Chapitre 18 : Je ne pu m'empêcher.

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Je n'avais aucune idée de ce qui était en train de ce passer dans sa tête..
D'un coup sans plus attendre, il me prit dans ses bras, posa ses lèvres délicatement sur les miennes.
Je me sentis revivre, je ne pensais même plus à Jules. Qui lui devait à cette instant même être en train de coucher avec l'une de ces espagnol de la soirée.
Il souleva mon haut,ses lèvres maintenant sur ma poitrine ne cessaient de m'embrasser, je lui souleva la tête et l'embrassa à mon tour. J'étais de nouveau sur Théo, à chaque croisement de nos yeux l'on souriait bêtement. Je lui fis un énorme suçon dans le cou qui marquait mon territoire. Tout en lui faisant des bisous sur le torse je ne le lâchait pas du regard. Arriver à son caleçon je sentis une enorme bosse.
Je lui ôta son caleçon et fis des vas et viens avec ma bouche qui le rendait fou. Il passa sa main dans mes cheveux en les tirant de plus en plus fort à chaque mouvement de ma part.
Je me retira et il me monta dessus brusquement pour me m'embrasser , me faire deux trois suçons à son tour. Sa main si douce descendais lentement jusqu'à mon intimité pour laisser entrer quelques doigts qui me mettais dans tout mes états.
Il fini par enlever ma culotte , et se coller accompagné de son sexe contre le mien sans pour autant y rentrer.

Théo : Tout va bien se passer me t'inquiète pas Lou.
Me dit en me le chuchotant à l'oreille.

J'avais peur, je ne savais pas pourquoi ça allait être ma première fois avec Theo j'apréandais, ça avait du ce voir pour qu'il me dise ça.
Il me mordilla la lèvres inférieur , et il entra en moi lentement. Une main accrochant ses cheveux si doux et l'autre agrippant son dos. Il y alla un peu plus fort, mes gémissement eux aussi étaient de plus en plus fort. Ne voulant plus nous arrêter l'on s'embrassaient longuement .
J'aimais la façon dont il s'y prenait, c'était si intense , si parfait.
Il fallu un moment nous arrêter n'étant pas protégé.

On se rabilla puis l'on parla un peu de la soirée avant de s'endormir les bras l'un dans l'autre.

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