Je reprends conscience doucement.
En premier j'entends des sons. C'est très vague, je crois que ce sont des gens qui parlent.Mes autres sens se réveillent petit à petit.
D'après ce que je ressens, je suis allongé sur une surface dure et froide, ce n'est pas très agréable.Puis j'essaie de bouger.
L'angoisse me submerge quand je comprend que je suis attaché.
Mon coeur tambourine dans ma poitrine.
J'ouvre les yeux.
Et je la vois, cette femme habillé comme un médecin avec ses ciseaux toujours pointé vers moi.
Je me souviens d'où je suis.
J'aimerai crier, mais je respire trop fort. Impossible de sortir la moindre volalise.
Les larmes glissent sur mon visage, jusque dans mes oreilles.
J'ai peur.
《Commençons》dit cette dernière.
Elle découpe ma robe et ma culotte.
Je me retrouve entièrement nue. À la vue de tous.
Je ne sais même pas combien il y a de personne présente dans cette pièce.Je me sens humiliée. Mon dieu c'est un cauchemar. Réveiller moi. Par pitié.
《Étude du sujet LF49, reprend la femme, premier examen.》
Un homme approche vêtu du même accoutrement.
Il m'ouvre la bouche, inspecte mes dents et ma gorge à l'aide d'une languette en bois, me braque une lumière vive dans les yeux, ausculte mes oreilles avec un appareil et termine en regardant ma tête et mes cheveux.
Je crois qu'il vérifie si je n'ai pas des poux.
Ça fait mal.
Ses mouvements sont brusques.
Puis il part, je ne sais où dans la pièce, j'entends des bruit de pas et de meubles qu'on pousse.Au même moment je sens des mains me palper les bras, les jambes, le ventre pour finir par les seins. C'est la femme qui me touche.
Ce sont des gestes cliniques mais je me sens quand même dégrader.Je pleure encore plus.
J'essaie d'analyser tout ce qu'on me fait. Pour comprendre. Ce qu'il m'arrive, ce que je fais là. Ce qu'on attends de moi.
On me mets du gel froid sur l'abdomen et y applique une sonde, je pense que c'est un échographe.
L'homme revient avec une seringue et des tubes dans la main.
Il me pose un garau, à l'aide d'un élastique coupé, sur le biceps gauche, tapote la pliure du bras, désinfect et me pique.
Une prise de sang.On me coupe les ongles des mains et des pieds à ras.
Ils notent tout ce qu'ils fond sur une tablette.
《Examen médical terminé.》 Dit la femme.
Puis on me fixe à la cheville droite un cercle de métal qu'ils referment avec une soudure.
Sa brûle, je crois au début que c'est à cause de la chaleur que dégage le poste à souder, jusqu'à que je me rende compte que plus personnes ne le touche.
MERDE!! MERDE!! AU PUTAIN!! NON!! FAIT CHIER!!
La colère me consume.
Alors je me mets à crier:《Enlevez moi ça!!! Enlevez moi ça bande d'enfoiré!!!》
Je m'agite dans tous les sens pour le libérer.
Pousse des hurlements de dingue.Je reçois une fléchette dans le ventre mais je continue à me secouer comme une malade.
J'en reçois une autre dans la cuisse et je sens mon corp se calmer.
Mes yeux coulent. Je pleur de nouveau.
Je veux partir. Je veux rentrer chez moi.
Je crois que si j'étais aussi calme jusqu'à maintenant, c'est bien parce que je me suis dit que quand ma louve se réveillerai, je pourrai me libérer.
Après tout ce sont des humains. Je suis plus forte.
Il fallait juste attendre de reprendre des forces, un peu de nourriture pour que les drogues dans mon organisme se dissipe.Ils vont bien finir par le nourrir. C'est pas pour mourir de faim que je suis là de celà j'en suis sûr.
Mais maintenant je commence à perdre espoir.
L'anneau à ma cheville est en argent.
Toute transformation est désormais IMPOSSIBLE.
Pas temps que je n'aurais pas trouvé un moyen pour enlever cette chose.
Voilà, pour terminer cette deuxième journée de captivité.
C'est un petit chapitre, mais comme je l'ai expliqué dans une NOTE, ils ne seront pas toujours très long. Tout dépend du moment de la journée dans le chapitre et de ce qu'il s'y passe.
Mais vous inquiétez pas je me rattrape après. 😚😚😚😚😚
Bisous mes loulous. 💋💋💋💋
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CAPTIVE
مستذئبJe m'appel lya j'ai 18 ans et je suis une louve garou. Nous somme en 2058, et il y a une trentaine d'année, pour sauver le monde, les êtres surnaturels ce sont dévoilés. Nous ne faisons pas l'unanimité aux seins des gouvernements. Aussi des organism...