Si la vie était juste, je ne pleurerais pas,
Condamné à te voir avec lui t'évader.
Violemment impuissant, j'assiste à vos ébats
Et observe mes rêves, d'un coup s'évaporer.Quelle atroce douleur fait un cœur qui se brise.
Quel affreux sentiment, oui, qu'est la solitude.
Lorsque pour compagnie, on a juste la bise,
Le temps s'arrête alors et le chagrin vous tue.Sans bien savoir pourquoi, je me sens attiré
Par vos batifolages, je veux les regarder.
Je vois tes cheveux longs se mêler à ses bras.
Par pitié, non, pas plus ! Cela me suffira...
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Poème à la con(ne).
ŞiirPoème écrit l'année dernière. Je voulais incarner un rmi parce que ça me faisais marrer