément paranoïaque.

Elle se blottit au creux de son lit, son grand et unique amour, et s'endormit bercée par des pensées étranges.

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Sorciers et sorcières

Voilà un tout petit chapitre... je n'ai pas eu le temps de plus écrire. Excusez-moi. Et merci pour tout!

ColombeDuSoir