Libération d'émotions.

Boucle éternelle

Et ça tourne, ça stagne en moi, ça recommence, ça part et ça revient. Cercle vicieux infini, boucle éternelle. Fichu conscience, saletés de pensées. Torturez-moi, allez-y ! Ne vous gênez surtout pas, puisque ça vous amuse tant ! Pourrissez-moi la vie, détruisez-moi si vous le voulez ! Cela ne servira à rien, croyez-moi. Comment détruire une chose qui est déjà brisée ? oh non, vous n'aurez pas mon cœur, pas cette fois. Acharnez-vous, je resterais toujours impassible face à vos multiples assauts. Il existe pire, bien pire que ce que vous me faîtes subir. Et vous le savez, n'est-ce pas ? Vous le savez tout aussi bien que moi. Vous le voyez, vous le sentez comme je suis tourmentée. Douleur incessante, douleur accablante. Cette douleur constante qui refuse de me lâcher plus d'une demi-journée. Elle surpasse tout, elle représente l'angoisse, l'horreur la peur, la tristesse, la haine. Elle se nourrit de mon malheur, elle se nourrit de mes maux. Elle est ancrée en moi, bien profondément, et pour longtemps apparemment. Prendre l'habitude ? Comment ? Mission impossible au vue de l'intensité et de la diversité de la chose. A croire que c'est un piège, dès que je commence à trouver le tout supportable, je finis submergée sous une nouvelle vague de douleur, accentuée. Incompréhensible, oui, et incroyable à ce qu'il semble. Impossible d'expliquer clairement ce qu'il se passe dans ma tête, dans ma vie. tout simplement ce qu'il m'arrive.

Tourne, torture, crie, pleure, hurle de douleur. Tourmente, détruis, brise. liberté de destruction, liberté d'horreur et de douleur. Futur apeurant, passé ô combien attrayant, vie horrifiante. Tout le membres paralysés, tout le corps douloureux. Âme en peine, cœur lourd, tête en explosion, crois-tu que c'est assez ? Non. Un conseil :

Pars.