L'erreur

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Affolé, robert débarqua dans la chambre.

Après un court silence de stupeur, du en première partie a cette situation embarassante et, aussi l'inesperance d'être déranger.
Tout est alors allé très vite Anne épris de peur, projeta violement luc qui se retrouve au pieds du lit. Elle saisit sa culotte qu'elle passa tres rapidement , lança à luc son caleçon, puis se couvra d'un drap.

- mais bon sang!! Robert, que fait tu là? Demande Luc, qui vient de recouvrer ses esprits.

- c'est... C'est.... Sophie. Je crois qu'elle est morte.

- Quoi !? Dirent les deux.

- oui, enfin c'est ce que je crois car, on était en train de danser quand, je lui ai avoué mes sentiments. Elle était très contente. Après on s'est embrassé et c'est en ce moment qu'elle s'est sentie mal. Je l'ai fait asseoir un petit moment, pour voir si elle se calmera mais rien à faire, elle me disait qu'elle manquait d'air. Je l'ai alors emmener prêt d'une fenêtre hors de la pièce, espérant qu'elle irait mieux. C'est là qu'elle est tombé dans mes bras. Et m' à fait peur est qu'elle ne respirait plus.

Anne se rhabille alors rapidement et, demande à Robert oú était Sophie. Il lui indiqua le lieu. Dans une hâte folle  elle sortie de la pièce.
Elle saisit son téléphone et appela Nestor ( le père de Sophie)qui n'était pas loin, mais juste en réunion quelques étages en dessous.
Arrivée sur les lieux elle vit une équipe des urgences et, Sophie assise au milieu d'eux. Elle s'approcha.

- Aii ma soso! ça va?
- elle répondi doucement d'un mouvement de tete
- dites-moi monsieur qu'à telle ? S'adressant au secouriste.
- elle a fait une chute de tension dû à stress émotionnel , mais maintenant son état est stable elle va mieux.
Au même moment, Nestor, le père de Sophie arriva. Il fit le point avec les secouristes sur l'état de santé de sa fille.
- votre fille monsieur, va bien mais, nous vous conseillons de la faire reposer au moins deux jours.
- OK bien monsieur j'y veillerai. (Se tournant vers Anne) Anne stp, aide moi à porter ta copine.
- évidemment.

Luc qui venait d'arriver dans la salle avec Robert, observa le départ de Anne et s'empressa de saisir un bout de papier sur lequel il écrivit un mot, puis, le passa à un des serveurs pour qu'il le donne à Anne.
Anne, de son côté, une fois sortie, s'apprêtait à montée dans la voiture quand le serveur l'interpellat puis lui remis un bout de papier. Elle le reçu mais, le mit immédiatement dans son sac.
La voiture démarra et ils s'en allèrent....

Une fois chez Nestor , ils allongèrent Sophie dans son lit et Anne, se coucha auprès d'elle pour veiller sur elle.

Quelques heures plus tard, Anne fut réveillé par le bruit que faisait le téléphone de Sophie. Elle y jeta un coup d'oeil.
- Quoi !? 35 appel en absence !? Mais robert tu exagères. S'exclama t-elle tous bas pour ne pas réveiller sa copine qui dormais profondément.

Elle jetta un coup d'oeil à l'horloge, il était 2h 54min. Elle commençait à sentir la faim donc, elle déscendi doucement à la cuisine, au rez-de-chaussée, pour trouver quelque chose à grignoter. Elle ouvri le réfrigérateur, pris un briques de lait, trouva du pain à côté, dans une garde manger, saisit une tranche de jambon puis de la mayonnaise et se fit un sandwich.
- '' ah quelle soirée de dingue. Au début je voulais juste m'envoyer en l'air et rien de plus. Mais me voilà maintenant... Je suis là à boire du lait et à jouer au nounou Avec Sophie.

Elle s'assied, pris un gorgé. En redéposant le verre sur la table elle entendu un bruit qui venait du salon. Épris de peur et decida d'aller voir ce que c'était.

Toute tremblantes elle s'approcha du salon et au fur et à mesure qu'elle s'approchait le bruit s'intensifient. La voilà maintenant au pas de la porte. Elle soupir un coup puis entre armé de ses sandales. Puis.. BAM, BAM, BAM. Elle commence à taper sur celui qui se trouvait en face dos à elle.

- Qui êtes vous et que faites-vous vous ici ?

- Anne ! C'est moi Nestor !
- Oh c'est vous ? Je vous avais prise pour un voleur. Excusez moi.
- Non ma belle ne t'en fais pas je ne sent même presque plus de douleur.
- Et si je n'abuse pouquoi êtes là tapis dans le noir au lieu d'être sur le lit entrain de dormir.
-ma femme est morte d'une hypertension artérielle il y'a quelque année, à cet époque, la médecine n'était pas très avancé et moi j'avais pas un sous, de surcroît le traitement coûtait chère. Quand la santé de ma femme se dégradait, j'ai tout fait pour réunir la somme de son traitement qui valait 1,5millions. Malheureusement le jour où j'ai finis par avoir la somme, ce jour j'étais très content et je me disais que tout était fini. Je me suis précipité à l'hôpital et au même moment j'ouvrais la porte, elle rendait son dernier souffle.... Me laissant juste pour seul mots d'adieu un papier sur lequel était écris prend bien soin de notre fille veille à ce que rien ne lui arrive et toi, garde moi à jamais dans ton coeur.......... Je me suis effondré sur le sol, j'ai pris ma fille et j'ai juré ce jour là que plus jamais rien de pareil ne m'arrivera. Et cela a toujours été le cas jusqu'à aujourd'hui. Je t'avoue qu'en voyant Sophie etandu sur le lit m'as rendu très impuissant..... Et..... Et.... ( il éclate en sanglots)

- non Nestor ce n'est pas de ta faute.
Il continue de pleurer, alors, elle l'enlace tout en le calmant..... La, la, la, la.......
Nestor perdu dans sa mélancolie tire un peu sa tête vers l'arrière, ouvrit les yeux, regarda un moment Anne dans les yeux puis,  approche délicatement sa bouche de la sienne et commença à l'embrasser.
Anne dans un premier temps surprise par la situation peinait à lui rendre son baiser mais, très rapidement ses pulsions sexuelles de la veille reprirent le dessus. Alors, elle saisit sa tête et dans un fouge singulière, lui rendit son baiser.
Il l'allongat alors sur le sofa, la déshabilla délicatement, se déshabilla à son tour puis lui fit l'amour comme jamais on ne lui avait fait.........mmmmmffff.

Le matin venu, Carole la domestique de la maison, comme d'habitude rentre au salon pour faire le ménage. Elle arrive toute en sifflotant une mélodie quand.... Coup de théâtre elle tombe sur une scène pas commode au salon. Anne allongé au côté de Monsieur, tout les deux en tenu d'adan. Elle manque de près l'infarctus en entendant Sophie descendre les escaliers en appelant son père.

A suivre

Anne Où les histoires vivent. Découvrez maintenant