Jules fixait Dalanda sans savoir que dire. Il n'en revenait pas. Il avait mis en péril sa relation avec SA femme SA Sadiya pour une raison qui n'était même pas valide. Il s'en voulait à mort, il avait envie d'étrangler Dalanda de ses mains. Il n'était pas un criminel, il se reprit et démarrait la voiture. Il retourna tranquillement à l'appartement de Dalanda. Pendant tout le trajet celle ci n'arrêtera de pleurer. Arrivée devant l'immeuble il lui demanda tranquillement de descendre, elle ne se fit pas prier et s'enfuit en pleurs. Jules roula longtemps et pris le chemin de la plage déserte sur laquelle il allait se ressourcer quand il était confus. Une fois sur place il enleva ses chaussures pour se balader sur la berge il laissa le sable lui masser la plante des pieds, ce contact l'apaisait. Il pensa longtemps au bordel que sa relation avec Dalanda avait foutu dans sa vie... il ne comprenait pas comment il avait pu être si crédule. Il s'était fait avoir comme un débutant, il n'arrivait pas à y croire. Il resta là à contempler les vagues et à penser à ses nouvelles résolutions. Et vers les coups de 17h il rentra chez lui, chez Sadiya. Arrivée, papi courrait pour se jeter dans ses bras.
-papi: papa est là! Papa est là!
-Jules: viens la champion! Tu m'avais manqué dit-il en le serrant fort dans ses bras.
Il jouèrent un peu puis il monta voir la petite princesse et sa maman. Il entra dans la chambre et trouva Sadiya entrain de donner le sein à la petite ce tableau fît déborder son cœur d'amour.
-jules: comment vont mes deux amours?
-Alimatou: ah tu es là? Je ne suis pas de tour aujourd'hui.
-jules: c'est fini tout ça
-Alimatou: quoi? Fit elle en levant la tête vers lui
-jules: Dalanda et moi c'est fini.
Alimatou ne dit rien et continuait à le regarder bizarrement.
-jules: j'ai découvert qu'elle voulait juste se jouer de moi. Elle avait perdu l'enfant depuis plus d'un mois mais continuait à me faire croire qu'elle était toujours enceinte. Je ne vois plus dans ce cas une raison valable de continuer à jouer la comédie.
-Alimatou: ah ok. C'est tout ce qu'elle avait trouvé comme réponse. Elle ne lui accorda même pas un petit regard après ça. Et continuait à nourrir sa fille.
Jules: Sadiya, tu as entendu ce que je viens de dire? Tu n'es pas ravie? Cette mascarade est enfin terminée! Tout reviens à la normale.
Elle aida la petite à faire son rot et la coucha dans son berceau. Alimatou se retourna vers Jules
-Alimatou: ah ok... et?! Tu t'attends à quoi au juste que je saute dans tes bras et que je sois heureuse? Eh ben désolée de te décevoir. Tu sais quoi j'en ai marre! Marre de tout de ton égoïsme, marre de tout. Tu fous tout le temps la merde et tu reviens après avec le sourire espérant que tout s'arrange?! Non Jules pas cette fois... elle avait le visage tout mouillé par ses larmes. Elle sortit de la chambre et le laissa seul. Il était frustré et en même temps triste de la réaction d Sadiya. Elle avait un peu raison se dit-il. Il décida donc de ne pas en rajouter plus, il allait juste laisser faire le temps, ça lui passera.
*
* *
6 mois était passé depuis la fameuse nouvelle de Dalanda. Jules l'avait libérée et elle avait pris la décision de quitter le pays pour un moment. Mais la relation Jules-Alimatou était statique, rien n'avait changé depuis le temps. Alimatou était toujours froide à l'égard de Jules, ce dernier quand à lui faisait tout pour se faire pardonner, il avait tout tenté mais rien ne marchait. Et ces 2 derniers mois il avait perdu tout son enthousiasme et fini par baisser les bras. Alimatou même si toutes ces histoires lui faisait mal au cœur, elle admettait quand même qu'elle aimait toujours son mari son homme son Jules le père de ses magnifiques enfants. Cela faisait presque 8 mois qu'il ne l'avait pas touché, elle était en manque, mais là vraiment... cependant elle avait vraiment honte de l'admettre, d'admettre que son homme lui manquait. Mais elle avait un plan. Donc ce vendredi là après avoir couché les enfants, elle se rendit dans la salle de bain et se prépara elle avait mis une des nuisettes que lui avait offert rama lors de son dernier voyage et mis son peignoir en soie dessus histoire de cacher tout ça. Elle pris son courage à deux mains pour mettre en œuvre son plan. Elle dépassa Jules qui regardait la télé. Une fois dans la cuisine elle pris un verre et le lacha, il s'écrasa et on entendait le bruit jusqu'au salon. Jules apeuré accouru aussitôt, il l'a trouva assise parterre se tenant la tête.
Jules: Sadiya tu vas bien?! Mon Dieu! Dis moi que tu n'a rien
-Sadiya: non... je... je... j'ai juste... perdu mon équilibre... je me sens étourdie
Elle tenta de se lever et fit exprès de trébucher à nouveau
Jules: doucement, ne fait plus d'efforts, laisse moi te porter à ta chambre.
Jules la souleva et l'emmena à sa chambre, arrivé , il l'a coucha sagement sur le lit. Et lui apporta un verre d'eau
Jules: ça va tu vas mieux
Alimentation: oui... ça va... mais j'ai chaud.
Elle défit le noeud de son peignoir et le fit glisser lentement dévoilant ainsi la nuisette qu'elle portait en dessous. Jules avait les yeux qui allait bientôt sortir de leur orbite, ce qu'il voyait le laissait sans voix. Il se leva comme si les draps le brûlait et s'éloignait du lit
Jules: bon... je... je... je pense que je vais y aller.
Alimatou: tu ne veux pas rester avec moi dit-elle? D'un air assez suggestif
Jules: tu veux vraiment que je reste?
Le regard qu'elle lui lança suffisait à le convaincre. Aujourd'hui c'est elle qui pris les commande, et fit passer à son homme une nuit inoubliable. Ils avaient faim l'un de l'autre et comptaient bien se rattraper il n'arrêtèrent qu'au petit matin. Ils avaient toute la journée un énorme sourire. Jules passa la journée à réfléchir à comment il pourrait faire plaisir à sa femme. Il avait finalement trouvé une idée géniale, donc il arrangea un meeting avec Didi pour lui expliquer le deal. Une semaine après Tout était fin prêt!
Ce jour la Didi devait passer la journée avec Alimatou, c'était leur journée girly! Rama manquait au rendez-vous car elle avait voyagé.
Alimatou: non mais Rama nous manque c'est le 3ieme rendez-vous qu'elle rate
Didi: oui elle nous manque mais bon son boulot c'est la priorité. J'espère juste qu'elle sera la pour le prochain rdv
Alimatou: il faut que j'appelle la nounou pour voir comment vas ma princesse
Didi: arrête de t'inquiéter tout vas bien. Euh sinon je dois aller à l'aéroport récupérer mon cousin George, tu m'accompagnes?
Alimatou: layyy bayil rek ma gnibi (non laisse moi rentrer) mes amours me manquent
Didi: mais j'y vais dans 30min je t'en prie!
Alimatou: didiiii toi aussi... tu es une grande fille vas-y!
Didi: ok je le récupère et puis après je te dépose diap di rek s'il te plaîttttttt
-Alimatou: hahaha ok c'est bon fait pas cette tête.
Didi: merci t'es un amour!
Et trente minutes plu tard elles étaient à l'aéroport. Didi se dirigeait vers les "départs"
Alimatou: non tu te trompes de porte Didi c'est les départs ici, les arrivées sont de l'autre côté dit-elle et en se retournant elle vit devant elle son mari qui tenait deux valises et il criait en cœur avec Didi
Didi, Jules: SURPRISE!!!
Elle était choquée elle ne comprenait pas ce qui se passait.
Jules: mon amour voici deux billets pour le brésil, je sais que c'est un pays que tu as toujours voulu visiter et voilà nous y allons pour 2 semaines
Elle n'en revenait pas elle était heureuse, la plus heureuse de toutes!
Alimatou: amour fallait pas! Je suis trop contente
Didi: profite bien ma puce et t'inquiète pas pour les enfants ils seront avec moi.
Jules: allons y vite, il ne faudrait pas qu'on rate notre vol bébé
Elle ne savait que dire, son cœur débordait d'amour pour cet homme... il la pris par la main et il courraient pour enregistrer leurs bagages...Cc mes amours! J'espère que vous allez bien. Voici la suite comme promis. Enjoy it! J'attends vos avis dans les commentaires. Des bisous 😘😘😘😘❤️
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Miel Amer
RomanceCeci est l'histoire de la vie d'une jeune femme sénégalaise du nom de Alimatou Sadiya Kane. Elle a tout pour plaire sa vie est telle un conte de fées le jour ou elle recontre son prince charmant. Sa vie prendra tout une autre tournure lorsqu'elle dé...