Chapitre 24: La naissance d'un nouvelle ange de la mort

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Je souffrais, atrocement, la seule aide que j'avais été Louis, mais il ne savait pas du tout comment se comporter. Alors, je lui demanda de m'amener loin de d'ici, pour que je puisse me téleporter au château. Je voyais bien, que mon camp avait le dessus, par rapport aux autres. Prenant au passage Enzo, qui lui n'était d'aucune utilité au combat, je le téléporta avec Louis et moi, à la sortie de la montagne. Heureusement que je pouvais compter sur Adena et Satan, pour stopper les derniers mécréants, qui voulait ma mort. Je les gratifia d'un sourire qui se tordu en grimace, contre ma volonté. Me concentrant une dernière fois, nous réussissâmes à attérir dans le salon, où ma mère se tenait, le visage fermé et dépressif.

- Maman, dis-je en un léger souffle.

Elle leva les yeux sur moi et me prit dans ses bras, ignorant Enzo et Louis. Elle me caressa tendrement les cheveux et m'embrassa les joues, malgrès la crasse incrusté dans mon épiderme. J'aurai voulu faire de même, mais je ne pouvais plus bouger.

- Ma fille! Te revoilà avec Louis et...?, interrogea ma mère.

- Enzo, je suis Enzo.

- Oh mon dieu! Mon fils et ma fille réunis, merci bon dieu.

- De rien, répondis-je, en esquissant un sourire. Maman peux-tu appeler les anciennes, je vais accoucher d'une minute à l'autre...

- Tu es enceinte?!

- Madame Black! Ce n'est pas le moment, vous voyez bien, que votre fille souffre le martyre, mais essaye, qu'en même de vous parler. Je vais devenir Papa, faites ce qu'il faut, non de dieu, dit Louis, agacé.

- Arrêtez de vous battre! Et, surtout de jurer!, criai-je.

Le silence s'intalla, puis arriva les anciennes. Elle me regardèrent, puis mon frère, je leur lançèrent un regard noir, pour qu'elle comprennent, quelles n'avaient pas à le bannir. Elles l'ignorèrent et s'affairèrent autour de moi, comme des fourmis.

- Louis, pourrais-tu la mettre sur un lit, s'il te plaît?, demanda l'une d'elle, pendant que j'essayais de me calmer et ne pas crier.

- Oui, madame.

Il me monta en un éclair, dans la chambre qui nous était destiné. Il prit soin de moi. Et, laissa place à deux femmes, qui me demandais pleins de chose. Moi, la seule chose que je voulais, c'était que tout le monde, s'en aille et que la douleur s'estompe.

**Quelques heures, plus tard**

Ça y est! La douleur s'était enfin envolée! Alors que je me sentais vide, on me posa un petit être entre les bras. Louis, près de moi, nous regardait avec amour. L'enfant entre mes mains était magnifique, des cheveux déjà sur la tête, il poussait ses premiers cris de nouveau né. Ce jour là, fut celui de la naissance de mon fils, on pouvait retrouver sur lui les très doux de son père. Louis, tendit les bras et je déposa le bébé dans ses bras. Après un baisé passionné sur mes lèvres, ils sortirent tous les deux de la chambre. Avant de partir, Louis me dit:

- Cette enfant est la preuve irréfutable de notre amour. Nous l'appelerons Léo, en souvenir de mon défunt père. Tu m'as donné le plus beau bébé au monde, ma chérie. Je t'en pris repose toi, je vais m'occuper de notre fils.

Après ces trois jours de réveil, je m'assoupis.

** Deux jours, plus tard**

J'entendis une personne entrer dans la chambre. J'ouvris les yeux et vit Karolina, couteau à la main. Alors qu'elle essaya de l'abattre sur mon coeur. Je me tourna, ne s'attendant pas à ce que je bascule sur le côté. Comme une furie, elle fonça vers moi. Je me leva du lit et attendit qu'elle m'approche.

DeathOù les histoires vivent. Découvrez maintenant