CHAPITRE 6

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Matyriser par les amples reproches de sa conscience morte il y a belle lurette, Lewxandowscky Bastian devient impuissant face à un fléau qui s'annonce. Face à lui même il devient fulminant et son subconscient commença par geindre son passé qui a été sans coeur et sans pitié face aux faméliques et besogneux. Quant à sa fille une nouvelle planète s'incorpore dans son univers, ses pensées parcourent les avenues de l'amour à 20miles/h. Trente minutes perdu dans ses pensées plus volumineuses que l'univers, le son du téléphone l'intercepta et du coup elle s'énerva car l'appelle l'emmerde.
- J'aurais dû te mettre sous mode silencieux beau salaud. Hallo, dit-elle en décrochant.
- Alexëi! S'exclama Sarah
- Sarah! D'une même air
- Cela fait belle lurette ma vielle?
- Va te faire foûtre avec ce mot "vielle" je viens à peine de commencer à vivre une nouvelle naissance.
- Ne me dis pas...
- Navré de te decevoir ma belle ce n'est que la vérité, coupa-t-elle les dire de Sarah.
- Félicitation. Toute fois je t'ai pas appellé pour ça.
- Et, s'impatiente Alexëi.
- Alors, demain soir c'est prévu un gala chez Moldovonis Entrepise,Juste voudrais t'inviter.
- L'entreprise qui concurrençait celle de mon père à l'époque?
- Ben oui, mais ils ont acheté celle de ton père, ne pas vouloir y aller ce serait très égoïste de ta part. Essaya-t-elle de la blamer.
- D'accord j'y serai ma belle.
- À plus.
Son smartphone déposé sur son lit et une nouvelle fois son téléphone se mit à vibrer et cela l'exite de plus en plus.
- "Oh la merde c'est exaspérant" gronda ses pensées avant de décrocher.
- Hallo il y a du calme dans l'air. Dit le jeune homme.
- Ne serait-ce pas la tendresse de ta voix? Réponds Alexëi très émotive, son corps en frisson des oreilles à la plante de ses pieds.
- Accompagnée de ta respiration qui fait la douceur de la brise qui me caresse la peau là. Dit-il dans un calme assez chaud par la passion qui fait vibre les ligne téléphonique.
- D'une voix adoucit ayant folle envie d'échapper à un matyr elle siffla, tu vas à merveille?
- Bien sûr et toi?
- Non, affirma-t-elle.
- Euh pourquoi mon bb? D'un ton déguisé par une fausse inquiétude.
- J'ai soif mon amour, gémi-t-elle.!!!
- Apportes-toi à boire ma fleure?
- Sauf si t'es la compagnie qui fournit l'eau en grande quantité et de bonne qualité! Souffla Alexëi comme un bébé.
- T'inquiètes moanman arrive sous peu! En voulant certainement l'asticoter. À ta vue, je n'oserais même pas croire que t'étais une gourmande hydrique.
- Ben maintenant tu le sais, débrouilles toi. Ordonna Alexëi.
- C'est un ordre ou quoi?
- Bonne nuit mon beau à la prochaine.
- Bisous ma puce je t'aime.
Elle ferme son portable et se couche sur le lit face au ciel malgré tout les yeux voient les étoiles qui baladent en rodant autour de la lune.
Rien de si confortable et de si agréable les premiers instant d'un amour.

                            *
Ils s'assayèrent sur une table de luxe face à face le cœur joyeux et discutèrent, quelques bouteilles de bière perdu dans un iglou de glaçon à 30 centimètre de la table.
- Divertissons-nous un peu plus lui proposa Rack, vas chercher la carte et jouons un peu.
- Pas mal comme idée lui dit-il en faisant un p'tit signe des yeux.

Il part aller chercher les carte dans la salle de jeu baignée dans un noir épais de la grande maison des Moldovonis. Il connait la maison comme il connait les placements des organes de son corps et sans même allumer la lumière il prend les cartes. Par le silence traversant la pièce on aurait pu entendre même les paupieres des yeux qui se frappent à tour de rôle, soudain une respiration méconnue se fait entendre par James qui commence par s'horrifier et tenta de courir quand une voix basse fait vibrer l'air de la chambre.
- Fais un pas de plus; tu meurs, crier comme une gonzesse; tu meurs, toucher à quelque chose; tu meurs. Lui menaca-t-il.
- Ne me fais pas de mal je vous en prie, pleignit-il terrifier.
- Écoutes bon garçon, tu n'es certainement pas celui que je recherche mais tu es son confident. Quelqu'un eu à dire un jour ne réveille jamais un lion qui dort, ton ami je sais quoi m'a non seulement réveillé et m'emmerde. Je suis fou de rage et de colère, j'en ai assez pour lui faire disparaître en un clin d'œil il le sait en tout cas. C'est un avertissement, gronda l'homme qui quitta la maison en vitesse.
- Avant aies la gentillesse de dire qui tu es au moins, cria james qui court  sortir de la salle en huant:
- Rack, Rack, Rack, Rack, Rack...
- Qu'est-ce qui te prends? Demanda-t-il stupéfait.
- Un ho-ho-homme dans .. la sa-sa-salle de jeux.
- C'est quoi cette fatuité, s'énerva Rack, que tu veux raconter?
- Au moment que je risquais de perdre ma vie et même aussi la tienne pourrait partir plus loin que l'au-delà tu tu me traites de fat sale prétentieux? Riposta James avec rage et retoune se coucher sans dire la moindre mot sur  ce qui de se passer.

Rack seul ravagé par cette soirée bousillée par une histoire que son incrédulité lui fait ignorer sa source.  Perplexe il est dans une irrésolution pénible non seulement sur ce qu'il doit faire et sur ce qu'il doit penser. De plus sa fébrilité s'est activée le fait de perdre pratiquement sa seule famille restante. James en est l'unique qu'évidemment est en  vie selon lui, il  est prêt à tout pour le défendre. La mort de son cher cousin aurait occasionné le ruine de sa vie car il ne serait jamais en joie jusqu'à la fin de ses jours puisqu'il a juré de le protéger, de le chérir de le regarder comme son propre frère. Il rentre dans la  salle à manger et ouvre le frigo, il pris deux bouteilles de whisky et commence par boire jusqu'à la fin de la nuit...

LA MAIN INVISIBLEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant