Chapitre 11: Mardi 17 Septembre 2058. Le matin.

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Pdv externe:

J'arrive au bureau un peu avant le débriefing du matin.
Installer devant mon ordinateur, je consulte les dernière mise à jours des dossiers, quand mon téléphone personnel sonne.

Au son de la voix de mon interlocuteur, je bondit de mon siège et me précipite vers la sortie.

Je porte encore ma blouse mais ce n'est pas grave. Pas le temps de me changer.

☆☆☆☆☆☆

Je me gare 5 minutes avant le point de Rdv. Une usine désaffecté à la sortie de la ville. C'est notre lieux d'échange habituel.

Je trouverai une excuse pour qu'on en utilise un autre.

J'entre et trouve tout de suite ma cible.

J'écoute les informations que me débite cet abrutis.

Et plus il avance dans son récit, plus la colère monte.

Ce connard va tout faire capoter avec ces conneries.

A la fin de sa diatribe. Je suis enrager.

Tout mon travail est en péril à cause de cet enflure.

Je sort un pistolet 9mm de ma poche et lui tire dans le coeur.
Et pour que personne ne puisse récupéré les renseignements contenus dans son cerveau, à l'aide d'un parpaing trouvé sur les lieux, je lui detruit la gueule jusqu'à que sa tête éclate comme une pastèque.

Je récupère sont téléphone sur son corp et part.

Je me débarrasserai de mes vêtements et de son portable en chemin. Pas question de ramener des morceaux de cervelle chez moi, déjà que je vais devoir nettoyer ma voiture.

☆☆☆☆☆☆

Je fait les 100 pas dans mon appartements.

J'ai envie de toi casser. Je n'arrête pas de ressasser ce que m'a dit ce petit con.

Le tuer ne ma pas calmer.

5 ans de travaux. Le but de la vie. Tout peux s'écrouler si je ne fait pas attention. Je ne peux pas me le permettre. Ma vangence ne verra jamais le jour si je suis découvert. C'est inconcevable.

Il y a 10 ans, rien que l'idée de tuer un homme m'aurai fait vomir.

Mais depuis ce jours cauchemardesque, une décennie plus tôt. Plus rien ne m'atteint.

Il faut que je me défoule. Je que je fasse du mal. Que je leur fasse du mal. À ces monstre. Ces erreur de la nature. Ces créatures de cauchemars.

Il n'y a encore pas longtemps, je serai descendu dans mon sous-sol pour une petite séance de torture. Mais mon dernier cobaye est mort de ses blessure et je n'en aurai pas d'autre avant un moment. Surtout maintenant que je doit être encore plus prudant.

Tout ça c'est de sa faute à elle, cette pseudo chef de service, qui se croit maligne.

Madame à décider de prendre des sujets plus jeune et qui vivent plus sainement parce qu'elle pense qu'ils auront de meilleurs réaction aux traitements.

Elle ne se rend pas compte des risque qu'on prend à kidnapper des gosses. Surtout à des êtres comme ça.

Et puis, elle pense que je n'ai pas vu qu'elle ne transmet pas à nos superireurs, toutes les découvertes que nous faisons au travail. Ça arrange bien ma cause. Si elle me fait trop chier je n'aurais pas grand chose à faire pour l'évincer. Mais pas maintenant. Ça gacherai ma couverture.

Et dire qu'elle croit que ces petits rats de laboratoire, reparte vivant quand ils ne servent plus à rien. On ne peut pas les garder trop longtemps sinon les maladies et virus qu'on leur injecte les turai. Bien-sûr ils y en a qui meurent avant qu'on ne les libère. Ceux là on les dissèque pour connaître la raison de leur mort.
Je ne vous cache pas que je me prête facilement à l'exercice.

CAPTIVEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant