Je serais toujours là pour toi, tome 2 : Next generation

20

Pdv Akira

Quelle idiote cette Irina, elle a creusée sa propre tombe. Ça m'arrange, mais ils m'ont quand même remit un soldat stupide sur le dos mais il sera beaucoup plus facile à manipuler. Cela va faire plusieurs jours que j'ai changée de surveillant et une semaine que les soldats ainsi que mes hommes sont revenus. Mes hommes cherchent partout sans l'accord du gouvernement, de toute façon, il ne peut rien contre nous. Je discute souvent par message avec mes hommes pour voir leur progression.

- Il passe enfin à l'action

Je souris, je vais enfin le récupérer.

- Parfait

Le soldat a reçut un appel.

« Oui ?.... Quoi ?... Mais et Akira ?.... Très bien, j'arrive toute suite. »

Il raccrocha.

« Je suis forcé de partir. »

- Que se passe-t-il ? demandais-je innocemment en savant pertinemment ce qu'il se trame.

- La cible a été retrouvée et extermine petit à petit tout nos hommes, ils ont besoin de renfort.

- Mais, ils n'en ont pas déjà reçut il y a peu ?

- Si mais ce n'est pas suffisant. Bref, ne faite rien d'imprudent. » finit-il en partant.

Imbécile, vous pensez vraiment qu'un simple homme de plus va faire changer la donne ? Alors comme ça, tu extermines tout le monde ? Tu es devenu bien violent mon petit Shouta.

- On sait où il est allé.

Attends moi, mon petit, j'arrive. Je suis allée au lieu indiqué, je m'avance petit à petit dans une ruelle sombre.

« Argh !

- AAHHHH ! »

J'entends les derniers souffles d'hommes. Shouta est essoufflé, ça s'entend. Il est immobile à reprendre son souffle, plein de sang.

« Euh bien, quel carnage. »

Il s'est retourné d'un coup avant de me lancer un regard noir.

« Akira... » dit-il avec haine.

Je me lèches la lèvre, cette expression, c'est exquis.

« Voyons, ne me regardes pas comme ça, dis-je d'un sourire satisfait, je ne te savais pas si violent, continuais-je en regardant partout.

- Qu'est-ce que tu fais là ? demanda-t-il violemment.

- Quelle question, je suis venue te retrouver. Tu vas rentrer avec moi.

- Tu crois vraiment que je vais te suivre ?

- Je pensais que tu viendrais, après tout, c'est ta maison.

- Ce n'est pas chez moi.

- La rue non plus. Allez, viens, reprenons nos bonnes vieilles habi...

- Parce que trouve qu'elles étaient bonnes ?! »

Cette colère, c'est magnifique.

« C'est toujours mieux que d'être recherché et attaqué.

- Je préfère ça que d'être avec toi !

- Ne sois pas aussi réticent, tu me manques.

- Je te manque ou ce que tu me faisais te manque ? »

Un énorme sourire se dessine sur mon visage.

« Aller, ne dis pas ça, toi aussi tu me manques beaucoup.

- Connerie.

- Rentres.

- Jamais.

- Mais voyons, écoutes moi, je suis ta mère.

- TE FOUS PAS DE MOI ! » cria-t-il en m'attaquant.

Mon arme m'a protégée en lui donnant des dégâts.

« Argh, kof kof, fit-il faiblement.

- Tu sais très bien que tu ne peux rien contre moi, alors pourquoi essayer ? Reviens donc, tu n'aura plus à voler. Si tu restes ici, tu vas mour...

- Je préfère crever que revenir avec toi !

- Très bien, dis-je avec sérieux, si tu ne veux pas revenir avec la manière douce, ce sera avec la manière forte.

- Aaaaaah ! » cria-t-il.

Je l'ai attaqué. Il est a terre, je me suis accroupit pour être à peu près à sa hauteur.

« Et puis, si tu continu, c'est sur Aguri que ça va retomber. »

Il a ouvert grand les yeux avec rage.

« La touche pas !!!! » cria-t-il
Il a sauté d'un coup en l'air en m'attaquant, je me suis protégé en le blessant. Quel naïf, il croit vraiment que... Quoi ?! Il a brisé le bâtiment et des fragments en tombent. Je me suis reculé d'un coup. La poussière me cache la vue. Elle s'est dissipée et Shouta s'est volatilisé, tss. Il sait très bien que si il m'aurait vraiment attaqué, mon champ de protection m'aurait protégé et l'aurait blessé. Je suis de nouveau au point de départ, quelle plaie. Les débris ont écrasés beaucoup d'hommes.

« Ai...dez...moi... dit faiblement mon surveillant à terre.

- Oh, comment on se retrouve ?

- Ai...dez...moi... »

J'ai sourit chaleureusement.

« Mais tout naturellement. »

Il retrouve espoir, je le regard avec méprit.

« Je vais abréger vos souffrances.

- Qu... ? »

Je l'ai attaqué avec mon arme, le tuant sur le coup. Franchement, mon petit Shouta, quand si tu commets des crimes, fais le au moins en entier même si tu n'en veux qu'au labo. Je me suis retournée, il y a beaucoup de soldat qu'il a bien-entendu épargné. C'est déprimant, je dois le faire moi même et bien-sûr, je ne serais même pas soupçonnée. J'ai tué tout le reste des survivants et je suis partit. Tu peux fuir mon petit Shouta, tu sera bientôt de nouveau mien.