Chapitre 8

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Tjrs Pdv Mïkel

Bah mon choix est fait si j'ai attendu 6 ans pour venger mes parents alors je peux attendre encore un autre 6 ans pour le moment il faut que je suis sauve Maëlyah

Kais: Pose ton arme

Si je pose mon arme rien me garantis qu'il ne tira pas sur Maëlyah, mais je le fais quand même, il pointe son arme sur moi mais il se distrait en regardant une femme qui pleurait parce que son mari est mort j'en profite pour ramasser mon arme et lui tire une balle dans la jambes, il relâche aussitôt Maëlyah toujours inconsciente, je la prend dans mes bras, ce connard de kais s'est enfuit, je porte Maëlyah jusqu'à la voiture et m'assure qu'elle n'a pas reçu de balle, je m'aperçois qu'elle est très pâle et froide, je démarre et l'envoie à l'hôpital.

Une fois arrivé les médecins la prenne en charge, les infirmières me faisaient les yeux doux mais j'y faisais pas attention putain mais qu'est ce qui m'arrive? Depuis quand je ne suis pas près draguer moi?, un médecin vient vers moi

Médecin: Mr Mïkel c'est vous?

Moi: Bah ouais

Médecin: Mademoi...

Moi: Madame Ramzir

Médecin: Madame Ramzir à une baisse de tension et a reçu un coup sur la tête...

Moi:QUOI?

Médecin: Monsieur calmez vous votre femme n'a rien de grave juste une petite plaie sur la tête, j'ai aussi remarqué de nombreux bleues sur son corps et une cicatrice très profonde, êtes vous l'auteur de tous ces bleues? La cicatrices ne peut pas venir de vous puisqu'elle date de longtemps

Moi: Vous êtes malade vous? Tshipp est-ce que je peux la voir?

Médecin: Oui elle s'est réveillé il y a un instant

Mïkel: Ok

Le médecin me demande de remplir quelques papiers ce que je fis avant de rentrer dans la chambre qui lui a été administré, je prends une chaise et m'assois près de son lit, elle ne dit rien et reste figé

Moi: Maëlyah

Maëlyah:.....

Moi: Oh je te parle

Maëlyah:....

Moi: C'est à moi que tu mets des vents là?

Maëlyah:......

Je lui met une grosse gifle, elle se tient la joue, une larme coule sur sa joue puis deux et c'est partir elle pleurait

Maëlyah:Je..veux....rentrer...chez...moi *bégayant *

Moi: Vas y lève toi

Elle part se changer puisqu'il lui avait mise une roche d'hôpital quoi, au bout de deux minutes elle revient puis on part

Dans la voiture s'était le silence total

Moi: Tu sais estime toi heureuse que je t'ai choisis toi par rapport à ma vengeance

Maëlyah: TU SAIS QUOI? JE M'EN FICHE J'AURAI PRÉFÉRER ÊTRE MORTE J'ÉTAIS MÊME PAS CONSCIENTE QUAND TU AS FAIS TON CHOIX À CAUSE DE TOI CET IMBÉCILE A..A failli *voix cassée* me violer

J'ai faillis m'étouffer avec mon chewing-gum

Moi: QUOI?

Je me gare puisqu'on n'était déjà arrivé chez moi elle n'a pas pris conscience qu'on n'était pas chez elle, je descends et elle reste dans la voiture, j'ouvre sa portière

Moi: Descend de là

Elle descend

Moi: Répète moi ce que ta dis dans la voiture

Je voyais déjà les larmes lui monter aux yeux

Maëlyah: Il..il..a failli abusé..de..de moi

Moi: COMMENT ÇA FAILLI IL L'A PAS FAIT?

Je sais pas ce qui me prenait mais j'étais hors de moi ce fils de pute à oser porter ses pattes sur elle, rien que l'idée qu'il puisse poser ne serait-ce qu'un doigt sur elle me vénère je sais pas pourquoi

Maëlyah: Lorsqu'il...a voulu...me...pénétr...tu as crié mon et il m'a frappé à la tête...et je me souviens plus de rien à par mon réveille

Elle était mal ça se voyait, je sais pas ce qui me pris mais je l'ai prise dans mes bras et lui est caressé les cheveux, elle entoure ses bras autour de ma taille

Pdv Maëlyah

Je me sentais bien dans ses bras, lorsque je lève la tête nos regards se croisent, son regard était mystérieux ça se voyais qu'il cachait beaucoup de chose dans son Coeur, ses yeux verts me transperçaient l'âme, il arrive à lire en moi mais je crois qu'il a peur de je ne sais quoi, il avance sa tête vers la mienne et pose ses lèvres sur le miennes oh my god il est embrasse trop bien sa langue vient enlacé la mienne, nos langues entamaient alors une danse sensuelle, Mïkel se mit à me caresser et me faire des bisous dans le cou ça commençait à être chaud je le repousse pour prendre mon souffle

Moi: *essoufflé * Mïkel...on peut...pas

Mïkel: Mais...si

Moi: Non pas avant le mariage

Mïkel: C'est bon là tu m'as soulé, il aurait du abusé de toi de toute manière tu l'a déjà fais non puisque t'es une pute

Alors la il m'a choqué son changement d'humeur la il m'a aussi blessé, je marche vers la maison et je me rends compte qu'on n'est pas dans mon quartier, je vois en face de moi une immense villa, j'ai ouvert la bouche tellement j'étais étonné, mais je me retourne face à lui et dis

Moi: Ramène moi chez moi

Mïkel: 1 tu me donnes pas d'ordre 2 tu vas dormir ici parce qu'il est 3h tu matin et 3 tu serais bientôt ma femme alors tu devrais t'habituer à cette baraque mille fois mieux que le trou où tu vis bref

Moi: TU SAIS QUOI? JE TE HAIS PETIT SALAUD , ESPÈCE DE PD

J'ai pas mesuré mes paroles il m'envoie une gifle directe et m'attrape par les cheveux puis me traine dans la maison où il me donne un coup de pied dans le ventre

Mïkel: TU PRENDS LA CONFIANCE MAINTENANT HEIN? MOI CHUI UN PD? SALE PUTE ON VA VOIR SI JE SUIS UN PD MOI

Il me prend le bras, me traine jusqu'à sa chambre, non non il peut pas me faire ça il n'a pas le droit je me suis mise à pleurer comme jamais, il me donne un second coup de poing dans le ventre, j'ai crié à perdre mes cordes vocales je crois que la plaie de mon accident s'est ré ouverte, il se mit à m'embrasser de partout, je me débattais mais face à Mïkel qui a un corps 3 fois plus musclé que le mien je peux rien, il se mit à me caresser la jambe...

Mon mariage forcé avec ce psychopathe: Qu'est ce qui pourrait être pire?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant