Roses Rouge

Chapitre six.

Il glisse sa main sur mon cou, et le libère de mes cheveux en un tourne main, ce qui laisse la partie entière droite à découvert.

- Qu... Quoi ? Je dis surprise.
- Bébé, tu ne te rappelle vraiment de rien ? Parce que moi si.
- T'es qu'un con, je laisse sortir sans penser. Et cesse de m'appeler bébé, je ne t'appartiens pas, bon sang !
- Je croyais le contraire...

Je touche à mon cou, qui deviens douloureux à un endroit particulier. Je rentre à l'intérieur en un mouvement de colère et ferme la porte derrière moi. Je me précipite à la salle de bain pour voir mon reflet, j'ai un suçon. Un putain de suçon dans le creux de mon cou.

- Connard ! je laisse sortir.

J'entends la porte de devant s'ouvrir.

- Fay ? questionne la voix masculine.

Encore Wilhem.

- Dégage, je lance, frustré.

Aucun son ne proviens de la pièce d'à côté. Il as quitter. Du moins c'est ce que je crois jusqu'à ce que je sorte de la pièce et le retrouve accoté sur la porte.

- Qu'est-ce tu veux encore ? dis-je sur le même ton.
- Tu n'a pas aimer la soirée d'hier ?
- Répond à ma question d'abord.
- Et c'est quoi ta question ?
- Que veux-tu de moi, bon sang !?

Je suis sur le bord des larmes, ma vue commence à se brouiller, je dois me calmer ou sinon ce sera irréversible. Il ne doit surtout pas me voir pleurer. Il essuie le coin de sa bouche avec son pouce avant de passer sa langue sur ses minces lèvres roses.

- Je te veux toi, réponds-t-il calmement, me souriant.

Je suis choqué, bien sur, tout ce qu'il veux de moi est du sexe et il en n'aura certainement pas un once avec moi.

- Va-t-en Wilhem, dis-je alors que ma voix craque en sanglot. Tu as profiter de moi, tu as eu ce que tu voulais, maintenant pars.

Il s'avance vers moi doucement, ses yeux rivé vers le sol.

- Je sais ce que tu veux. Et tu ne l'aura pas. Va-t-en, je t'en pris, continuais-je, ne le laissant pas placer un seul mot.

Il n'argumente pas, il recule et ouvre la porte. Il se retourne vers moi une dernière fois avant de fermer la porte complètement. Une larme roule sur ma joue. Je me précipite à la porte et la verrouille avant de lancer un regard à l'extérieur. Je le vois remettre ses lunettes de soleil et partir d'un pas fâcher, rentrant dans sa Range Rover. Il démarre et part, faisant grincer ses pneus.

***

Les jours passent sans nouvelles, ni textos, rien. Même ma mère ne m'en as pas parler. Je suis au travail lorsque Toni rentre. Cela fait aussi quelques jours que je ne l'ai pas vue, il était probablement en congé.

- Salut Fay ! me lance-t-il en rentrant dans la librairie.

- Hey ! je reponds sur le même ton. Ça va ?
- M'ouais et toi ?
- Ouais.
- Bien, je reviens.

Il continue son chemin avant de rentrer dans le "backstore" pour poinçonner sa carte d'employer. Il reviens quelques secondes plus tard et s'installe près de moi accoudé sur le comptoir.

- Et puis ce rendez-vous avec Wilhem ? me questionne-t-il.
- J'aimerais ne pas en parler s'il te plait, je répond calmement.
- Comme tu veux.

Il semble déçu, mais il me sourie tout de même.

Toni est de ma grandeur, et un peu plus âgé que moi. Il as les cheveux noir, mi-longs et plat. Il as de grands yeux bleus, ce qui fait en partie son charme. Il n'est pas très battis, du moins, moins que Wilhem. Merde, pourquoi mes pensées reviennent toujours à ce con ? Toni, lui est très gentil, il est délicat et semble toujours se préoccuper des sentiments des autres avant les siens, le genre de gars que toute les filles veulent dans leur vie.

- Fay ? dit Toni.

Je sors de mes pensées en le regardant incrédule.

- Quoi ?
- Tu m'écoutais ?
- Désolé, qu'est-ce que tu disait ?
- Laisse tomber, on se reparle plus tard !

Il quitte le comptoir caisse et se dirige dans le fond de la librairie. Je soupire avant de tomber lourdement sur la chaise de repos que l'ont peux trouver derrière le comptoir caisse. Je feuillete un magasine, car la journée est longue et les clients me sont pas très présent.

Je pars plus, dut au manque de travail a la librairie. En passant la porte, masse noir attire mon attention. Un homme avec une capuche noir se dirige droit sur moi, d'un pas décidé. Je perd l'équilibre lorsqu'il est qu'a quelques mètres de moi voulant me retourner pour m'enfuir, mais ma technique n'a pas fonctionner. Je suis sur le point de tomber lorsqu'une main ferme me rattrape. Je tombe lourdement sur un torse dur.

- Hey, regarde où tu va jeune fille ! lance l'homme.