Et cette enfant qui agonise sur le sol essayant tant bien que mal de s'en sortir , mais je lui aie brisée 2 cotes dont l'une d'entre elle a perforée un de ces organes vitaux . Elle profite de son dernier souffle pour s'en aller et moi , pour partir du couloir veillant à ne laisser aucune trace d'ADN .
Encore une fois , la police examine l'enfant quelque minute plus tard , interroge tout ceux qui l'on vue pour « la dernière fois » vivante, soupçonnant toute les personnes possible .
Je croise Léa dans le réfectoire qui me parle de ces meurtres .
-Tu imagine ? Quelqu'un dans l'école est suffisamment fou ou folle que pour tuer des enfants ,des jeunes filles de 14 ans .
Je la regarde , les trais tiré et le teint pale , les yeux gonflé et mon esprit enterré . Elle remarque mon absence vis à vis de ce qu'elle à dit et me demande de la suivre , ce que je fais . Elle m’emmène dans une chambre , une chambre que j'ai déjà vue , elle est scellée et le sang seché sur la porte qui est toujours aussi effrayante , la chambre du meurtre du directeur , 614 .
-Je suis désolée Eline , je suis au courant que c'est toi . C'est toi qui comment tout ces meurtres et je ne supporte pas de voir dans ton regard autant de haine .
-Mais .. que ce que ?
Je n'ai pas le temps de réaliser qu'elle m'enferme dans cette salle , la chambre 614. Quelqu'un y est mort et ça ne sera sûrement pas le dernier à y mourir . Je ne crois pas tout de suite que Léa sois capable de m'enfermer dans cette chambre . Je me lève pour ouvrir la porte mais celle-ci est verrouillé , elle l'a fait . Mais la porte est tellement vieille , elle ne tiendra pas le coup si je décide de la fendre . C'est alors que de toute ma force je frappe dessus jusqu'à me faire saigner . Rien , pas une fissure , la porte est intacte . Dans le noir , je continue de frapper cette porte espérant ne serait ce qu'un brin de lumière s'échappe d'une fissure , mais rien . Juste ce bruit au fond de la pièce , il à l'air plus loin que les murs que je suppose à deux mètre de moi comme les autres chambre . Le souffle se rapproche de moi , je sens une chaleurs se déposer sur mon épaule laissant la terreur m'accabler .
-Bonjours Eline .
Je me retourne brutalement laissant un cris strident sortir de ma bouche .
-Qui es-tu ? Dis-je en hésitant .
-Ton pire cauchemars
-Je n'ai pas peur .
-Tu en a pourtant l'air Eline .
Je ne répond pas , tout ce que je constate c'est que dans se noir intense deux yeux qui sont les sien reluisent .
-Suis moi , ordonne t'il .
-Je devrais suivre mon pire cauchemars ?
-Cette pièce est encore pire que ton pire cauchemars.
-Bien .
Il me fait marcher , me tenant à lui pour ne pas foncer dans un mur car le dans le noir , ce qui est normal , je ne vois rien .
J'ai l'impression que cette chambre fait de nombreux kilomètres et non quelque mètres . Léa m'a envoyer dans un endroit tellement hostile , elle doit vraiment me détester . Ce qui est compréhensible , j'ai tuer . J'ai détruit une vie qui n'avais rien demander , j'ai fais ce que je me suis fait . Elles n'avaient rien demandé .
Nous sommes arrivé à destination , une toute petite bougie éclaire un centimètres autour d'elle même , ne laissant apparaître que les murs de pierre et le visage de mon hôte toujours dans la plus grande obscurité je ne le vois pas .
-Mange ça ! Me dit -il brusquement.
-Que ce que c'est ?
-Mange !
-ok...
Je tient dans ma main une matière douce et fragile , elle à une odeur particulière . On dirait une sorte de champignon .
-Pourquoi je dois manger un champignon ?
-Tu le mange et tu la ferme .
-Ok
Je croque une fois dedans ayant peur de toute les réactions que pourrais avoir mon corps , mais rien ne se passe . Mes yeux se lasse toute doucement et mon esprit va rejoindre le pays de mes rêves en quelques secondes , se champignon m'a endormit .
J'ai décider que chaque soir j'écrirais une lettre pour Damon , espérant que mes pensée l'atteinte . Aujourd'hui j'ai écris cela , « Cher Damon , je ne sais pas quel temps il fait dehors ni où tu te situe dans le monde mais je sais une chose , je suis perdue tu vois?Tu entends de là ou tu es mon corps jaser sur le sol , mes larmes rouler sur ma joue ? Tu entends mon âme dépérir et mes pensée à mettre au banc ? Non .. tu n'entends rien de tout ça . Mais je suis absente , je ne suis plus celle que j'étais , ton absence me détruit à petit feu de l’intérieur et ta présence à ravivé la flamme de la vie que j'avais décidé d'éteindre à jamais . Goodbye, Eline . PS : vivre sans toi m'est devenu impossible .
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Anarchie
ChickLitVous n'imaginez pas l'ampleur de vos mots . Ce jour là ,j'y suis arrivée , j'ai réussis à disparaitre . Mourir pour moi était devenue la seule solution . Et pourtant ... cette phrase m'a réveillée , je suis revenue quelque mois après mon enterrement...