chapitre 35

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Il est quatre heure du matin et aucun bruit de résonne dans la pièce. Le noir contrôle tout mon entourage , je suis aveuglée , comme si la vie devait être ainsi je souris . En plein milieu de la nuit et des personnes endormies de ce pensionnat une seule souri , moi . Je suis éblouie par la beauté que peut être le noir , silencieux et endormant . Et pourtant , dans toute cette noirceurs on ne sait pas ce qu'il s'y cache , peut-être que dans ma chambre rode des âmes vagabonde , mais je n'en ai pas peur. Nous sommes tous effrayé par quelque chose , je suis effrayée par le temps , et dans certaine circonstance , lorsque j'entends les pensées ou bien que j'imagine du sang sur mon corps ou encore quand j'ai des visions du passée . A ce moment là , j'ai peur de ma propre personne , tout ça parce que je suis différente . Je suis comme tout ces gens , j'ai peur de se qui est différent . Mais pourtant le noir est différent de la lumière et celui-ci ne me perturbe pas . Je suis sur que dans ce noir , au coin de la chambre ou bien grâce au fenêtre est installé un petit brin de lumière perdue .

Et malgré mon cauchemars , je fini par me rendormir accompagné de cette petite lumière quelque par dans ma chambre .

Quelques heures plus tard , j'ai passé ma matinée en cours et il est temps pour moi de rejoindre cet endroit appelé «  cafétéria ». Léa encore une fois n'est pas présente avec moi à table , elle c'est fait de nouveau ami et m'oublie au fil du temps . Mais son ventre commence a devenir de plus en plus volumineux et d'ici quelque mois elle devra avoir un enfant à ça charge , comme les adultes .J'ai beau lui dire qu'il faut qu'elle le fasse adopter , rien ne change , elle veut cet enfant .

Tout le monde rejoint la cafétéria où il est interdit de bavarder , ils sont tous en ligne parfaitement droite pour rejoindre les cuisinières qui servent leur plat . D'autre change de direction pour aller s’asseoir , souvent se sont des filles qui préfère prendre des médicaments que de manger de peur de grossir . Je pense qu'elles ont peur d'avoir un corps de femme et de dépasser leur taille 32 .

Alors que Damon s'assied avec moi , nous discutons brièvement , car le silence est obligatoire .

    -Ivy , j'ai besoin de te parler . Rendez-vous après les cours sur le banc .

    -D'accord .

    Profitant du regard dissipé des professeurs il attrape délicatement ma main sous la table et la caresse en me regardant tendrement .Je fini de manger et accompagnée de Damon je me dirige vers ma sale de cours .

Les cours une fois terminé , je me dirige comme prévus sur le fameux banc .

    -Enfin tu es là , dit-il soulagé .

    -Oui , mais pourquoi tu m'as appelé ?

    -Je pense qu'il est temps que je t'avoue quelque chose , pourquoi je fuit le directeur et pourquoi avec toi il n'est pas des plus gentil .J'ai discuté avec ton père mais aussi avec le mien . Il faut qu'on les mette en contact . Mon père est avec tout ces délinquants en prisons pour avoir été accusé d'avoir tué le directeur de cet école . Eline je suis au courant que lui aussi est mort . C'est horrible ce que je t'explique là mais nos père était ami et ont commis un meurtre . Par contre , j'ai discuté avec mon père et il veux que j'aille le voir avec toi pour plus de détails . On doit y être dans trente minute .

     Je ne dis rien , ces paroles ont suffis . Je l'accompagne dans ce taxi après avoir prévenu les gardiennes que nous devons sortir pour raison personnelle . Le taxi roule et dans celui-ci aucun bruit . Il règne une légère tension entre nous , le conducteur chantonne un air de Jazz . Le vieux cuir des sièges parait abîmé , dans les quelques trou qu'il y a on observe une mousse jaune en sortir . Une fois le trajet terminé nous payons le conducteur et sortons du taxi.

        Devant nous est installée un grand immeuble de pierre grise où l'on peut distinguer certain cris . La grille devant la porte se fait ouvrir pour nous laissé rentrer . Dans une sale certain discute et d'autre pleure , ils sont tous en manque l'un de l'autre derrière leur paroi de verre , ils doivent se parler avec un téléphone des année 80 où est sûrement intégré des milliers de microbe .

            Une personne différente de tout ces autres prisonnier approche, il est le seul a sembler « normal » comme on dit , ces cheveux brun sont bien coiffé et il n'a aucun tatouage ni aucun piercing comparé aux autres de cette pièce .Le policier qui l'accompagne parle plus fort , «  Vous avez 20 minutes » . C'est donc ça ? Damon n'a droit qu'a 20 minutes par semaines avec son père qui n'a apparemment rien fait .

          -  Bonjour Damon , et toi je suppose que tu es Eline , je suis désolée de t'embarquer dans un endroit comme ici , c'est pas vraiment bien décoré . Dit, il avec humour .

           - Pas de probléme . Pourquoi vous m'avez appelé ?

    Nous parlons nous aussi au travers se téléphone .

    -Il est temps que tu sache , c'est horrible a dire comme ça mais .. ton père est malade , il est fou . C'est lui qui m'a poussé a tuer l'ancien directeur . Il m'a regardé dans les yeux et ensuite m'a donné des médicaments , j'étais jeune et idiot j'ai accepté je pensais que c'était une sorte de drogue , juste un truc pour rigoler . Et bien non , il m'a forcé a tuer le directeur , et je ne m'en suis même pas rendu compte .

    Le long de ma joue coulent des larmes salée à l'entente de ces quelques paroles , mon cœur lâche . Mon père est malade mental . __________________________

    BON VOILA UN BIIIIIG CHAPITRE POUR VOUS .Pour me pardonné d'avoir été tellement absente ces dernier temps . Mais j'ai énormément a faire :) ( examen de repassage ) d'ailleur je m'en vais travailler . A bientot , dans le prochain chapitre . Et un énooorme merci pour les 1500 vues , franchement ça me fais chaud au coeur *o* .

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