Chapitre Final .

257 9 6
                                    

Le lendemain , j'entends malgré moi le bruit des chiens policier et le sons des voix stricte des policiers . Hier , je me suis dénoncée , j'ai décidé de mettre fin à toute cette histoire , j'ai décider d'accepter se que je mérite .

Les policiers armer et munis d'un bouclier entre en enfoncant ma porte , comme si j'allais me débattre . Mais j'ai simplement l'air seule , encore plus seule que d'habitude. Au milieu de cette chambre , un carton à la main je regarde autour de moi la larme à l'oeuil . Les policer aussi ne comprennent pas , il pensait avoir à faire à une folle , quelqu'un de fort , quelqu'un d’armé , de musclé , sûrement avec une apparence «  Gothique » comme on dit , mais rien de tout ça n'est moi . Je suis juste cette jeune fille perdue au milieu de ma chambre admirant la facilité des gardiens de la lois à me joindre les mains dans le dos pour les attacher avec cet objet enroulant mes poignets , il est tellement serré qu'on croirait qu'ils ont peur de ma fuite , mais ça n'arrivera jamais . Ma meilleur amie m'a dénoncer certes , mais il ne savent pas que j'ai accepté ma peine . J'admire tout autant leur regard sans émotions que leur façon de citer monotonement «  Tout ce que vous dites peut être retenu contre vous devant le juge , vous avez le droit de vous munir d'un avocats » et un tas d'autre choses sur les droits humains et les risques de longue pénitence dont je vais souffrir . Moi je trouve plutôt que cette prison va être un médicament , une façon de tout oublier ainsi que de tout recommencer , surtout d'oublier le départ de Damon .

Je sors de ma chambre accompagnée de Léa , le directeur ainsi que les policer . Je passe devant toute l'école ,tout le monde à le temps de voir qu'ils m’emmènent en prison et de se posé un milliard de question. Je pense définir se moment comme «  La honte de ma vie » voir tout ces regards sur moi , cet air triste et parfois des rires sur le visage des adolescents en me voyant est une honte intenable.

Je sors de l'école et je suis forcé à rentrer dans la voiture au feux bleu bitonal accompagner de deux agents de police . Je n'ai pas l'autorisation de saluer Léa une dernière fois ni de la remercier .

Assise sur cette banquette en vieux cuir synthétique derrière ces barreau de protection observant les policier devant moi un sur son téléphone portable et l'autre conduire je ne me sens pas énervée comme à mon habitude , en effet plus on se rapproche de la prison mieux j'ai l'impression de me sentir . La climatisation est activée suffisamment fort que pour me donner une légère démangeaison à la gorge et me faire toussoter . Alors que je tousse , le policier se retourne mécontent me faisant comprendre de ne pas remuer de trop , je pense qu'ils sont nerveux à l'idée de m'avoir dans leur voiture .

Le trajet n'est pas long mais suffisamment que pour m'assoupir, se que je n'avais plus fait depuis longtemps .

Je rentre dans ce grand établissements et dois subir une conversation entre policer qui ne me laisse pas indifférente .

-Qui est ce cette jeune fille ? Demande le gardien .

-Encore une adolescente en détresse . Répond le policer

-Encore ? Mais c'est la deuxième cette semaine ! L'autre était un garçon qui avait fait brûler son école .

Alors qu'après la conversation je passe dans les couloirs , j'entends mon cœur battre de plus en plus , je sens mes poils s’iriser et mes jambes flageoler sans comprendre pourquoi , je me souviens seulement de cette sensation , quand je sentais son bras autour de moi , quand je voyais ces yeux posé sur moi, quand ces douces lèvres se posaient sur les miennes , elle est similaire a celle que je ressens à présent , mais pourquoi ?

Ils finissent par me plaquer au fond d'une pièce à barreaux , cette pièce est froide et lugubre , les agrainer cohabitent avec les humains et les rats font des courses dans le couloir . C'est un endroit des plus horribles que je connaisse et pourtant , je n'arrive pas à retirer se sourire de ma bouche . Je m'assieds sur le lit en plastique gris regardant les autres punit par la lois , je n'en vois aucun , ils sont tous enfoui au fond de leur cage dans le noir .

Malgré se noir , ses rats , ses insectes ,ses gardiens,le fait que ça ne soit que son ombres , le fait que ses cheveux sont décoiffé , le fait qu'il ne sourie pas , le fait qu'il ne me voit pas , le fait qu'il est anéstésié au fond de sa cage , je le vois . Je le vois comme un humain , comme un sage , comme un dieu , comme se qu'il représente pour moi , comme tout se qu'on à vécu ensemble , comme un frère , comme un ami , comme un père , comme se qu'il est , Damon .

Quand je me rends compte qu'il est situé juste dans la cage en face de la mienne et qu'un petit mètre nous sépare , se liquide chaud sors de mes yeux pour couleur sur ma joue et s'enfouir sur le sol désinfecté de la cage . Tout doucement des petits «  Damon » sortent de ma bouche . De plus en plus fort , de plus en plus rapidement je crie son prénom jusqu'à ce que ..

-Eline !

À partir de ce moment , les grilles ont disparue , les rats se sont enfouis , il ne restait plus que lui et moi enfoui l'un dans l'autre respirant à l'unisson . Et depuis tout ce temps , tout ces jours enfermé dans se noir à lui écrire sans aucune réponse et tout ses meurtres commis pour la faute de son absence me rendant littéralement folle je peux enfin lui déposer un baisé délicat sur ces lèvres .

J'ai vus la lumière , un grand flash . J'ai ensuite vérifié qu'il était toujours à mes coté et j'ai marché avec lui , lentement nous avons marcher ensemble vers cette lumière qui semblait nous appeler .

Aucun juge ne nous verrons jamais nous défendre pour nos crime , aucun de nos amis ne nous verrons jamais pleurer devant eux d’être enfermé dans cette prison , aucun professeur ne pourra venir nous donner de vieille interrogation ou nous rappeler de vieux souvenir , nous avons atteins le bonheur total , le summum, le plus grand , le plus fort , le plus haut bonheur . Nous sommes mort ensemble , heureux dans cette prison . La mort est revenue me chercher mais cette fois , heureuse . C'était ça l'objectif du fait que j'ai été réssucitée , etre heureuse .

«  Nous sommes tous un jour forcé de revenir à la réalité » La réalité est le fait que je suis morte et que toute cette histoire n'a sûrement été construite que par mon subconscient reposant dans ma tombe en attendant un nouveau corps à habiter , rêvant de vivre à nouveau . Rien de tout cela n'a existé .

AnarchieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant