Alyson Wegner

Chapitre 2 : le monstre

PDV Alyson

J'avais repris mes esprits. J'étais par terre, à la fois effondré par la peur, la tristesse et la fatigue. Je n'avais qu'un espoir : me réveiller dans mon lit après cet horrible cauchemar. Mais, rien. J'avais beau me pincer, me mordre rien ne se passa.j'était toujours effondré et en pleure dans le parc désert. J'étais une criminelle, rien de plus. Je me demandais ce qui aller ce passer. J'allais être envoyé en prison pour toujours et je n'allais plus jamais revoir mon père.

Mon père. Si j'avais besoin de quelqu'un aujourd'hui, c'était bien de lui.

Je me redressai fatiguer. J'avais une douleur, comme un élancement, dans le dos. Avec efforts, je rentrai chez moi en ignorant les regards intriguer qui de dirigeaient vers la fille au T- shirt brûlé par la foudre.

Mon père n'était pas dans le salon quand je suis rentré mais je me suis dit qu'il devait être à l'étage. Cela valait mieux pour moi car je ne voulais pas qu'il voit mon état. Le plus discrètement possible je parti dans la salle de bains.

Ce que je découvris dans le miroir m'effrayai. Ce n'était rien de plus que mon portrait, allez vous me dire, mais là, c'était différent : j'avais une mine déplorable. D'ordinaire, je suis blonde foncée, ai le teint plutôt bronzé, des yeux bleus et un maquillage soigné. Mais la on aurait dit que je sortais d'un film d'horreur ( ce qui n'est pas tout à fait faux) : mes cheveux avaient les pointes cramé et étaient emmêlés comme jamais. J'avais la peau noire de sui et les yeux gris et tristesse. Je me mis à fondre en larmes, ce qui n'était pas du tout mon style, soit dit en passant. J'étais parcouru de frissons et de tremblements tellement fort que la pièce vibrait de tous ces mur. Enfin c'était ce que je croyais. Ma deuxième hypothèse fut qu'un tremblement de terre s'était déclenché. Paniquer, je sortis en trombe de la pièce et vous avez le droit de ne pas croire ce que je vais vous dire, car moi non plus je n'en croyais pas mes yeux: au dessus de ma tête, ce trouvait le ciel. Le toit avait été arraché ! Mais le plus surprenant c'est que en plus du ciel, je pouvais apercevoir une chose difforme et vivante : un monstre !!!

Il devait faire à peu près 4 mètres de haut, avait des jambes d'homme particulièrement poilus et une tête de taureau. Le buste, quant à lui, était un mélange des deux. Je le reconnue tout de suite ( quelle coïncidence ! Encore heureuse d'être une spécialiste de mythologie) : c'était le Minotaure. Il tenait quelque chose dans sa main ( ou sabot; comme vous voulez ), je découvris avec horreur que c'était mon père ! Je n'avais plus qu'un réflexe : le combat. Je saisis la seule arme à ma disposition, des couteau de cuisine, et me précipita vers la bête. Je lançai alors, un par un , les couteaux en visant son cœur, mais cela ne fit que l'énerver encore plus. C'est alors que sous mes yeux terrifiés, arracha la tête de mon père et le dévora. Je ne pouvais plus bouger. J'avais perdue toutes raisons de vivre. Je sentais mon âme quitté peu à peu mon corps quand soudain, le monstre me saisit par la taille et , sous le choc, je m'évanouis.