Chapitre 8

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Chapitre 8

Nous ne vivons dans un monde que de fou où les plus malin sont mal traité et où les racailles de bon village sont élu rois du cartier . Le monde est tellement peuplé d'idiot que l'homme est effrayé des plus malin « L'homme a peur de l'inconnu » et donc ce débat contre eux des moyens qu'ils disposent .

La pluie tape contre mon corps et laisse une silhouette apparaître de le brouillard .

Je respire calmement et sereinement .au rythme du chant de la pluie mon cœur s'emballe et mon esprit déraille .

Pendant que mes larmes coulent le long de ma joue mes pensées se perdent le long des gouttes de pluies .

Et j'oublie , j'oublie encore . J'oublie qui je suis ou plutôt que j'ai été pendant cette période . C'est tellement perturbant de ne se souvenir que d'une seule soirée durant toute une année . Cette soirée où j'ai lus ce livre et cette phrase dont je n'ai pas parlé  mon paternel « Nous sommes tous un jour forcé de revenir à la réalité »

Cette phrase qui m'a fait revenir d'entre les morts , si nous pouvons dire ça . Cette phrase qui me tourne dans la tête , cette phrase que je veux oublier . Oublier comme tout le reste de cette année . Pourquoi ça doit-etre moi et pas un autre ? Pourquoi pas quelqu'un qui le mérite , avec des amis et une famille , avec de l'argent . Quelqu'un qui est mort dans un accident , a cause d'une certaine maladie . Quelqu'un qui n'a pas demandé ni une seule minute ni un seul instant à mourir ?

Et j'entends encore mon père répondre à cette question …

«  Parce que tu dois te venger , contre ta vie »

Comment suis-je sensée me venger contre quelque chose qui n'est pas hommes ni objet , que l'on ne peut voir ni sentir ? Que personne ne sait concrétiser ?

AnarchieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant