chapitre 5 "7"

86 13 6
                                    

J'hésitais devait je retourner en cours ou non . Retourner subir les brimades de mes camarades ou rentrer chez moi subir mes parents qui vont en faire des caisses. Non je n'allais dans aucun de ses endroits , c'est mon corps qui me conduit à cet endroits il m'emmena d'abord dans le couloir oui descendit les escaliers traversa la cour de l'académie et passa l'arche d'entrée ensuite il continua tout seul traversa la ville et stoppa net dans cet endroits.
Je m'était conduit instinctivement içi c'était après tout le seul endroit où je me sentait bien. Je respira à plein poumon cet air pur et m' assis sur le rebord les jambes pendant dans le vide infini de l'espace c'était interdit mais personne ne me disait jamais rien la gens avait trop peur.

Dans cette endroit je pouvait être moi même je pouvait laisser entrer la nature dans ma propre bulle.

- Alors c'est donc toi....

Je sursauta , je me retourna et vis un garçon d'environ une quainzaine d'année, il était plutôt grand il avait de grand yeux vert bleu et des cheveux d'un noir de jais. J'eu honte de l'avouer mais il était plutôt mignon non pas que je le trouvait beau .
Je n'avait pas fait attention mais depuis son intervention je le fiXait depuis au moins une minutes avec de grands yeux ronds.
La honte m'envahir et je détourna la tête car j'avais senti en moi monter une bouffer de chaleur. Je rougissait très vites et cette bouffée ne pouvait signifié q'une chose :j'étais rouge comme une tomate du menton jusqu'au oreilles.

-À la la c'est comme sa par tout vous êtes toutes les mêmes et moi qui croyais que tu était divergente des autres.!

Ne comprenant pas ce qu'il voulait me dire je ne pu m'empêcher de laisser s'échappe un son un peu contortioner qui traduit devait donner quelques chose un peu comme ça :

- HEIN ???

- Bah oui dès que les filles me voie elle ne peuvent s'empêcher de rougir et de tomber éperdument folle de moi vue ta réputation je pensait que tu était différente mais apparement non...

Après sa il laissa échapper un soupir d'exaspération, et je ne pu m'empêcher de répliquer.

- Tu n'est qu'un gros BOUFFON!!!!!!!!!!

Après sa il partie dans un fou rire phénoménal ne sachant pas comment le prendre je m'étonnais moi même de le rejoindre dans un énorme éclat de rire.

Je décide ensuite de m'en aller et de le laisser là j'enlève donc mes jambes du rebord et me releva mais au moment où je partais il me retint par le poignet et me demanda:

- Tu ne t'es pas présenté ce n'est pas très polie dit moi?

- C'est l'hôpital qui se doit de la charité dit moi tu veut qu'on parle de politesse et tu ne t'es pas présenté non plus .

- Justement honneur au femme..,

Je lui répondît par un silence lourd de sens et arracha mon poignet de sa prise . Puis je m'en alla et pour de bon.
Je me dirigeait vers chez moi quand je l'entendit crier au loin:

- Je m'appelle Gideon , Gideon Geller
Mais tu peut m'appeler GG !!!!!!!!!

Je fis mine de ne pas l'entendre mais il était bien la personne que je pensait il était la coqueluche du collège.

***
J'arriva devant chez moi . J'habitais dans le Old quartier c'est comme ça que les gens l'appelait car c'était l'endroit où se trouvait la plupart des rares maison de l'ancien monde. Mon immeuble faisait 3 étage j'habitais au 2 ème étages . Le Old quartier était en réalité le sanctuaire de tous les artiste , il y avait souvent des patrouilles de l'armée cherchant quelques personnes mal cacher pour pratiquer leur art .il n'était pas rare que des gens soit emmener. J'entre dans le halle d'entrer et décida de prendre l'ascenseur car avec toute cette marche j'avais les jambes en compote. J'entendis la vieille musique d'ascenseur des années 2020 . Le disque étant rouiller cela sautais régulièrement et déformait parfois les paroles.

- Ting!!! J'entra dans l'ascenseur un peu branlant et qui grinçait au moindre de vos mouvements.

L'ascenseur grimpa jusqu'au deuxième étages dans un cafarnaum de bruits de vieille feraille rouillé.

En arrivant devant ma porte je m'apprêtais à prendre mes clés quand je m'aperçut que c'était déjà ouvert je poussa donc la porte du bout du doit et entra dans la pièce. Cette nous étions extrêmement bordélique mais la ce n'était pas un bordel c'était des trace de fouilles . Je me dis que ma mère avait sûrement dit essayer de chercher quelque chose voilà tout . Je posa mon sac et descendit voir au sous sol dans la chambre noir si il n'avait pas fermé la porte c'est forcément la qu'ils sont je descendit donc au sous sol en espérant qu ils était juste en train de développer des image mais il n'y était pas .

Je remonta donc demander à Gino le voisin du dessous mais lui non plus ne l'avait pas vu.

Aujourd'hui pour la première fois de puis des années j'avait réussi à parler normalement avec quelqu'un mais finalement cela n'avait contribué seulement à m'enfermé encore plus dans ma bulle...

BULLEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant