Tu es... Mon idole

Chapitre 11: Une proposition ?

Ca faisait une heure que Taehyung était à la maison. J'étais vraiment contente.
Il nous à expliqué qu'ils avaient dû beaucoup performer en peu de temps depuis la sortie de leur nouvel album et c'est sur que ça n'allait très certainement pas s'améliorer vu que ça allait être les cérémonies de fin d'année et leur prochain comeback.

Je suis entrain de lui préparer un café et je lui amène.

- Naomie ? Tu boites ?

- Oh un petit peu, dis-je en posant la tasse fumante devant lui.

- Comment t'es-tu blessée ?

- En danse aujourd'hui. J'étais dans la lune et j'ai fait un mauvais mouvement.

- Il faut que tu fasses attention. Me dit-il inquiet.

Je lui souris avant de m'assoir à côté de lui.

- Ne t'inquiète pas, ce n'est rien de grave.

Il me regarde peu convaincu.

- J'ai eu une idée. Dit-il alors.

- Ah bon ?

- Oui. Je voulais vous proposez quelque chose. Les MAMA sont dans quelques jours et je me suis dit que ça serais bien que tu viennes. Me souris Taehyung. Et Sarah pourrais venir avec nous aussi.

- Oh. J'ecarquille les yeux.

- Oh mon dieu ! S'exclame Sarah !

Je lève la tête vers la porte de la cuisine.

- Je veux venir ! Dit-elle

Il rit.

- Alors vous venez ?

J'acquiesce toujours sous le choc.

***

Ça doit faire maintenant une heure que Taehyung est partit.

J'étais couchée dans mon lit en étoile de mer quand Sarah entre dans ma chambre et se met assise près de moi.

- Tu penses à quoi ?

- Rien de spécial.

Elle se met à rire. Je me tourne vers elle.

- Quoi ?

- C'est bizarre de te voir amoureuse.

- Ah bon ?

- Oui. Tu sais depuis que je te connaîs, tu as flirté qu'une fois avec un garçon mais ça n'a jamais été plus loin.

- C'est vrai. Souris-je. Tu es venue pour me parler de ça ?

- Non. Ma mère m'a envoyer un message donc je me demandais si tu avais eu des nouvelles.

- Non. Ma sœur de temps à autres mais c'est tout. Je n'ai aucune envie d'en avoir.

- Tu devrais peut être leur écrire. Vous ne vous êtes pas quittés en bon terme.

- Ce n'est pas de ma faute. Ils n'ont jamais été capable de prendre soin de leurs enfants.

Mon amie souffle avant de me sourire.

- Je suis heureuse de t'avoir mais tu es une sale tête de mule !

Je ris avant de me redresser et de la prendre dans mes bras.

- Merci pour tout.