Heureux celui qui a su, qui m'a vu,
Et celui qui saura me deviner.
Les choses sont souvent invisibles à l'oeil nu,
Pour que seul ceux qui savent puissent les trouver.Mais pourtant j'appelle encore,
Et je cherche peut être à tort,
À l'aide de mes marins perdu,
Une carte qui me retrouvera.Si cet espoir je ne l'ai pas perdu,
Et esperons que je ne l'oublierai pas,
C'est qu'il me reste une petite braise,
Ou du moins, une étincelle.Une fois l'étincelle éteinte, il ne reste que l'amer,
Raison m'a perdue et ce, depuis l'enfance.
Des bouteilles à la mer,
Voilà ce que je lance.Dredre
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Poesya : Somnium Terra
PoetryParce qu'il faut parfois laisser les peines s'envoler et voyager vers d'autre terre... Parce qu'il faut parfois s'accorder la liberté de rêver... Car les mots sont des armes autant contre l'ennui que contre la peur... Car les sentiments ne s'exprime...