Le secret d'Henri - Fanfiction

Chapitre 7 - Scène 1

(NA : Cette fan fiction reprend l'histoire à partir de la fin du chapitre 6 du secret d'Henri. Il est peut être plus judicieux de le visionner avant de lire ma fiction :))

Pvd Lyla, dans sa chambre, seule.

Des dizaines de sentiments contradictoires se bousculent dans ma tête, et je suis incapable de rertenir mes larmes. Les images me reviennent toutes en tête sans que je ne sois capable de contrôler quoi que ce soit. Henri qui me traduis cette chanson, me donnant l'illusion d'une parfaite déclaration d'amour... Henri sur le point de m'embrasser... Henri qui me demande de tout oublier. J'ai longtemps cru qu'il n'arrivait simplement pas à deviner la réciprocité de mes sentiments. Mais les faits sont là, j'ai fais mille et un signe, et pourtant il continue d'agir de la même façon. J'ai sincèrement l'impression qu'il se joue de moi. Sans que je ne m'en rende compte, une larme tombait sur mon téléphone. Quel cretin !

Je baisse les yeux sur la goute qui glissait sur mon écran, et mon attention se porta sur la notification qu'on pouvait y lire. Un message d'Henri. Mon pauvre petit cœur s'affole, refusant probablement de voir la vérité en face. Henri ne sera jamais prêt à avoir plus avec moi.

Henri :  Je suis désolé. Il n'y a rien que je déteste plus que de te voir pleurer si ce n'est de savoir que c'est moi qui provoque cette peine...

J'ai probablement du relire ce message cinq ou six fois avant de verrouiller mon téléphone à nouveau. J'ai essayé de me coucher pour m'endormir, en vain. Je commençais enfin à somnoler quand Alex rentra dans ma chambre.

Alex : Lyla? C'est toi que j'entends sangloter comme une préado qui a trop regardé Titanic ?

Je sursaute.

Lyla : Je... Non mais...

Inutile de mentir. On doit probablement ne voir que mes énormes yeux brillants et mon nez dégoulinant.

Lyla :  C'est Henri... Il...

Alex : Encore ce geek?! C'est son nouveau passe-temps de te rendre triste ou je rêve?

Lyla : Je... J'ai... C'est que...

Ma gorge est trop nouée et de toute façon mon cerveau est bien trop embrumé pour former une phrase cohérente. Alex a poussé un grand soupire avant de venir s'assoir près de moi. Au final, ni lui ni moi n'avons plus parlé, et tout ce que je sais c'est qu'il a veillé sur moi aussi longtemps qu'il l'a fallu pour que je m'endorme.