JEU D'INNOCENCE

CHAPITRE 1 (version réecrite)

Son toucher, son regard, son odeur, sa voix, sa peau, ses caresses, tout chez lui me rendait folle. Il déposa de chaste baiser tout autour de ma mâchoire, descendant petit à petit dans mon cou, me faisant frissonner. Je ne le connaissais pas depuis longtemps, mais une espèce de force invisible me reliait à lui et créait en moi un sentiment d'épanouissement lorsque je me trouvais avec lui. Tout ce que je ressentais était plus intense que tout ce que j'avais pus ressentir auparavant. Ses baiser continuait de descendre sur mon corps, y laissant de fines traces rouges qui réchauffaient celui-ci.

La sonnerie insupportable de mon réveil m'extirpa de ce rêve divin, et je lança  l'objet en question à travers ma chambre, exaspérée. Je me retira de mon lit chaud pour atterrir sur le sol froid de ma chambre . Les pieds gelés, je me mis à sautiller sur place pour finalement trottiner jusqu'à ma salle de bain. J'ouvris l'eau et me faufila sous l'eau tiède de la douche.
L'orsque je sortis, je me prépara rapidement, sentant l'angoisse monter peu à peu en moi. Aujourd'hui était mon premier jours de cours dans mon nouveau lycée à Los Angeles. J'ai passer l'été à Miami, ma ville natale, et ma grand mère est tombée malade peu avant notre grand départ pour la Californie, ce qui a donc tout chamboulé, et causé mon arrivée dans le lycée une semaine après la rentrée. Mon père et ma mère sont des personnes assez haut placé sur le marché des affaires, ce qui a causé ce déménagement, bien qu'ils ne soient quasiment jamais présent, à cause des voyages d'affaires très fréquent.

Après avoir enfilé mes vêtements, je mets une légère couche de mascara et descend petit déjeuner dans la cuisine. Ma mère m'a préparé des pancakes, il ne me reste plus qu'à préparer mon café. C'est là l'avantage d'avoir des parents souvent absent; lorsqu'ils sont présents, ils me gâtent.
Tout en mettant une quantité astronomique de sirop d'érable sur mes pancakes, je regarde l'heure sur mon micro-ondes, et manque de faire une crise cardiaque. Il était sept heure trente neuf. Tant pis pour le café, je me rue dans l'entrée pour attraper mon sac, me vêtir d'un manteau, enfiler mes chaussures, et me précipite dehor. Je marche d'un pas rapide pour arriver au lycée à temps. Il ne manquerait plus que je sois en retard pour ma première journée.

J'arrive finalement au lycée avec dix minutes de retard, et me dépêche de trouver le bureau du directeur. Un fois cela fais, je toque et entre dans une pièce faite de bois foncé, décorée d'un bureau que je suppose etre en chêne masssif, derrière lequel se trouve un homme qui doit avoir dans la cinquantaine environ, et qui me regarde avec de gros yeux.

"- vous êtes en retard mademoiselle Holtz.

-Veuillez m'excuser monsieur, mes parents sont absents et je n'ai pas anticipé que je ne connaissais pas le temps de trajet jusqu'ici. »

Le directeur m'excusa, et me donna rapidement mon emploi du temps pour que je puisse rejoindre ma classe. Je couru à travers les couloirs pour trouver celle-ci, et lors ce que j'y arriva, essoufflée, je toqua le cœur battant, avec plus de 20 minutes de retard. Ce n'était pas une première pour moi d'arriver en retard en cours, mais le jour d'une « rentrée », ça l'était.
J'entrais dans la classe après y avoir été autorisé, et regarda le professeur, un homme ayant probablement dans la trentaine, qui me regardait d'un air interrogateur,puis tourna la tête vers la classe, qui me dévisageait .
Je me racla la gorge et annonça mon identité au professeur.

"- Bonjour, balbutiai-je, je suis nouvelle, je..

-Mia Holtz, je présume, Me coupa-il, quelle drôle de façon de commencer l'année. Un retard  n'est pas la meilleure solution pour vous faire remarquer, mademoiselle. » 

Prise de court, partagée entre la honte et la colère, je m'excusa rapidement en attendant qu'il m'indique où m'assoir.

"- au moins vous êtes poli, dit-il avec sarcasme, asseyez-vous ici. »

Le professeur m'indiqua une place au quatrième rang, à côté d'un garçon aux allures de bas boys infréquentable, vers laquelle je me dirigea sans rien dire.
Le regard de tous les élèves était scotché à moi, je pouvais le sentir et cela me rendait mal à l'aise.
Je m'installa silencieusement, pendant que le professeur d'histoire reprenait son cours.
Le garçon à côté de moi me regardait depuis quelques minutes, ce qui commença à me taper sur les nerfs.

«–Il y a un problème?  Je demanda simplement.

-Aucun, pourquoi ? Répondit-il avec une rrogance joueuse.

-Parce que tu me regarde depuis que je suis assise?

-Je n'ai pas le droit de te regarder ?  Répondis-il du tac-au-tac.

Ok. Il marque un point.

-Autant pour moi, tu fais ce que tu veux. »

Je mis fin à cette conversation très étrange pour me concentrer sur le cours lorsqu'il renchéri en me tendant sa main.

« - Jordan, Jordan Beckel. »

Je lui serra la main, réticente.

« -Mia Holtz. »

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Voila pour le premier chapitre réécrit, J'espère qu'il vous aura plus. J'ai essayé de garder les éléments du premier chapitre de la version originale, pour ne pas fausser le nombre de chapitre et le contexte de chaque chapitre.

Voilà tout. Bisous❤️