Le soleil levant eclairait l' aile est du palais de Marc, on pouvait encore entendre les oiseaux matinaux faire leur concert harmonieux. Les pétales des fleurs respiraient la pleine vie et les feuilles gardaient encore de leur liquide nocturne. C'était l'image même qu'un athée pouvait sd faire d'un paradis terrestre.
A l'intérieur, on retrouvait une sérénité, une paix complètement paradoxale à celle du dehors. Un contraste sanglant se faisait sentir. Il ne faisait que six heures du matin que, tout le monde est suractif comme un soldat qui se prépare pour la guerre à la dernière minute.
Lorsqu'il fut huit heure tapente, Marc était déjà dans le hall d'entrée en y attendant sa douce. Marc portait un costume trois pièces blanc- ivoire avec broderie dorée et des chaussures blanches. Une montre en or 24k Il patienta, mais en fut richement récompensé. " L'homme patient mange les fruits les plus mûrs ".
Joyce portait une magnifique robe dorée à décolleté plongeant signée Channel, sa coiffure: une raie au milieu de ses cheveux les poussaient à encadrer son beau visage. Un maquillage leger mais présent qui soulignait ses traits fins et seduisants. Elle portait un colier serti de diamant et de rubis, les boucles et le bracelet qui va avec. Sa robe longue avait une fente longue qui laissait la moitié de sa cuisse à découvert, des chaussures qui mettaient ses jambes en valeur. Elle avait un châle assorti à sa robe ainsi qu'un petit sac Moscino.
- Tu es aussi beau qu'un prince! complimenta-t-elle.
- Vous... Toi... Toi aussi. balbutilla-t-il
- Je suis habillée comme un prince?? fit-elle en levant un sourcil accompagné d'un rictus moqueur.
- Je veux dire... comme une princesse, pas comme un prince!... Tu es splendide. conclut-il embarrassé
- On y vas?? Tu seras en retard si tu ne m'y dépose pas à temps.
Elle disait cela en se dirigeant vers la porte de sortie.
- Non! Pas par là. Ne l'oublie pas, tu ne dois pas être vue.
- Tu compte me faire sortir par où
Il se dirigea vers un chandelier qui était sous le fusil accroché au mur du hall.
- Venez, et vous saurez.
Il tourna la chandelle et une ouverture se forma. Contrairement à ce à quoi elle s'attendait, les lieux étaient propres. Le personnel était plus que compétent. Arrivés devant un mur, Marc tourna encore un chandelier.
- Je te présente mon conservatoire!
- Hummm!!? Ton conservatoire??
- Regarde et tu comprendras.
Joyce en fut impressionnée. Des voitures de collection, des merveilles de dès l'invention de l'automobile. Ils se dirigèrent vers une Mercedes noir, presque neuve. Le chauffeur y était déjà.
- Pourquoi tant de mystère mon beau chevalier!?
- Les paparazzi, ma princesse. Les paparazzi!! Il avait dit princesse avec insistance, ce qui fit sourire Joyce.
La route fut un peu longue, mais ils y arrivèrent. Joyce fut impressionnée par l'activité de et la tension qu'on ressentait en entrant dans le domaine de la familia Aldini. Au lieu de se diriger vers le domaine central, Marc donna l'ordre au chauffeur de se diriger vers la maison des invités.
Marc sortit et installa Joyce et sa servante dans cette maison puis les y laissa.
- Je passe à quinze heures.
- Ne sois pas long!
- Je veux me faire désirer donna mia.
Sur ce , il décampa et laissa Joyce en compagnie de Lupe.
La journée fut longue, très longue même les secondes étaient des minutes, les minutes, des heures, des heures des jours,... En tout cas, c'est l'impression qu'avaient Joyce et Lupe. Cette fois, cet emprisonnement était différent du précédent. Elle n'avait pas de liberté de mouvement, pas de liberté du tout. Au moin, il lui restait sa tête où elle avait la liberté de tout.
Joyce n'en pouvait plus. Elle profita du roupillon de Lupe pour sortir prendre l'air quelques instants. Elle prit soin de se changer et de s'habiller normalement: robe courte à fleurs mocassins dorés.
L'air libre, le sentiment de vivre enfin librement. C'est drole, ce qu'un peut d'air pur pouvait changer la perception qu'on a des choses. Dans ce domaine là, il y avaiavait beaucoup de verdure. Des fleurs par-ci, des arbres par-là ou des serres, des jardins, bref assez de plante vivante pourque ce domaine se fasse qualifier de troisième poumon du monde!
Elle visitait le domaine en tachant de ne pas trop s'éloigner de la maison dans laquelle elle a été assignée avecsa servante, car si on la découvrait, ce serait la fin des haricots. Elle mangeait alors de tout cequ'elle savait comestible. Elle en aima certains et pas d'autres mais fut surtout touchée par la différence qu'il existe entre les fruits tout juste cueillis et les mis en conserve.
A quelques pas d'elle, sans le savoir, elle était observée par un homme de taille moyenne, les cheveux noirs argentés sûrement par l'âge. Il portait des habits simples et des chaussures tout aussi simple. La seule chose qu'il avait de valeur semblait être la montre qu'il avait au poignet. Il toussauta
- Qui est donc cette amoureuse de la nature??
Joyce trébucha et tomba sur ses fesses car elle s'est prise le pied dans une racine. Embarrassée, elle se leva en s'essuyant le postérieur.
- Joyce. Joyce Pies. fit-elle en tendant la main qui fut bien accueillie
- Je suis désolé pour votre chute. J'espère qu'il ne vous est rien arrivé!
- Le moins du monde, plus de peur que de mal.
- Que fait une aussu belle fille seule dans une forêt?
- Elle fuit le diable qu'est l'ennuie mortel d'un avant-midi solitaire.
- Alfonso Da Rocha Aldini
- Etes-vous un apparenté au Señor Aldini propriétaire de ce domaine??
- Pauvre enfant, je le suis. il l'avait dit avec le plus de naturel possible. Et vous??
- Qui... moi... je... je...
- Suis la fiancée de Marc!! la completa-t-il
- Mais co... comment vous le savez??
- Je suis chez moi ici jeune fille. Je sais tout ce qui s'y passe. Un peu curieux, j'ai voulu voir de par moi-même à quel point vous êtes belle.
- Et... et la tradition??
- Je ne l'ai jamais aimé et je me suis toujours forcé de ne pas la pratiquer. Je me dois de faire croire le contraire aux autres vu que je suis le chzf de la familia. Que cela reste entre nous deux s'il te plait.
- De toute façon, si ue l'avais dit à Marc, je signerai mon arret de mort.
*Madame?*
Joyce entendit son nom cité au loin et reconnu la voix claire et distincte de Lupe.
- Monsieur je dois partir
- Je vous reverais bientôt
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La suite bientôt. Je vous ❤ bcp et thx pour les vues , publicités et autres. Thx beaucoup
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Le Millionnaire qui avait tout sauf moi
RomanceC'est une histoire d'amour entre une jeune fille: Joyce et un jeune millionnaire. Elle travaillait dans le motel de son père avant que le millionnaire ne la sauve de la mort. C'est là que tout bascule.