PDV Octavia :
Suite à la terrible nouvelle que m'avait faite Raven, je décidais de toucher deux mots à Clarke et sa commandante adorée. Je voulais faire libérer mon frère, même si c'était qu'un gros con, je le faisais juste pour mon amie. J'entrais donc, après avoir frappé, sait-on jamais avec ces deux là...-Lexa.. Il faudrait qu'on parle.. C'est à propos de Bellamy..
Elle semblait de très bonne humeur, et me dit de le faire libérer, à condition que ce dernier ne recommence pas ses erreurs du passé. J'acquiesçait alors, avant de la remercier et de vite quitter la pièce, je savais que je derangeais un peu. Je courais annoncer cette nouvelle à Raven.
-Reyes, ton étalon est libre !
Elle n'avait pas l'air heureuse plus que ça, mais me sourit et me prit dans les bras.
-Merci O' tu es la meilleure, je sais pas ce que je ferais sans toi..
Elle resserrait l'étreinte, mais je decidais de me séparer d'elle, l'entraînant voir mon frère. Je ne pouvais plus attendre de voir sa tête de con.
-Bell' !
Il s'agrippait aux barreaux, et allait commencer à me supplier de le faire sortir d'ici.
-Ne dis rien, t'es libre. Mais n'oublie jamais que tu m'es redevable jusque ta mort !
Je le fis sortir et chose improbable, ile me prit dans ses bras, ce qui n'était pas arrivé depuis bien longtemps maintenant. Je l'amenais dans une tente, toujours à Polis, et accompagnée de Raven. Elle était en retrait, et ne semblait pas vouloir tenter quoi que ce soit avec lui. Je n'y pretais pas attention, et je discutais de tout et de rien avec Bellamy.
-Si je vois votre Clarke là, je la tue.
Il avait dit ça si simplement qu'on aurait pu croire qu'il riait, mais le connaissant par coeur, je savais qu'il n'y avait aucune pointe d'humour dans cette phrase. Ces temps-ci il me faisait vraiment peur. Je le raisonnais alors, il ne fallait pas qu'il fasse de conneries.
-Ça va pas bien ou quoi ? Tu vas pas toucher à Clarke sinon je t'assure que je te ferai la peau.
-Tu me menaces ? Toi aussi t'en pinces pour elle ?Il est vraiment trop con, je decidais de partir, et Raven me suivais, toujours dans le silence le plus complet.
PDV Lexa :
J'étais avec ma belle blonde dans notre chambre, et je tentais de lui expliquer pourquoi j'amais tant les bougies que ça, mais la vérité était que je ne savais pas vraiment d'où me venait cette frénésie. On riait beaucoup, on jouait, vraiment comme des gosses. J'avais jamais eu ce sentiment de plénitude, comme si, j'étais au maximum de mon bonheur, et que jamais je ne serais aussi heureuse qu'avec Clarke. La brune avait trouvé sa blonde. Malheureusement pour nous, Clarke devait aller voir Octavia, elles devaient parler entre elles, car je l'avoue, depuis quelques jours on ne sortait que pour manger. Alors c'était tout naturellement que je la laissais partir, elle me disait qu'elle n'en avait pas pour longtemps, et qu'elle serait de retour d'ici à peine une demie-heure. Je vaquais donc à mes occupations, mais la vérité était que sans elle je n'arrivais rien à faire. Tout m'ennuyait, et j'étais tout le temps déconcentrée par le monde qui grouillait à Polis. Je pensais à Bellamy, et aux choses qui ont pû le rendre comme il est aujourd'hui. Je ne dirais pas que c'est un monstre, puisqu'il fait ce qu'il semble bon pour survivre, mais il avait perdu un peu d'humanité, ça c'était sur. Un cri des plus stridents vient me sortir de mes pensées. Un cri que je ne connaissais que trop bien. Clarke. Mon sang n'a fait qu'un tour, et c'est avec une rapidité extrême que j'arrivais à l'endroit du cri. En même temos que moi, Octavia arrivait, suivie directement de Raven. La vue qui s'offrait à moi me brisa. Clarke était à terre, un couteau planté au milieu de son ventre.-Occupe toi de ton frère, je me charge de Clarke.
Je tentais de garder un air calme, je ne voulais pas mettre Octavia dans une position encore plus inconfortable. J'allongeais Clarke sur mon lit, notre lit.
-Je t'interdis de mourir beauté, toute la terre te pleurerait, et on a pas encore vécu un quart de ce que notre amour peut fournir ! Je t'interdis de mourir, oui ça je te l'interdis.
Elle ne repondait pas, et tentait de se concentrer sur sa respiration. Au même moment j'entendais crier Octavia.
-TOUT À L'HEURE JE T'AI DIT QUE TU M'ÉTAIS REDEVABLE JUSQUE TA MORT, ET BIEN SACHE QUE TU NE L'ES PLUS.
S'en suivit un cri, fort, hargneux, et long. Puis plus rien.
Je me retournais de nouveau, ayant compris ce que la brune venait d'accomplir. Clarke venait bientôt à son derniere souffle, je le voyais elle était épuisée. Elle me disait de ne pas avoir peur, que de toute manière la mort n'etait pas la fin de notre amour. Je lui repondais que j'avais pas peur, que j'étais presque aussi forte qu'elle, mais la vérité était que mon corps tout entier se déchirait. Tout seul. Et il n'y avait rien que je puisse faire contre cela.
Malgré les larmes dégoulinantes de mon visage, j'arrivais à lui chanter la comptine qu'elle aimait tant :-In peace may you leave the shore,
In you love may you find the next one,
Safe passage on your travel,
Until our final journey on the ground,
May we meet again.D'une voix faible et incertaine, elle prononçait quelques mots, qui finissaient de briser mon être.
-Ai gonplei ste odon.
Elle sourit pour la dernière fois, une larme coulait sur sa joue, c'était la dernière. Et je lui deposais ce qui semblait être le dernier de tous nos baisers.
————————————————————
C'est la fin du premier tome de cette fanfiction, j'aimerais beaucoup avoir votre avis, savoir ce que vous en avez pensé !
Un deuxième tome peut être envisagé, j'ai une petite idée, dites moi si vous le voulez, tout ce que je peux vous dire c'est qu'il va s'avérer plein de surprises !
PS : J'ai commencé une autre fanfic qui s'appelle « She's back » allez la lire !! ❤️I'll always be with you
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
From the ashes we rise
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
The dead are gone Clarke,
The living are hungryclexa deserved better
VOUS LISEZ
You're my weakness •CLEXA• [tome1]
FanficAimer ou detester, Lexa et Clarke vont devoir faire des choix qui vont s'avérer parfois difficiles. L'amour est une faiblesse, mais en faisant quelques efforts, peut-être qu'on peut en faire une force qui dépasse l'entendement. Les deux femmes vont...