Ennemis pour toujours

Notre passer

Martin : tu part où, Elodie ?

Elodie : dans un endroit calme... (Surtout loin d'eux).

Daniel : ...

Martin : ...

Le silence s'installe et je reprend la parole.

Elodie : et si je viens, tu vas nous emmener ou ? (J'aimerais bien savoir aussi).

Martin : ! Eh bah dans un endroit amusant ! Quel question !

Daniel : comme ?

Martin : comme dans un parc d'attraction !

Elodie : quel gamin. (Il est un vrai gamin, il fallait s'en doutée).

Martin : oui mais au moins c'est plus amusant que de partir seul.

Elodie : bref t'as pas de chance, je dois me rendre a un endroit aujourd'hui. (Faut que j'achète un livre, pour le lycée).

Martin : alors tu avais vraiment des projets, aujourd'hui.

Elodie : c'est quoi, cette question ridicule ? (Il le fais exprès, ma parole).

Je lui regard d'un air menaçant.

Martin : quoi, mais elle n'est pas ridicule ma question. C'est jusque je voulais affirmé, ce que tu as dis.

Elodie : pourquoi je mentirais ?

Daniel : ...

Martin : bah chez pas.

Elodie : je sors maintenant, si vous avez besoin de moi alors vous avez pas besoin de m'appeler car je ne répondrais pas. (Pas besoin de leur donnée mon numéro a ses deux imbéciles).

Martin : d'accord...

Daniel : ok.

Je dois partir au cimetière, aujourd'hui. J'arrive puis cherche le cimetière de mes parents biologique.

Elodie : je suis désolé de ne pas être souvent venu mais maintenant je suis là. J'espère que vous allez bien, pour ma part, je vais bien.

Tout en parlant, j'arrose leurs tombe.

Elodie : vous me manquer beaucoup, j'espère que vous me voyez de là-haut.

Je me rappel du moment où j'étais encore avec eux.

Elodie : c'était un accident et maintenant, vous faites parti du passé. Je voudrais juste une dernière fois, vous voir et vous sentir près de moi pour la dernière fois.

Une larme coule et je ferme les yeux pour me remémoré mon passé. Quelques heures sont passée et je décide de partir. Je sors du cimetière pour aller a la librairie.

Vendeuse : bonjour et bienvenue !

Elodie : bonjour... (elle est obliger de crie dans les oreilles ?).

La vendeuse s'approche de moi puis m'adresse la parole.

Vendeuse : que puis-je faire pour vous aidée ?

Elodie : je cherche un livre. (Bah au moins là, elle ne crie plus).

Je lui répond s'en tarder.

Vendeuse : et comment ce nomme votre livre ?

Elodie : elle ce nomme "Une vie vers le bonheur mais la rancune fais place au malheur". (Elle me serai utilise pour le trouvée).

Vendeuse : alors voyons voir.

Elle s'approche des étagères puis trouve le livre que je cherche.

Vendeuse : ah, le voilà ! Elle vous fera 1,50€.