-Toujours dans l'infirmerie-

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Je peine à me réveillé. Je me rappelle de tout. Je regarde autour de moi. Où est -il ?!Je regard tout autour de moi, sceptique. Oufff! c' étais un rêve il n'est plus là. Mais je suis toujours à l'infirmerie...C'est ..............une ........................putain de blague, j'espère que j'ai tout imaginé parce que là je ne suis pas sûr de moi. Attend, peut être qu'il est derrière les parvues qui m'entoure, je sens un sentiment de peur qui me fige.

Surtout, Hanna....... ne fait aucun bruit .

Je me lève progressivement, sans faire de bruit. J'enlève la couverture blanche de mes jambes tout en pivotant vers l'extérieur du lit vers la droite doucement, tout en mordillant ma lèvre, je m' efforce de ne faire aucun mouvement brusque, pourvu qu'il ne m'entende pas. Le lit grince. Hé merde.
Je m'arrête instinctivement, un frisson parcours mon dos, puis je ne bouge plus. J'attends, aucun bruit ne fais surface . Je me sens soulagé, puis une horloge se met à cliqueter bruyamment. Je regarde entre la fente du rideau d'un des parvues ,rien ne se passe ,le bleu de la pièce est terne malgrés l'éclairage puissant de l'ampoule qui est presque aveuglant, je n'aime pas cette pièce elle me donne froid dans le dos, Il n'y a personne .

Quand es ce que je me suis endormie ?

Je ne me suis pas endormie si ?

Où est l'infirmière?

C'est une blague pourquoi elle n'est pas là ?

Cette odeur nauséabonde provoquée par mon vomi a disparu tiens je porte d'autres vêtements j'aime beaucoup se style ,ce n'est pas mon odeur mais ses vêtements sentent bon...

Je jette un regard vers la fenêtre à deux mètres de moi je viens de remarquer qu'il fait nuit noire.

Hein? il fait nuit ?

Comment se fait-il ...........qu'il fasse aussi noir, alors que mon dernier cours était à 18h ? On est pas en Hiver!!

Il doit être au moins minuit vu l'obscurité du ciel .......sa veut dire que je suis restée ici ....six heures ?! Quoi?! na c'est une blague !

Pourquoi je suis toujours dans l'établissement!?

Ne me dit pas que je suis enfermée!

L'infirmière m'a laissée là?!

je me précipite à la porte de l'infirmerie, à demi-affolée. Sainte Marie mère de Dieu elle va me tuer c'est sur! Je secoue violemment la poignée dans tous les sens déja en sueur, puis je frappe du poing paniqué, je commence à me faire mal et à sérieusement m'énerver. Le cliquetis de l'horloge est comme un décompte je déteste ça ! Je crie, ma main est rouge, je continu en donnant des coups de pied tel un ninja, déterminer à ouvrir cette porte, mais je vois que cela ne m'avance en rien, je suis un ninja un peu nul........ .Je me retourne flegmatiquement, regarde autour de moi et vois les tiroirs de la commode, une once d'espoir... ,j'avance vers ceux-ci et m'engage dans la fouille d'un objet qui pourrait m'être utile, mais rien à part, pansements,médicaments ,mouchoirs,stylos,compresses et beaucoup de serviettes hygiéniques.......................ha...euh oula y'en a une qui est utilisée... je crois que je vais la laisser là ...........,l'horloge s'arrête soudainement se qui attire mon attention, un silence pesant embaume la pièce, je me focalise sur ce que je viens de trouver. Une forte odeur vient heurtée mes narines, le sang menstruel, cette senteur de cuivre désagréable est accentuée probablement par le temps, cela doit faire plusieurs jours qu'elle est rester là pourtant elle est toujours autans imbibée de sang, je n'ai jamais vu une serviette aussi remplie de ma vie. S'en ai presque fascinant, quelque chose cloche, une autre puanteur est ajouté à l'arôme de cuivre du sang menstruel mais je ne sais pas quoi. Je n'avait jamais senti une odeur comme ça enfin si...........Je me demande se que c'est .

Attend qu'es ce que c'est que ça?

Une masse visqueuses et noirâtre est comme posée au coeur de la serviette, cette chose m'inspire un profond dégout. Je plisse les yeux en tendant mon coups, me concentre attentivement tout en inspirant profondément. Connais pas. Surement quelque chose que je n'ai jamais flairé ........................pff ! au fonds je sais, ...........je sais d'ou viens cette odeur mais je n'arrive pas à identifié d'où. Le verrou de la porte argenté s'enclenche dans un bruit sourd, je suis abasourdie . La porte s'ouvre dans un long grincement, je ne perçoit rien derrière la porte juste un fond noir profond. Ce noir ..............celui dont j'ai toujours eu peur ..............un noir où aucune lumière ne peut être déceler, un noir où l'imagination s'amuse à nous jouer des tours. Pendant que je suis dans mes pensées j'entends un rire enfantin mais ce n'est pas mon imagination.

Aujourd'huiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant