Chapitre 8:(correction)

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Ma tête me faisait affreusement mal, mes oreilles bourdonner et je n'arrivais pas à ouvrir les paupières. Mon corps paraissait peser une tonne et était engourdis et je n'arrivais pas à bouger. 

Quand je pu enfin ouvrir les yeux, la lumière des néons m'aveugla, je clignais plusieurs des paupière pour essayer d'acclimater ma vue à la lumière environnante. Il me fallut plusieurs minutes pour reprendre mes esprits. Je me trouver dans une pièce qui ressembler à un garage mais je n'en étais pas sur. J'avais les mains et les pieds liés à une chaise.

En tout cas, ils n'y avais pas de fenêtres, les murs avaient une couleur étrange, on aurais qu'ils étaient recouvert de sang séché. Au mon dieux, du sang !! Je ne savais pas ou je me trouver mais la seule chose au quel je pensais était de savoir comment j'allais sortir d'ici. Je devais me sortir de la. 

Après m'être tortillais dans tout les sens possible et avec les poignets entaillaient à cause des liens qui me retenaient prisonnière, je me rendis à l'évidence, je ne pouvais pas sortir d'ici. Une larme coula le long de ma joue, puis une autres. En quelques secondes, se fut un torrent de larmes qui se déversa sur mes joues. J'étais apeurée, effrayée, je n'avais qu'une seule envie, rentrer chez moi et me blottir sous ma couette. Qu'est ce que j'avais fais pour mériter ça ??? Ce n'était pas possible, ce n'était qu'un cauchemars. Voilà simplement un mauvais rêve. J'allais me réveiller bientôt et tout cela aurais disparus. Je serrais dans ma chambre et sous ma couette. Je fermais les yeux. 

Ce n'est qu'un mauvais rêve, tu vas te réveiller. Ce n'est qu'un mauvais rêve, tu vas te réveiller.

Cette phrases je me la répétais depuis pratiquement une heure. J'essayais de garder espoirs malheureusement la conclusion que j'avais trouvé pour me rassurer était de moins en moins probable. Je chercher encore et encore une explication à tout cela, quand soudain, ma joue s'enflamma et ma tête partit en arrière. Je venais de me prendre une claque. Ce coup me ramena à la dur réalité, ce n'était définitivement pas un mauvais rêve, tout ce-ci était bien réel.

- et bien tu es enfin réveiller me dis la personne qui venais d'entrer dans la pièce.

Je n'osais pas relevais les yeux vers l'homme qui se tenait devant moi. J'étais encore plus pétrifiée qu'avant, mes larmes redoublèrent d'intensité. Que me voulait-il ??

- bien c'est elle repris l'homme en s'adressant à une autre personne qui devait se trouver derrière lui. Je ne l'avais même pas remarquais.

Une femme s'avança vers moi et m'obligeait à redresser le tête. Elle m'observa pendant de longue minute sens enlever les doigts de mon visage.

- tu n'as vraiment pas de chance, tu vas devoir supporter ce connard pour toujours

- ferme là et fais ce que je te demande.

Sa prise sur mon menton se fut plus forte, c'est yeux changèrent de couleur pendant quelques secondes puis en un instant plus rien. Elle me relâcha, puis partis sens même se retourner. Ma tête tourner, tout autour de moi tourner et mes paupière se fermèrent toutes seules. Je sombrais dans le sommeil.

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Quand j'ouvris les paupières, les rayons du soleils baigner la pièce dans une lumière cuivré intense. Je du plisser les yeux pour pouvoir m'accommoder à la luminosité. Je ne me rappelais pas tout de suite comment j'étais arrivée ici. Après quelques minutes à observer tout autour de moi tout me revins en mémoire. La pièce si étrange, la gifle Hayden et la jeune femme.

La chambre dans lequel je me trouvais était grande, immense même. Il y avais un dressing miroirs en face du lit sur lequel j'étais assise. Deux petites tables de chevets de chaque coté sur lequel reposer des lampes en aciers tordu dans tout les sens. Ces lampes étaient particulières mais cela ne dénoter pas avec le reste de la pièce. Sur le coté, d'immenses bées vitrées illuminaient toute la pièce et en contournent le lit, derrière une demie pan de mur, se trouver une grande salle de bain avec une baignoire, qui n'aurais pas dénoter dans un château. Elle était dans le travers de la salle d'eau. Dans la carre du mur se trouvait une douche italien. La chambre était magnifique, elle était tout l'opposée de la pièce dans lequel je mettais trouver tout à l'heure.

Je me levais et étirais mes muscles endoloris. J' entrepris, de défroisser mes vêtements pour leurs redonner un peu de forme sans grande réussite. Le reflet que je vis dans les miroirs n'était pas beau à voir. Mon teint étais si pale qu'il en devenait presque gris. L'endroit ou Hayden m'avais frappait avais pris une teinte bleuté et me faisait affreusement mal. Le simple fait de penser à lui me donner la nausée. Je n'avais qu'une seule envie, partir d'ici pour rentrer chez moi voir mes parents qui devaient être mort d'inquiétude et oublier tout ce qui venait de se passer. Malheureusement j'en étais incapable. Mon corps refuser catégoriquement d'obéir à mon cerveaux. A l'intérieur de moi tout se confondait et se mélanger , j'étais tiraillée entre mon envie de partir, de m'échapper de cette prison et cet autre sentiment que je ne comprenais pas qui me poussais à rester près d'Hayden malgré tout le mal qu'il avait pu me faire. J'étais comme clouée sur place par une immense force invisible. Je ne le connaissais à peine, je ne connaissais rien de lui et en plus il était en train de foutre ma vie en l'aire mais le simple fait d'évoquer la possibilité d'être loin de lui me retourner l'estomac. Ce n'était pas normal, rien n'était normal et enfaîte je n'étais pas normal comment pouvais je ressentir un manque sans lui.

Je devais trouver un moyen de partir mais surtout de contacter mes parents, il devaient être mort d'inquiétude et moi je n'avais qu'une envie les prendre dans mes bras et oublier toute cette histoire. Je balayai  la pièce des yeux à la recherche d'un téléphone mais il n'y avais rien. Cela aurais était beaucoup trop facile. Je me dirigeais vers la porte et l'ouvrit avec la plus grande des précautions, en espérant faire le moins de bruit possible. Sur la pointe des pieds, je traversais le couloirs. Tout était silencieux, la maison était vide. Il devait sûrement m'avoir laissé seule, je descendis les escaliers.  Le pièce dans lequel je me trouvais était vraiment très grande et luxueuse. Je remarquer une grande bée vitrée. Sens détailler plus la pièce dans lequel je me trouvais, j'avançais à travers le salon le plus discrètement possible ; je fis glissais la porte fenêtre. Le vent glacé me frappa le visage et un frisson remonta tout le long de mon corps. Devant mes yeux s'étendait une immense foret parsemé de petites maisons.

Je me laissais glisser le long de la fenêtre et relevais la tête. Je fermais les yeux et soupirais. Qu'est ce que je vais faire maintenant ? Perdu dans mes pensées je ne remarquais même pas la présence de quelqu'un derrière moi.

- qu'est ce que tu fais la ?

Le jour ou je t'ai rencontré [En Pause ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant