Une Minute

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Bonjour, bonsoir ! Me revoilà avec un nouveau chapitre qui marque la fin de la première partie du livre ce qui veut dire que l'on commence à rentrer dans le vif ehe ;) N'oubliez pas de voter et commenter, BONNE LECTURE !

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- Quel connard !

S'il vous plaît, tuez-moi. Mon père, ma mère, Josh et moi sommes autour du bureau du proviseur, celui-ci assit sur sa chaise, nous regardant nous disputer comme des enfants. 

- Mais qui êtes-vous au juste ? s'exclame ma mère en remarquant mon meilleur ami qui vient de bondir de sa chaise. 

- Vous êtes une charmante jeune femme madame Taylor, je suis Josh Gribb, joueur de l'équipe de football et accessoirement le meilleur ami de Matthew. Votre tailleur vous va à ravir.

Et bien, Josh semble savoir parler aux femmes. 

- Oh merci, rougit ma mère flattée, je suis ravie d'enfin rencontrer un ami de mon fils, je commençais à me demander si il en avait vraiment.

Merci maman, ça me va droit au coeur. 

- Je suis tout aussi heureux que ma femme, intervient mon père lorsqu'il remarque le petit jeu de Josh, mais pourriez-vous nous laisser ? Je crois que vous avez des cours et ce n'est pas l'équipe de foot qui va payer vos études.

C'est un blague ?! Mes parents et le tact sont deux choses bien différentes apparemment. 

- Papa ! Tu-

- Monsieur Taylor, me coupe Monsieur Charlet, votre père a raison, Monsieur Gribb n'a rien à voir avec votre histoire avec Hugo alors il serait mieux qu'il parte.

Contre son gré, le brun quitte les lieux en me lançant un dernier regard d'encouragement, il sait que ça ne va pas être une partie de plaisir surtout après ce que ce connard de Louis a été dire au proviseur sur notre bagarre avec King ou de son vrai prénom Hugo. Entre autre, j'aurais jugé la Bad Class de clochards sans conscience morale ce à quoi King aurait répondu calmement en tentant d'apaiser les tensions et pour finir je lui aurais foutu un coup dans le nez... C'est comme dire qu'une fleur nous a frappé, ridicule et invraisemblable.

- Donc ce que l'on me reproche c'est d'avoir frappé un imbécile qui se croit tout permis à me manquer de respect ? Il m'a quand même dit que j'étais un petit fils de riche, ça choque personne à part moi ?!

Visiblement non puisque les trois me regardent avec des yeux remplis de sévérité. 

  - Je n'ai jamais donné le premier coup, je geins, et puis je ne sais même pas me battre ! C'était simplement de la légitime défense, vous n'allez quand même pas me virer pour ça Monsieur !

A peine ai-je prononcé ma phrase que mon père se lève pour sortir de la salle, son poing d'ors et déjà refermer autour de lui. Il n'a jamais réellement aimé le fait que je me batte et je crois que la dernière fois lui aie resté en mémoire. 

- Monsieur Charlet, débute ma mère en sortant son plus beau sourire, je comprends que mon fils est dépassé les bornes même si, sous votre respect, je doute qu'il est dit une chose pareil mais passons... Nous venons d'arriver en France et l'adaptation est quelque peu difficile, je vous prierais d'être clément envers sa punition.

- Oh mais ne vous inquiétez pas madame Taylor, s'exclame le concerné, je ne comptais pas renvoyé définitivement Matthew plutôt l'exclure deux ou trois jours c'est tout. Avec des notes pareilles, évidemment que je vais le garder.