Deux Coeur , Pour Un Destin

chapitres I : la malédiction

On raconte qu'en haute mer vivent de belles femmes aux corps de poissons surnommé « Sirènes » .
Ces femmes ont toujours fait partit de nos légendes et nos contes pour enfant mais existe-t-elle vraiment ?
Lorsque, par une nuit d'orage des pécheurs, des marins s'aventurent en pleins mer non loin des côtes, dans des endroits semés de rochers ou d'écueils, ils entendent au loin au large dans le clapotement des flots, des vagues des chants aux charmes irrésistibles. Attirés par leur accents magiques, les marins perdent touts sens d'orientation. Leur détresse compose un délicieux encas pour ces magnifiques jeunes femmes au visage angélique , a la peau de soi, doter dune chevelure ressemblant un rideau de velours soyeux au couleurs éclatante , nul ne pouvait résister a leur beautés , et ces hommes aveuglés par leur envie de chère ne voyer qu'en elle un dons du ciel , une offrande avant leur mort imminente .
Gardant toujours dans l'eau le bas de leur corps, elles s'approchaient tout doucement de la barge en chantant .Grace a la douceur de leur voix et la grâce de leur gestes elles hypnotisaient les marins , qui veulent les rejoindre se penchent jusqu'a tomber a l'eau ou des bras au teint de porcelaine les attendait , les sirènes les embrassant les entrainait dans les profondeur sombre de la mer a tout jamais.
Rare ceux qui survivaient puisque la trompète faisait chavirer les barques, bateaux ou encore des navires sur les récifs ou ils se fracassaient.
On dit que le baiser offert par ces demoiselles leur permet de prélever l'essence de la vie, l'âme humaine. Ce baiser tendre et profonds absorbe toute la force vital du marins jusqu'a en laisse qu'une craquasse vide, morte...
Mais un jour une des sirènes prénommé Yoldesse qui n'était autre qu'une des filles de la reine enfreins une des plus importante règle de ne jamais tomber amoureuse d'un humain ... Yoldesse folle d'amour pour son beau Elia White aux yeux océan avais été capable de tout pour le rejoindre et vivre heureuse dans ses bras, c'est pour cela qu'elle fit un pacte avec la sorcier des océans, un pacte qui lui permit d'avoir une apparence humaine et de rejoindre leur monde, mais en faisant ce pacte Yoldesse jeta toutes sa famille et son peuple dans une terrible malédiction qui les condamné à disparaitre l'une après l'autre et son âme a airé a jamais sans repo dans les ténèbres. Mais la pauvre Yoldesse arriva trop tard pour gagner le cœur de son beau prince qui c'était déjà lié a une autre avant qu'elle ne puisse ce révélait a lui ...
Ivre de chagrin et avec un petit être grandissant en elle notre petite sirène ne savais plus quoi faire, elle ne savait plus ou elle en était, et donc elle décida d'aller voir la sorcière et lui demanda d'annuler leur pacte puisque son beau Elia l'avait oublier et choisis une autre, Yoldesse voulais donner sa vie en échange de l'annulation du pacte et de la survie dans son enfant. Mais la sorcière ne pouvait annuler un pacte celé avec du sang tout ce quelle pouvait faire c'était plongée toutes les sirènes et Yoldesse dans un profonds sommeille jusqu'à ce que leur décadence puisent vivre cet amour défendu et les délivrent de ce sortilège.
pendant que Yoldesse serra plonger dans un sommeille profonds la sorcière prendra soin de son enfant jusqu'aux jours ou arrivera leur sauveuse. Mais Yoldesse mit au monde un garçon et non pas une fille folle d'inquiétude de ne plus pouvoir annuler cette malédiction qui pesée sur sa tête mais la sorcière la rassura en lui disant que même si elle mit au monde un garçon elle finira par avoir une fille comme descendante, puis elle prit une des mèches de feu de Yoldesse et la jouta dans un chaudron en s'exclament :
De l'union de deux amoureux, au jour qui ta confié au monde,
Su soleil recevant l'hommage des planètes,
Cèlent ton destin à tes dix-sept-ans,
Tu as cru dans la voie de ton évolution,
Puis-tu trouver celui qui complétera ta destiné,
Selon la loi qui t'avait fait paraitre, tu délivreras les tiens d'un sommeil aussi doux que la mort ;
Tel tu dois être, échapper tu ne peux a toi-même,
De longtemps l'ont affirmé ta venu, ta destiné fut tracer,
Lorsque, par un décret des puissances suprêmes celaient par le sang,
La jeunesse de tes aïeux ne fut qu'un ténébreux orage de souffrance,
Que ceux que tu sauveras dorment ensevelit dans les ténèbres et l'oubli, bien loin des vérités et des sentiments,
La mer est ton miroir en elle tu retrouveras ton âme,

J'unis deux âmes, un cœur de neige à la force d'un lion, que cet amour éclose d'une lumière céleste,
Ensorcelé-seront, enchainer sera leur sort,
Par un regard le décompte de la malédiction s'amorcera,
La passion leur donnera la force,
Les baiser au parfum doux tel un secret provoquera leur perte,
Hier s'est mise en route, le présent s'impose et le future s'écrit,
Maint fleur épancher à regret ces serments, ces baiser infinis ; renaitre-ont-ils se qui a disparu dans un gouffre infinie
Il est inutile de fuir ce qui ne peut l'être,
Ou se trouve ton cœur tu dois être,
Tel tu dois être, échapper a ton destin tu ne peux l'étre,