J'étais assis la sur ses genoux, ses mains cherchant refuge dans mes cheveux et les miennes accrochés autours de son coup. Nos lèvres dansantes, qui suivait la musique du battement de nos coeurs.
Je l'avais enfin. Enfin.
Nos lèvres se sont quittés, j'ai laisser tomber ma tête dans le vrai de son coup. J'ai senti son odeur. Il a commencé à jouer avec mes mèches de cheveux.Zoro: Sanji...
Sanji: Je t'aime. Je t'aime tellement que je vais explosé.
Zoro: Alors cette fois si tu partira pas?Je redresse la tête, plongeant son regard dans le sien. Je me suis levé, doucement et je lui ai simplement tendu la main.
Sanji: Si, mais cette fois ca sera avec toi.
Cette phrase fais bateau quand on y pense. Le film qu'est devenu ma vie est revenu au galot en une fraction de seconde.
Mais rien à faire si c'est bateau. Rien à faire si ca fais un film a l'eau de rose. Au moin j'aurais mon nom fan un générique. Et c'est putain de stylé.
Mon coeur c'est arrêté de battre quand il a pris ma main. Je sais bien qu'il faut pas que je manque de mourir à chaque fois que je croise son regard. Mais que voulez vous? Si les sentiments se contrôler je vivrais pas tout ca. J'aurais épousé cette fille complètement folle comme ma mère a épousée mon père et rien de tout ca ne serais arrivé.
Et ca aurait était chiant.Law: Alors c'est bien ce que dit Luffy. Vous deux ca commence à ce concrétisé?
Je crois que j'ai jamais eu aussi peur. Et j'ai jamais tourné la tête aussi vite.
Law était la, son éternel léger sourire au visage. Et dire que je voulais faire du mal a Zoro avec lui. Bon sang faut vraiment que je réfléchisse avant de faire des trucs moi.
J'ai jeté un regard a Zoro. Bon dieu pourquoi il faut cette gueule? On dirait qu'il a vu son pire ennemi. Remarque, c'est peut être vrai.
Zoro a lâché ma main et a posé la sienne sur ma hanche. Il m'a brusquement attiré vers lui et j'ai failli perdre l'équilibre. C'est moi ou je suis devenu un sac de patate?
Law a laisser échappé un profond soupire et nous a fais un signe de la main en partant.
Zoro ne semblait vraiment pas vouloir me lâcher, alors je l'ai simplement repoussé. Pas violement, je suis pas ce genre. Enfin si, mais pas avec lui on va dire.Sanji: On va être en retard.
Zoro: T'es un abruti.
Sanhi: Pardon?Attend quoi? Qu'est ce qu'il vient de ce passer la? Bordel son visage est toujours inexpressif ou c'est juste moi qui lui fais aucun effet?
Pourquoi je pense à ca maintenant?
Je secoue la tête, chassant toutes idées perverses et croise les bras.Zoro: T'es un abruti incroyablement attirant d ailleurs.
La il m'a eu en traitre. Et pour ma défense, non rougir comme une tomate ne faisait pas parti de mes plans de la journée.
Ni même me retrouvé à terre.
C'est marrant de ce dire que des simples mots font autant d'effet.
De ce dire que le cerveau humain, si compliqué, ne semble pas savoir comment réagir à des mots.
Ce retrouver perdu, c'est la pire chose.
Même si la, je pense que c'est plutôt lui qui est perdu.
C'est aller plutôt vide en faite. Je veux dire, lui et moi, ca aurait pu prendre plus de temps. On aurait pu être mieux.
Mais le temps passe vite, les heures coulent dans un fleuve imperturbable et notre misérable vie d'adolescent puéril continue. Ouais, malgré tout, malgré toutes les merdes et les non moments.
Quand je parlais de film, quand je comparais ma vie à un film, j'avais peur être pas tord. J'ai vu un film il y a longtemps. Un film d'un homme qui voulait protégé sa copine contre lui même. Je pense que c'est un peu le même genre.
Et à la fin, le mec finissait par mourir.
Mais pas moi.
Moi je suis juste la, a terre, incapable de me lever. Cloué au sol, avec cette flaque de sang qui a arrêté de s'agrandir. On dirait un miroir. Un miroir de mon âme, un miroir de sang, juste au niveau de ma tête.
J'ai mal. Incroyablement mal.
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FanfictionEn y repensant ma vie ressemble à un putain de film. Un film à l'eau de rose à deux balles qui font la une de tous les journaux pendant 2semaines et puis après plus rien. Sauf que c'est pas un film. Et que les happy end ca existe pas en vrai. Et qu...