Chapitre 28:

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Je m'exécutais, une immense cabane se matérialiser devant mes yeux.

- WAHOU!!!

- je savais que ça allais te plaire.

- C'est vraiment magnifique.

- tu veux monter???

- oui,bien sur.

Nous montâmes l'échelle. Arrivaient en haut, il m'ouvrit la porte et me laissa passer. L'intérieur était très cosy, avec beaucoup de coussins et de couvertures. Je restais debout en plein milieu du mini salon sans trop savoir ou me mettre. L'espace entre Aron et moi était restreint et cela me mettais mal à l'aise. 

- alors qu'est ce que tu en pense ?? 

- c'est très jolie et original.

- original ? Qu'est ce que tu veux dire par la . me demanda t-il

 - oh ce n'était pas une critique, je trouve juste sa; peu commun. Je pensais être la seule à adorer les cabanes dans les arbres, dis je tout en rigolant. J'en avais fais une quand j'étais petite avec mon père. 

Il me sourit, mon corps s'embrasa. Je n'avais qu'une envie me blottir dans ses bras.

- Cette cabane je les construit quand j'étais enfant avec mon père. Cela faisait longtemps que je n'y était pas retourné. Quand j'étais plus jeune, c'était un peu mon jardin secret. 

- Moi aussi j'en est construit une avec mes parents, je devais n'avoir que 6 ans. C'est un beau souvenir. 

- tes parents de manquent???

- oui beaucoup. Je baissais la tête et cligner des yeux pour éviter que mes larmes coulent. Aron  poussa un grognement animal  et se rapprocha de moi sans même que je m'en rende compte. Je sursautai . 

- excuse moi, j'avais oublié que les loups se déplacer très rapidement.

- je suis plutôt discret comme mec. 

 Je souris à mon tour. Nous n'étions cas quelques centimètres l'un de l'autre. Nos souffles se mélangés. Aron m'effleura la joue du bout des doigts.

- je suis désolé que tu ne puises plus les voir. 

- j'aurais aimé les revoir avant qu'ils ne partent pour toujours, leur dire que j'allais bien et que je les aimais.

- Humm, tu sais je pense qu'il veille toujours sur toi même si ils ne sont plus là. Je..... j'ai perdu mes parents à l'âge de 5 ans et j'ai été recueilli par les parents d'Hayden. Mon père était l'alpha de cette meute et à sa mort il m'a confié à son meilleur ami le père d'Hayden. Il savait qu'avec eux, je serais en sécurité et qu'il m'apprendrait à devenir un homme pour que des que j'aurais l'âge requis pour être alpha, je puisse diriger ma meute.

J'étais émue par ce qu'il venait de me dire. Avec tout ce qui venait de m'arriver, j'avais oublié que les personnes qui m'entouraient pouvaient eux aussi avoir des problèmes. Jamais je n'aurais pensé qu' Aron se confierai à moi.

- désolé, je ne savais pas pour la mort de tes parents. Cela a dû être dur pour toi. Mais si tu es sensé être l'alpha de cette meute pourquoi tu ne l'as dirigé pas? Demandais je.

- les choses ne sont pas si facile Lena. Très vite Hayden a montré de très grandes capacités pour devenir alpha et il a naturellement pris ma place et pour tout te dire cela ne m'a pas plus dérangé que ça. Personne ne sait que je suis l'alpha légitime et personne ne doit le savoir. Cela risquerais de détruit complètement la meute. Alors ne le répète à personne okay.

- euh oui je ne dirais rien. Ça reste entre nous.

- tu sais, même si mon père à toujours rêvé que je reprenne sa meute, je sais qu'il ne m'en veux pas et qu'il veillera toujours sur moi comme tes parents Léna.

Je pleurais encore, j'en avais marre d'être si émotive mais ce que venait de me dire Aron faisait remonter en moi beaucoup trop d'émotion pour que je puise me contenir. Il avait raison, mes parents veillerait toujours sur moi quoi que je fasse.

Un long silence s'abattit dans la cabane. Cela ne me déranger pas, le simple fait d'être près de lui me rendais joyeuse.

-Léna

-oui

- je t'aime.

Il l'avait dit. C'est trois petits mots cela faisait tellement longtemps que je rêvais qu'il me les dise et il venait de le faire.
Cette pensé me fis rougir. J'essayais de cacher mes joues avec mes cheveux malheureusement, Aron  le remarqua.

- pourquoi tu rougie me demanda t il tout en posant ses mains sur mes reins.

Mon cœur se mis à battre anormalement vite, mes joues devinrent rouges écarlates. Ses mains sur ma peau envoyaient des décharges électrique dans tout mon corps.

Il pressa c'est mains contre mon dos. Je me retrouvais collé contre son torse, les mains sur ses épaules. Ma respiration s'accélèra. Mes yeux rencontrèrent les siens. J'étais incapable de les détournaient, j'étais complètement hypnotisé. 

Il caressa ma joue avec son pousse et il posa ses lèvres sur les miennes. Pour approfondir son baiser,il me pressa encore plus contre lui.

Le jour ou je t'ai rencontré [En Pause ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant