xix.

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« — avant c'était différent.
   — comment ça ?
   — avant j'étais pas amoureux.
   — ferme ta gueule, théodore de la fontaine. et remplit mon verre, poète de mes couilles. »

théo rigole et secoue la tête. il attrape le verre de grognon et le remplit à nouveau.

« — on devrait aller dormir, j'suis au bout de ma vie là.
— bonne idée. répond liam en attrapant le verre et le vidant d'une traite. aide moi à me relever, dieu de la poésie.
— t'es pire qu'insupportable. se pleins le plus vieux en aidant liam. »

théo passe le bras de liam par dessus ses épaules et commence à traverser les couloirs jusqu'à la chambre de son ami. arrivez devant le lit, théo le lâche et le pousse sur le matelas.

« — aide moi. liam tend ses bras vers le brun pour qu'il tire sur ses manches.
— déshabille toi tout seul, j'suis pas ta mère. »

liam roule sur le lit pour finir par s'écraser par terre et commencer à enlever ses chaussettes à l'aide de ses pieds. théo soulève son t-shirt sans aucune sensualité et reste coincé dedans. décidément, ils sont vraiment bien bourré. après cinq minutes d'intensité sportive, les deux garçons s'écrase en caleçon sur le lit de liam, regardant le plafond.

« — va fermer les stores. ordonne liam au plus vieux.
— non, j'aime bien dormir avec les stores ouverts.
— va fermer les stores.
— nan, c'est ta maison.
— va-
— mais ferme ta- »

liam pose sa main sur la bouche de théo et approche sa bouche de son oreille pour lui chuchoter sensuellement.

« — va fermer les stores. »

liam rigole. théo lui donne un coup dans les côtes. liam couine.

stupid and gayOù les histoires vivent. Découvrez maintenant