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Deux semaines que tu ne me parlais plus, plus aucun mot, lettre, sourire, et même le moindre regard.

Je ne savais pas ce que tu avais, nous étions si bien tous les deux. Aucune prise de tête, rien, nous étions comme deux copains avec des manières plus intimes. Mais tu n'es plus revenu vers moi, plus après ce qu'il s'est passé entre nous.

T'en voulais-tu ? Regrettais-tu ? Etais-tu gêné ? Ou alors avais-tu juste profiter de moi comme un jouet et m'a laissé tout seul quand tu avais eu ce que tu voulais ?

J'attendais toujours les réponses à mes questions que seul toi peut me donner, malheureusement je ne les ai toujours pas entendu sortir de ta bouche. Ta bouche si belle que j'avais toujours envie d'embrasser, que j'ai embrassé et dont je ne pouvais plus me séparer.

Tu hantais mes pensés jours et nuit, à la maison ou au lycée. Et je me sentais toujours un peu plus mal quand je passe dans le couloir des sciences le vendredi pendant la première inter-classe en même temps que toi et que tu ne me jettes même plus un regard. Tu marchais la tête haute, regardant droit devant toi comme si les personnes autour de toi, que ce soit des terminales comme toi ou des premières années comme moi, n'existaient pas.

Assis à la table de la cuisine, le nez dans mon cahier d'histoire, j'essayais de me concentrer le plus possible sur ma leçon pour avoir une bonne note au prochain contrôle. Cependant, je n'y arrivais pas. Je n'arrivais à rien. Mes proches me demandaient souvent si j'allai bien. Qu'est-ce que je pouvais répondre ? Même moi, je ne savais pas vraiment comme je me sentais et ce que je ressentais.  

Je me suis endormi sur la table, la tête entre les bras, rattrapant mes heures de sommeil en moins et je fus seulement réveillé par mon père le soir lorsqu'il rentra du travail.

Et tu sais quoi ? C'est que je ne me sentais même plus mal de savoir que, encore une fois, tu n'étais pas venu.  

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Oui j'avais dit un chapitre hier soir mais j'ai eu la flemme

NOT.COME. | SUKOOKOù les histoires vivent. Découvrez maintenant