Le Millionnaire qui avait tout sauf moi

Californie et contrat

Le matin à sept heures du matin, le pilote annonça qu' il s'apprête à atterrir. Antonio ne voyant toujours pas Joyce, décida d'aller lui en faire part dans sa chambre.

Il prit la direction de la chambre et oubliant les bonnes manière, il tourna la poignée de la porte et l ouvrit. Joyce ne se rendit compte de rien et continua à faire sa toilette. Antonio lui, par contre, se vu offrir un spectacle d'un charme impressionnant. Il savait que rester là etait mal, mais la beauté du paysage qui s'offrait à lui était pétrifiante. Jamais de sa vie il n'a vu un tableau aussi bien peint. Ses formes accentuées par la lumière orangée du soleil levant, le mettaient dans un état secondaire.

Elle n'était pas entièrement devêtue. Elle avait gardé les sous-vêtements noirs avec dentelle qu' elle avait trouvé dans les affaires pour dames. Elle portait au dessus du presque rien un peignoir blanc qui mettait en valeur sa beauté supercalifragilisticexpidélicieuse.
Du regard, il la détaillait et fut frappée par quelques détails: le teint de sa peau presque caramel à cause du soleil du Texas, ses cheveux dorées et soyeux tombaient jusqu'au niveau du dos. Ses yeux d'un bleu qui faisait penser aux profondeurs marines hypnotisaient Antonio. Son beau visage d'enfant, inspirait la douceur pendant que ses bras plus musclés que la normale chez une femme, eux, impressionaient. Joyce qui continua à se soigner souleva la jambe à environ 90 degré et la posa sur le bord du lit. Cette nouvelle position fit voir sa cuisse toute aussi belle que le restant de son corps. Elle se tourna pour reprendre de la crème et aperçu à travers le miroir, Antonio qui ne faisait que l' admirer depuis un moment.

- 😲😰🙈Mais... mon... monsieur Antonio que... que faites-vous ici?

Se rendant compte qu'on venait de remarquer sa présence, il fut retiré de ses rêveries et contemplations.

- Señorita Joyce je suis désolé j'ai ouvert la porte et... et... Vous êtes splendide.

- Mon oeil ouais!! Vous n'êtes qu' un goujat. Vous êtes là depuis longtemps???

- No mi cuore!! Je ne vous regarde pas depuis longtemps.

Elle n'en cru aucun mot. Elle rajusta son peignoire, avanca vers la porte.

- huummm!!

- Qu'est-ce qui ne vas pas??

-  Comment aviez-vous deviné que c'etait mon préféré?? toujours reniflant ses effluves.

- je ne vois pas de quoi vois parlez. dit-elle perdue

- Vanille n'est-ce pas??

- Dans le shampooing il y en avait dedans !... Mais qu'est-ce que vous êtes venu faire ici. Car si je ne m'abuse, vous n'êtes pas seulement venus vous rincer l'oeil! elle l'avait dit avec ironie

- Effectivement, j'ai failli oublier. Je venais vous demander de vois preparer plus vite. L'avion atterrit dans moins d'une heure.

- Je ne pensais pas sortir aujourd'hui.

- Mais si. La presse attend ma première apparition avec ma fiancée pour aujourd'hui.

Impuissante, elle chercha un moyen pour éviter de le faire.

- Mais je n'ai même pas à me mettre sur le dos!

- Vous êtes parfaite comme ca!! marmona-t-il

- Pardon?? fit-elle pour se rassurer d'avoir bien entendu

- Vous êtes parfaite dans n'importe quelle ténue. Mais, vous avez raison. C'est pourquoi j'ai pris la liberté de vous prendre ceci.

Il lui presenra une magnifique robe bleu marine Yves Saint Laurent. Cette signature de bleu faisait ressortir celui de ces yeux. Elle était vraiment émue.