L'amour Immortel. L'amour des Enfers. Tome 3. (Terminer et Corriger ).

Chapitre 6. Amitié ou amour ?

Soudain, nous entendons une porte s'ouvrir avec fracas puis quelqu'un entra dans la pièce. Je reconnais alors le parfum d'Hadès. Il passa près de nous sans nous parler, puis alla s'assoir sur son lit avant de pousser un soupir et se prit sa tête dans ses mains.

- Alors mon oncle ?, lui demande Perséphone curieuse.

- Je lui ai dit que si elle recommencer, je l'enverrai chez les âmes damnées, lui répondit Hadès d'une voix froide.

Je frissonne, car sa voix est aussi froide que de la glace.

- Tu ne l'a pas exilé ?!, dit Perséphone abasourdie.

- Non, répondit Hadès d'une voix neutre.

La réponse de son oncle la fit soupirer.

- Très bien, mais si elle s'en prend encore une fois à Eden, je n'hésiterais pas à la pulvériser ! lui dit Perséphone en rogne.

- Perséphone, peux-tu nous laisser seul je te prie ?!, lui demanda-t-il calmement, je souhaiterais m'entretenir avec Eden.

- Comme tu veux, lui répond Perséphone.

J'entends les pas de Perséphone sortirent de la chambre, je compris alors que j'étais maintenant seule avec Hadès. Une fois que Perséphone soit sortie de la chambre de son oncle, un silence apparaît mais est vite brisé par Hadès.

- Je suis désolé pour ce qu'Adrienne t'a fait subir, me dit-il calmement.

- Tu n'as pas à t'excuser des actes d'Adrienne, car ce n'est pas de ta faute, lui répondais-je en lui souriant, mais est-ce bien sage de la garder auprès de toi ?

- Ne t'inquiète pas, dorénavant elle se tiendra à carreaux, me dit-il avec calme.

- je n'en suis pas aussi sûre que toi..., dis-je sincèrement.

- Douterais-tu de moi Eden ?, me demande-t-il d'une voix froide.

- P...Pas du tout.., c'est juste....que je suis inquiète pour la vie des autres prétendantes, lui répondais-je en bégayant.

- Tu n'as pas à t'inquiéter pour elles, et puis tu devrais éviter de penser comme cela, me dit-il calmement.

- Pourquoi dis-tu cela Hadès ?, demandais-je curieuse.

- Parce que vous êtes sensées être rivales et qu'elles n'auront aucune pitié pour toi, me dit-il avec lasse.

- Peut-être, mais je ne veux pas que cela arrive !, lui répondais-je avec rage.

Après avoir finis ma phrase, je pose ma main contre ma bouche, car je me rends compte de comment je viens de lui parler. Alors que je lui dois le respect, voilà que je me mets à lui parler comme un chien.

- Je suis désolée...je ne voulais pas te manqué de respect..., lui dis-je en baissant la tête, honteuse de mon comportement.

J'entends Hadès rire pour la première fois. Je dois avouer que j'aime beaucoup l'entendre rire.

- Tu n'as pas à t'excuser Eden, j'aime bien les femmes qui ont du caractère et qui sont sincères avec moi, me dit-il d'une voix douce.

Mon cœur palpite à cent à l'heure et je sens mes joues chauffées. Oh mon Dieu, il va le voir ! La honte !

- Mais dis-moi, pourquoi t'inquiètes-tu pour ces femmes ?, me demande-t-il curieux.

- Pourquoi veux-tu le savoir ?, lui demandais-je.

- Je veux avoir ton opinion, me répond-il.

- Parce que je ne veux pas me dire que c'est à cause de moi qu'elles ont été tuées c'est tout..., lui dis-je avec sincérité.