Death

Chapitre 10: Visite inattendue

Après que Louis m'ai ramené jusqu'au porche de l'immence demeure. Je suis directement allée rejoindre ma chambre, pour me recroqueviller devant ma porte, en repensant au doux baiser que j'ai reçu. Je repassa mes doigts sur ma bouche qui était encore rouge du baiser.  Je me posai tellement de question "Est ce que je vais le revoir, en dehors du lycée?" ; "Ce baiser est-il réel?"; "Suis je tomber amoureuse?"; "Qu'est ce que je reprèsente à ses yeux?"; "Une proie de plus ou...?". Je ne sais plus où donner de al tête. A force de penser, j'ai passé une nuit blanche, sans me nourir et me dévétir. Quand, je repris conscience de mon léger traumatisme, que ma causé ce simple baiser, un silhouette masculine était en face de moi, c'est Chad. 

Chad: Alors, qu'est ce qui t'arribe?

Moi: Je ne sais pas. Il mit sa main sur mon front.

Chad: T'as pas de fièvre! Une dépression? Il s'assit près de moi, d'ailleur, je me demande comment, il est rentré dans la chambre.

Moi: Non, au contraire. Pff.. Je crois que je suis amoureuse.

Chad: Oh! Tu réagis bizarement.

Moi: Ouais, je me demande pourquoi?!

Chad: Qui est l'heureux élu de ton coeur?

Moi: Louis Knight!

Chad: Celui là! C'est un vrai tombeur, avec les filles. Il a, je ne sais pas combien de conquête déminine. Et, je parle que de cette année, t'as pas choisi le plus fidéle.

Moi: Qu'est ce que ça peut te faire? Je fais comme je veux. Je n'y peut rien, si je suis sa partenaire véritable.

Chad: C'est une blague?!

Moi: Non! C''est même Althéa qui me l'a dit. Elle l'a su par son don de voyance.

Chad: Merci, l'extralucide.

Moi: T'as pas à te plaindre. Elle n'y peut rien, je l'aurai découvert un jour ou l'aurez, avec ou sans son aide.

Chad: Je n'en doute pas! Ça fait juste un peu tôt, pour toi. En tout cas, je te souhaite bonne chance avec lui. Je ne veux pas me mêler à cette histoire. 

Moi: Pourquoi, tu t'énerve comme ça?

Chad: Pour rien. Alors, qu'il me poussa pour partie.Je lui répondis. 

Moi: C'est bien ce que je pensais. 

A peine arriver et déjà une dispute de famille. Je ne comprends pas son comportement. Aujourd'hui, on a pàas cour, c'est le week-end, alors je me dirigea vers la salle de bain pour m'habiller, en habit de sport et alla rejoindre Ethan.

Les directives d'Ethan était simple, je devais courir dans la forêt, pendant 2heures et revenir en utilisant mon instant, ce qui demandait concentration et calme. Je profitais de cette promenade pour souffler un peu et observer la nature dans toute sa splendeur. Pour ma part, je trouvais cette exercice assez reposant. Ça m'évita de repenser à la dispute de ce matin.

Comme je le pensais, l'exercice s'avera facile alors j'en profita pour m'approcher de la rivière, avant de rentre. Une idée me vint à l'esprit. Je concentrais une partie  de mon énergie sur ma main droite, toucha l'eau glacé. C'est à ce moment là que la rivière se pétrifia en une patinoire naturelle. Je n'avais pas de patin alors je me reconcentrais sur mes chaussures, qui ressembler désormais à des patins à glace, à la lame, très fine et lisse. Je commença à poser un pied sur la glace, que je faillis tomber. Cela faisait déjà 2 ans que je n'en avais pas fais. Je retenta l'expérience, en gardant un parfait équilibre et patina. Je me demandais si j'avais gardais quelques notions et les appliqua. En effet, j'ai fais du patin, pendant 5 ans, avant d'entamer les cours de gymnastique. Je faisais des concours et j'étais plutôt pas mal, j'ai gagné plusieurs coupes. J'aurai pu faire carrière mais j'avais besoin de changement, donc j'ai fais de la gymnastique. Après quelques sauts, j'étais fatiguée alors je décongela la rivière et mes chaussures. Puis, me dirigea vers la villa. Ethan m'y attendais avec Ellen et Esel, ils paraissaient tellement inquiets. J'avour que j'avais mon Ipod avec moi, donc si on m'appelais, je ne les aurai pas entendue. 

Ethan: Ca fait 3 heures que tu es partie. Tu t'es perdue? T'as fais une mauvaise rencontre?

Esel: Tu nous as fais tellement peur. Nous te cherchions, partout. Où étais-tu?

Moi: Du calme, je vais très bien. 

Esel: Mais, comment veux tu que je nous soyons calme? Tu es couverte de bleu. 

Moi: J'ai été retardé, parce que je suis allée près de la rivière patiner, dessus. Je n'ais pas vu le temps passer. J'ai fais le tour de la fôrét en une heure. 

Ethan: Tu t'améliore de jour en jour,en une heure, c'est pas mal. T'as dû prendre la même vitesse que Gaby. Je te félicite. Mais, t'aurai dû rentre, on t'aurai doné autre chose à f... .

Moi: C'est bon! Pas besoin de raler. Je voulais juste me détendre un peu. Et, repenser à mon ancienne vie.

Sûr ce, je suis partie dans ma chambre en courant, suivit de Kaila. Je suis tellement fatiguée que j'ai enfilé mon pyjama, après une bonne douche. J'ai céllé la porte, par télékinésie. Puis, je partis m'enmitouffler dans les draps, l'Ipod dans les oreilles. Et, je m'endormis, rapidement.

***

Ca fait 6 jours, que je suis cloitrée dans ma chambre. J'ai attrapé une grippe, à cause de je ne sais quoi. Je me sens si... faible. Selon, Esel qui est medecin, je devrai guérir d'ici demain. J'ai débloqué la porte pendant mon someille, d'après lui. Comme ça, il a pu me soigner, correctement. J'ai souhaité que personne à part lui et Ellen, entre dans la chambre. Je n'ai rien contre les filles, mais elles s'inquieteraient trop. J'ai cependant reçu la visite de Julius, parce que Esel et Ellen devais se repaîtrent, pour recouvrer leur force, après 6 jours, à mon chevet, ça se comprend. 

Julius: Tu vas mieux?

Moi: Je pense que oui. 

Julius: Tant mieux. Tu sais les fille veulent savoir si tu vas mieux. Ethan se sent coupable. Et(, Chad,... .

Moi: Pourquoi Ethan se sent coupable? 

Julius: Parce qu'il t'as sous estimé, il pensait que t"aller faire le tour en 2 heures, voir plus. Et, il n'a pas voulu que quelqu'un t'accompagne. Et, surtout, parce que tu lui en veux. 

Moi: Je ne lui en veux pas. Jétait sur les nerfs à cause de la nuit blanche, que j'ai passé.

Julius: Je pense qu'il comprendra. Ce que j'apprécis le plus chez Julius, c'est qu'il ne s'attarde pas sur les détails. Bon, je vais te laisser. 

Moi: Okey! A tout à l'heure... . Attends, comment va Chad? 

Julius:  Je ne sais pas. Il est parti, après ton dépard. 

Moi: D'accord. Althea n'a pas su voir où il était? 

Julius: Non, il ne prend pas de décision sûr. Donc, c'est impossible de savoir où il va, ou bien, où il est. 

Julius se retira, en faisant le moins de bruit possible. 

***

Dés, le lendemain, je me sentais déjà beaucoup mieux. Même si, je devais rester dans la maison. Ça me faisait du bien de revoir la lumière du jour. Le temps n'est pas au beau fixe, mais on fait avec ce que l'on a, n'est pas? Gaby et Althea étaient heureuse de voir que je me suis remise. Ethan, encore plus, il était au petit soin avec moi. Je trouvais ça marrant. Vu que je me suis levée tôt, j'ai décidé de faire mes devoirs pour le lundi et de tout rattraper. Après, deux heures de travail acharné, j'ai joué à la PS3 avec les garçon. Je me suis faite battre à plat de couture, on ne peut pas être parfaite, partout. Kaila restait près de moi .Elle aussi était tomber malade. C'est normal, si le maître est malade, le daemon, le devient aussi. Si le maître est en forme, le daemon, l'est aussi. Je n'ai pas rien prévu pour l'après midi. Mais, il parraît que selon les dire d'Althea, ce sera une visite surprise. Je ne me posa pas de question, je pense que juste que c'est Chad. En tout cas, j'en avais marre de traîner en survêtement. Je décida de mettre un jean slim bleu nui avec un débardeur rayé bleu nuit et blanc. A cause du temps extérieur, je pris un gilet à capuche blanc. J'attacha mes cheveux en queue de cheval et mis des chaussures plates blanches. Je n'ai pas besoin de maquillage, de tout façon, je ne vais pas sortir. La sonnette retentit . Je descendis pour voir ce que Chad va sortir comme excuse. Mais, ce n'était pas Chad que je vis sur le perron. C'était Louis. A cause, des événements précédents, j'ai complétement oublié Louis. Je pense que lui non, parce qu'il me regardait désireux de pouvoir me prendre dans ses bras, après une semaine d'abstinence. On continuait de se regarder, pendant un moment qui me parut très long.