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Il est si beau. J'arrive pas à me contenir. Je sais bien que je suis gay, il a pas besoin de me le rappeler. Mais les gens comme moi, on a pas le choix. Et j'ai trop souffert à cause de moi.
Mais ce gars je peux pas m'empêcher de me dire qu'il est sacrément beau, sacrément séduisant.
Il s'approche un peu, restant pourtant un peu loin de moi.

Zoro: Pourquoi tu te prostitu?
Sanji: Pourquoi ca t'intéresse tans?
Zoro: C'est pour cette fille? Ta soeur? Ta besoin d argent pour elle? Elle est malade?
Sanji: Ca te regarde pas.

Il attend un peu avant me répondre. Je sens mon coeur battre beaucoup trop vite. Pourquoi j'ai du peur qu'il continu? J'ai pas envie qu'il connaisse ma vie, ca me paraît évident. Ou alors j'ai peur qu'il connaisse cet aspect de ma vie?

Zoro: Tes un Vinsmoke non? C'est une grande famille non? De l'argent tu devrais en avoir. Ton père sait que tu te prostitu et que t'es gay?

Ta gueule. Ta putain de gueule. Ferme la. Ne parle pas. Je t'en pris tait toi!
Je sens des larmes coulaient sur mes jours. Je dois paraître pathétique. Si pathétique...

Sanji: Ta gueule. Tu sais rien!

Je me sens vaciller. Je sens mon corp tombait sur le sol et ma tête claquait a son tour.
J'entend sa voix, ses mains me touchaient, essayant de me réveiller. J'ai mal. J'ai la tête qui me fais tans souffrir. Je commence a voir flou. Et la dernière chose que je vois, c'est son visage. Son visage qui semble si inquiet.
Et puis plus rien.

J'ouvre doucement les yeux. J'ai la vie qui semble faire ce qu'elle veut, et puis finalment j'arrive à faire le point. Je suis allongée sur un lit, dans une chambre avec un toit blanc. Un bip régulier parvient jusqu'à mes oreilles. Un bip que je connais si bien. Je suis à l'hôpital.
Je me redresse un peu. Une touffe de cheveux vert est appuyé sur mon lit. C'est marrant, c'est comme dans les films. Alors il est la... Il est rester pres de moi? Et pourquoi il dort? Depuis combien de temps on est la?
Ma main s'avance vers sa tête, ses cheveux ont l'air si doux...

???: Tu pourras le remercier, il a pas arrêté de veillé sur toi.

Je redresse la tête et reprend ma main, comme si le diable venez de me parler. Je crois que je suis devenu rouge pivoine.
Ma soeur est assise dans son fauteil roulant, un livre poser sur ses genoux et un doux sourire accrocher a son visage. C'est presque étonnant que je ne l'ai pas remarquer avant...

Sanji: Quesque...
Reiju: On est dans le même hôpital Sanji, sinon ils ne m'auraient jamais laisser sortir t'imagine bien...
Sanji: Depuis combien de temps je suis là? Et quesqu'il c'est passé au juste?
Reiju: C'est Zoro qui a appeller l'hôpital. Tes tomber dans les pommes et depuis il te lâche pas...
Sanji: Depuis combien de temps...?
Reiju: 3 jours.

Quoi?? Ca fais trois jours que je suis dans le coma? C'est pas possible?
Merde!
J'attrape mon téléphone et le deverrouille le plus rapidement possible.

Reiju: Si c'est pour prévenir ton travail je l'ai déjà fais. Et j'ai donner ta démission aussi.

Ah non, je voulais juste vérifier la date mais... Attend, quoi??? Depuis quand elle sait que je travail la? Et merde, comment elle peut réagir comme ca???

Reiju: Qu'est ce que tu crois Sanji? Zeffet moi on ne savait depuis longtemps tu sais alors... Rassure toi, tu n aura plus ni à retourner la bas ni à te prostituer, ni même à travailler alors que t'es au lycée.

Elle c'est approché avec son fauteuil et elle m'a simplement pris dans ses bras. J'ai senti quelque chose mouillée mon épaule.

Reiju: Tu n aura plus à tous porter sur tes épaules, je te le promet.

Je saurais pas dire combien de temps on est rester la, dans les bras. Et puis finalement elle m'a lâcher et à reculer. J'ai vue son visage et ses yeux encore rouges. J'ai fais pleurer ma soeur...
Mais elle, elle souriait et elle m'a pris la mains doucement.

Reiju: J'ai parler avec Zoro, il avait vraiment l'air inquiet... C'est marrant, tu l'aimes bien?
Sanji: Dans quel sens tu dis ca...?

Elle a simplement sourit et elle m'a lâcher la main, puis elle s'est dirigée vers la porte, avant de se retourner vers moi.

Reiju: Père n'est plus la Sanji, tu as le droit de vivre ton amour. Ni lui, Ni Yonji, ni Ichiki, ni Niji. Vie Sanji.

800Où les histoires vivent. Découvrez maintenant