Clara est chez elle. Rien ne semble perturber son week-end. Quand tout à coup arrive un vieil ami; le Docteur. Elle décide alors de visiter le XIXème siècle en sa compagnie dans le but de rencontrer un auteur français; Emile Zola. Mais tout ne se pa...
Le ciel gris assombrissait la cité. La pluie tombait. Les gouttelettes coulaient le long de la vitre, parallèlement à l'aiguille de l'horloge affichant dix-sept heures trente. L'air, légèrement humide, très léger et frais, entrait rapidement par l'espace entre le sol et la porte d'entrée. Il ne faisait pas très froid dans l'appartement, le chauffage était parfaitement bien réglé.
Clara se sentait parfaitement bien. Allongée, les pieds croisés, sur le canapé dans son salon, elle se plongeait totalement dans son livre. Professeur, elle adorait lire toute sorte de littérature. À ce moment précis, la jeune femme lisait un ouvrage d'Emile Zola, un auteur français. Sans avoir fini de lire son roman, elle s'arrêta.
La jeune professeur regarda par la fenêtre. Il ne cessait pas de pleuvoir. Elle avait eu envie, en ce samedi, de sortir voir une amie. Mais il avait plu toute la journée et elle avait préféré rester, bien au chaud, lisant et buvant un thé. Le thé ? Oui, elle l'avait oublié. Elle se leva rapidement et se dirigea vers la cuisine. Ça lui était complètement sorti de la tête de retirer son thé du feu. En voulant le retirer, elle faillit se brûler et lâcha un petit cri. Versant ensuite son thé dans une tasse grise, elle s'assit à la table de la cuisine.
Quelques minutes plus tard, alors qu'elle s'approchait lentement de sa tasse, prête à boire, elle crut entendre un bruit. Puis elle se dit que ce n'était rien. Elle se rapprocha à nouveau de sa tasse. Mais plus elle s'approchait, plus le son devenait puissant. Ce bruit familier, qu'elle connaissait assez, revenait.
C'était le Tardis. Le Docteur sortit de celui-ci. Clara soupira et se leva, en direction du salon, où avait atterri la cabine bleue. Elle regarda le Docteur.
« Dites-moi Docteur, c'était trop vous demander de pouvoir boire tranquillement un thé ?
-Oh tu veux du thé ? On peut aller sur la planète du thé si tu veux ! Dit-il en tournant sur lui-même et en observant le plafond.
-Non, je ne veux pas aller sur la planète du thé... Mais par contre si pouviez reposer cette porcelaine... Affirma-t-elle inquiétée par le fait que le Seigneur du temps touche à certaines de ses affaires fragiles, ce qu'il fit immédiatement.
-Alors où voudrais-tu aller ? Non, laisse-moi deviner ! »
Il se dirigea vers le canapé et en prit le livre sur le canapé pour le regarder. Il plissa légèrement les yeux et dit :
« Emile... Zola. Emile Zola. »
Puis il se retourna vers Clara et lui demanda, d'un air interrogateur :
« Emile Zola ?
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-Oui, Emile Zola. Qu'est-ce qu'il y a ?
-Vous voulez aller en France ? Demanda-t-il.
-...Oui, pourquoi pas ? »
Il se souvint alors d'une fois où il avait été en France avec Amy, et fut triste l'espace d'une seconde. Mais il se reprit.
« -La France, c'est ennuyeux ! Pourquoi aller en France ? Dit-il en jetant par dessus son épaule livre qu'il tenait.
