Charlena !

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Charlina ? Charlena ?
On va arrêter ce débat sur les noms. Vous avez compris, voilà la fin du Silena/Beckendorf ! 
Attention, il y a beaucoup de changement de PDV dans ce chapitre.
On ce retrouve comme toujours, à la fin !
Bonne lecture. 

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Je regardais la voiture de mon père disparaître au loin. 
Je poussais un soupir. 
Le soleil se couchait et j'étais devant les bois de la colonie.
Mon père m'avait forcé à quitter mon lit. 
J'attrapais ma valise du bout des doigts, puis je la traînais difficilement, toujours en soupirant. 

En passant sous l'arche de la colonie, je remarquais les premières étoiles qui apparaissaient dans le ciel.
Les pensionnaires devaient être au réfectoire, comme je n'ai pas faim, je vais directement aller au bungalow, dans mon lit. 

Je posais ma valise dans un coin de la pièce et je m'écroulais sur mon lit, je ne prenais même pas la peine d'enlever mes chaussures. Je fermais doucement les paupières, pour sombrer dans un sommeil profond.

                                                                                           ***
Pdv Charles. 

Je regardais mes frères et soeurs. 
Ils étaient tous en train de parler et de rigoler, autour de la table d'Héphaïstos. 
C'était étrange, d'habitude, nous sommes silencieux, nous pensions à notre projet ou nous écrivons les dernières modifications. 
Ce qui est encore plus étrange, c'est qu'ils m'éloignent de toutes les conversations, ils le fessaient peut-être involontairement, mais quand même...

Finalement, je réussis à capter l'attention de John et Maria. 
-Pourquoi, personne ne me parle ? demandais-je.
Ils se regardèrent. 
-Euh... Pourquoi tu dis ça ? 
-Parce que c'est la vérité, aucun de vous ne me parle depuis une vingtaine de minutes, quelque chose ne va pas ? 
-Bien sûr, que non, dit Maria. Tout va bien. N'est-ce pas John. 
-Ouais, tout va bien et toi ? 
-Bas... Oui, si mes frères et sœurs ne me cachent rien. 
-Tu as une petite mine, dit doucement Maria. 

Silena... 
Elle me manque déjà, je l'ai quitté il y a quatorze heures seulement et je meurs déjà d'envie de la revoir. 

-Je préférais quand personne ne me parler, dis-je finalement.
Ils se regardèrent rapidement.
-Pourquoi ? Qu'est-ce qui t'arrives ? dit gentiment Maria. 
-Rien. Rien qui vous regarde, en tout cas. 

Les Héphaïstos travaillent toujours ensemble, dans le silence ou dans la bonne humeur, les personnes extérieures ne pense pas que nous sommes souder. Pourtant nous le sommes autant que les Athéna ou les Apollon 
C'est pour cela que ma réponse provoqua, un blanc à notre table.

-Tu es déprimé ? 
-Hein ? Non. Bien sûr que non, niais-je. 
-Comment on guéri, une dépression ? demanda Halley.
-On va chercher un Apollon ? proposa Lisa.
-Où ont lui dit, une bonne nouvelle c'est cool !
-Non ! On a dit demain matin, rouspéta Tiffany.
-Mais...
-STOP, coupais-je. Déjà, je ne suis pas en dépression, je... Je suis juste un peu triste, d'avoir quitté une certaine fille. Ensuite, qu'est-ce que vous devez me dire ?
-Fille ? Raconte ! dit Maria.
Je secouais la tête de droite à gauche.
-Désolé, mais je ne dirais rien, avant de savoir.
Ils se regardèrent et Tiffany hocha la tête.
-Tu es le nouveau conseiller en chef des Héphaïstos, dit Tiffany.
Je restais légèrement choquer, je savais qu'ils en avaient parlé avant mon départ, mais je ne pensais pas, qu'ils me choisiraient vraiment...
-Donc, cette fille ? demanda John.

Un doux sourire s'installa sur mes lèvres.
-Je crois que je l'aime. On sait rencontrer à cause d'un de mes demi-frères mortels. Il a renversé la glace d'une petite fille, cette petite fille en question était avec sa sœur et une amie. La sœur était au téléphone, je crois, donc j'ai eu affaire à l'amie.

Je ricanais légèrement.
-Elle sait légèrement énervée au début, puis on a parlait, je lui ai acheter une glace, puis, le cinéma, puis la plage, le baiser, ou les baisers, et l'au revoir... finis-je avec un sourire triste.     
-C'est triste, commenta Maria. 
-Mais, mignon, ajouta Tiffany. Tu vas la revoir de toute façon ? Tu as son numéro ? Même si tu ne peux pas l'appeler, tu peux utiliser un téléphone jetable et... 
-Elle n'a pas de portable, coupais-je. 
Marc leva la tête, avec un grand sourire. 
-J'approuve cette fille. Tu nous l'as présente quand ? 
Je fis les gros yeux. 
-Tu penses que je vais lui parler de 15 frères et sœurs en plus, enfin, maintenant ? Elle serait choquée. Je vais attendre un peu, genre, quelques mois... Si elle ne me prend déjà pas pour un fou quand je vais lui parler de mon père. 

Maria me regarda avec tristesse. 
-Les mortelles... soupira-t-elle.
Son copain l'avait jeté, quand elle lui avait annoncé, il l'avait traité de folle, tellement de fois, qu'elle commençait à le croire. 
Les personnes de son lycée c'était donc rapidement intéressée à elle, le harcèlement avait commencer, puis elle avait débarquer ici, sa mère voulait qu'elle retrouve ses racines,c'est une permanente maintenant . 
Je sais qu'elle à peur de retourner dans ce monde, le monde des mortelles. 

                                                                                         ****
Pdv Silena : 

Je marchais en direction du réfectoire, j'étais avec ma demi-sœur, Stacy. Elle avait quelques semaines de plus que moi, ne me demander pas, comment cela est possible...
Elle me parla de tous les évènements que j'avais loupés.
Je lui parlais de mes vacances, sans omettre Charlie.  
Elle voulait le voir. 
Malheureusement, je lui ai demander d'attendre, c'est vrais, ce n'est pas parce qu'on a eu des rendez-vous et que l'on a échangés quelques baisers que nous sommes forcement en couple, je ne sais même pas, s'il va m'attendre, peut-être qu'une fille dans son école, attirera son attention. Peut-être qu'il me lâchera un '' Restons amie'' l'année prochaine... 
Ce serait horrible. Parce que, bon, je dois bien me l'avouer, je l'aime. 

-Pomme ou poire ? demanda Stacy. 
-Pomme, encore et toujours. 
Un Héphaïstos me bouscula. 
-Je suis désolé, Silena, je ne t'avais pas vu... Je ne savais pas que tu étais rentré... 
-Je suis rentrée, hier soir, Marc, dis-je simplement. 
-Vraiment ? Je ne t'ai pas vu... 
-Normal, j'ai était directement me coucher... 
-Mais... 
Il m'attrapa le bras. 
-Tu ne sais pas qui est notre nouveau conseiller en chef ! Je dois absolument te le présenter, tu vas l'adorer. Il est très gentil... 
-Peut-être mais... 
-BECKENDORF ! Cria Marc. 
Beckendorf ? Charlie ? 

Je regardais la direction que Marc m'indiquait, quand le jeune homme se retourna, je plaquais ma main sur ma bouche avant de rire nerveusement. 
L'homme avait les yeux arrondis et me regarder avec un léger sourire. 
-Qu'est-ce qui t'arrives ? demanda Marc. 
Le jeune homme se leva et arriva vers moi. 
-Fils d'Héphaïstos, dit-il simplement. 
-Fille d'Aphrodite, dis-je comme réponse. 
Il me sourit avant de se pencher vers moi, pour m'embrasser. 
-Alsace ? 
-Floride ? 
-Silena, dit-il avec un sourire rêveur. 
-Charlie... 
-Marc. On m'explique ? 
-C'est elle, dit-il simplement. 
-Et c'est lui... 
-Et je comprends toujours rien. 
Nous ricanons avant de nous embrasser de nouveau. 

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Fin de tree-shots !
À bientôt.


OMGGG ! Je viens juste de me rendre compte que je n'avais pas poster ce chapitre ! Pourquoi vous ne m'avez rien dit ? :o ! 

Os-Percy JacksonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant