Une ombre grandit en moi;
Une sorte de fumée noire.
Vers libres, larmes d'émoi :
C'est un sonnet dans le couloir.Ne me tuez point;
Laissez moi faire.
C'est mon destin;
Gisant par terre.J'ai arrêté d'exister,
Aujourd'hui, hier et avant hier.J'ai laissé filer mes artères éphémères, encore claires.
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Nymphéas
PoetryMes lettres d'adieux, pareilles à des nymphéas fragiles posés sur l'eau calme des étangs de Giverny.