Chapitre 9: Les âmes soeurs

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Il est 10h20, j'aperçois Lance qui s'approche de moi, le sourire au lèvre. Je me demande ce qu'il me veut, s'il veut encore une racler, je prête. 

Lance: Salut! Elena! J'aimerai m'excuser pour le comportement que j'ai eu à ton égard. Je n'aurai pas dû te défier, ni te frapper, par ailleurs. 

Moi: C'est vrai, tu n'aurai pas dû me frapper. Mais, j'accepte tes excuses, une seule condition.

Lance: Laquelle?

Moi: Comme je l'ai dis hier. Tu vas te soumettre à moi. Vu que tu es l'Alpha de ta meute, je souhaite que vous me soyez redevable, en prêtant main forte. Et, moi, de mon côté, je vous protégerai du mieux que possible. Marché est conclu? 

Lance: Heu...

Moi: T'as pas vraiment le choix! 

Lance: Ok. T'as gagné. Je me soumets à toi, ma colombe. 

Moi: Cesse de m'appeler, ma colombe, c'est blessant. 

Lance: Oui, chef! 

Je n'ai pas l'habitude d'être comme ça, avec les autres. Je ne suis pas du genre à donner, des ordres. Mais, c'est instinctif. C'est peut être le gène, qui veut que je sois froide et renfermé. Je n'ai pas envie que Louis, me vois de cette façon. Je veux qu'il m'aime pour ma vraie personnalité, pas cette façade. 

*** 

Il est 12h30. C'est leur de mon rendez vous avec Louis, je suis tellement excitée. Pendant, toute leur du cour d'histoire. Je n'ai cessé de parler de Louis à Althea, ma voisine de classe, pour ce cour. Et, je n'arrive pas à croire qu'il m'appartient, qui est un bien grand mot, pour ma part. Pourtant, c'est ce qu'il est. 

Il est là, à côté de moi, nous sommes dans sa très belle voiture sportive. Je suis très nerveuse, en France, mes parents n'aurait jamais accepter ça. Après un rapide coup d'oeil, Louis remarqua ma nervosité, alors il entama la conversation. 

Louis: J'espère que tu aimes, la cuisine française. Parce que c'est le meilleur restaurant, qui est à proximité. 

Moi: Bien sûr! Ce serait un comble si je n'aimais pas la cuisine française, vu que j'en suis une. 

Louis: Oh!... Oui, t'as raison, ce serait un comble. D'ailleurs, moi aussi, je suis d'origine française. 

Moi: C'est génial! J'ai une question à te poser. 

Louis: Va s'y, je t'écoute.

Moi: Pourquoi, tu manges alors que t'es un vampire?

Louis: On ne te l'a pas dis?! C'est pour que notre force soit plus élevé, de même que notre capacité psychique, pour ce qui ont un don. Seulement, c'est un inconvéniant, car il faut se nourrir régulièrement pour que ça marche. Mais, il y a très peu de vampire qu'il le font, par ennuis ou parce que c'est rare, les vampires ayant un don.    

Moi: Je comprends, mieux. Mais, quel... 

Louis: Tu voulais me poser une seule question, maintenant, c'est à moi. Qu'est ce que tu aime le plus faire?

Il ne me laissa pas le temps de rétorquer quoi que ce soit, c'est assez perturbant. Mais, ça question me rendis perplexe, il est possible que le sujet précédant soit tabou. Sans, s'en rendre compte, 

Moi: J'aime... les chats, le violet, les roses, le patin à glace, nager, la musique, chanter, dormir,.. Je ne sais pas, plein de chose. 

Louis: T'aimes beaucoup de chose. T'es musicienne? 

Moi: Malheureusement, non. Mais, je chante seule, dans ma chambre. 

Louis: C'est marrant. Je te vois bien, prendre la brosse et chanter.

Moi: Ah! Ah! Ah! C'est trop marrant. 

Louis: Pour me rattraper de ma moquerie, je veux bien t'apprendre à jouer du piano et de la guitare. 

Moi: C'est interessant, je veux bien, tu passes quand tu veux à la maison. 

Nous sortâme du restaurant, tout en continuant à faire plus mieux connaissance. Je le trouve, si passionnant. ll me raccompagna chez moi. Mais, ce n'est pas leur de rentrer, il est 15h30. Donc, si je rentre seule et tôt, Ellen risque de se poser des questions. Je proposa à Louis de venir prés de la rivière près de la maison. On s'assit sur les galets. Le paysage est magnifique. Après y être rester 3h, on décida de rentrer à la maison. Avant, d'y entrer, Louis me prit la main et me rapprocha près de lui. Je sentis son souffle parcourir mon visage, ses lèvres effleurèrent les miennes, elles sont si douces. Nous nous dévorâme du regard. Mon coeur battait la chamade. Notre baiser dura une éternitée si passionné, si doux. Il me lâcha douloureusement de son étreinte.

DeathOù les histoires vivent. Découvrez maintenant