[MÍ AMOR ]

Partie 14

Salem wa aleykoum!

Bonne lecture ❤
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Plusieurs jours sont écoulés depuis l'arrivé du "cauchemar" comme l'avait nommé notre chère jeune femme .

Nous sommes maintenant au sein de l'établissement hospitalier où les tensions sont à leurs limites .

...: Qu'est ce que tu veux que t'explique ? Tout à était très clair ! Donc arrête de me parlé !!

...: Janaah écoute moi s'il te plait ! J'ai fais des erreurs certes mais tu peux pas me laissé comme ça.

Moi : T'est marrant toi, je suis mariée maintenant je n'ai pas ton temps! 

...: Jannah !  Je suis sincèrement désolé, je sais que j'ai vraiment merdé , j'ai besoin de toi ... Dit-il en s'avançant vers moi.

Moi: Arrête ! ne t'approche surtout pas de moi ! Dis-je en reculant .

Lui : Pourquoi tu recules? 

Moi: Pourquoi t'avances? Je t'ai dis de ne pas t'approché un point c'est tout !

Lui: Je veux te monter que j'ai changé!

Moi: J'ai pas besoin que tu me le prouve ! Je te connais assez pour savoir que tu changera jamais ! Dis-je en reculant encore une fois soudainement je me sens tombée vers l'arrière, je me retiens fortement sur la barre des escaliers , j'allais me redresser mais .... me tire vers lui ce qui fait que je suis maintenant dans ses bras !!!
Je le repoussé violemment et laisse un grand écart entre nous .

...: C'est comme ça qu'on me remercie .Dit-il d'un ton ironique.

Moi : Pourquoi devrais-je te remercié ? Pour tout ce que tu m'as fait peut être ? 

...: Jannah arrête.

Moi : C'est vrai, pourquoi je perds mon temps avec toi ? Dis-je en essayant de marché vers la porte , en tombant je me suis fait mal à la cheville,  je force sur celle-ci et le laisse seul dans les couloirs . Après ça,  je me dirige vers la salle de repos où très peu de personnes y étaient .

Je range mes affaires et dis en revoir à tout le monde puis grimpe dans la voiture.
J'allais démarré mais une douleur atroce qui provenait de ma cheville m'arrêta de tout mouvement . Je regarde celle-ci,  elle est légèrement gonflé et un bleu se trouve dessus .
Je soupire et démarre malgré les douleurs incessants...

[...]

Arrivée chez moi, je me gare et monte, je dépose mes clés de voiture et mon sac à l'entrée,  j'enlève avec difficulté mes baskets sans me faire encore plus mal .

Je m'allonge sur le canapé,  la maison était vide, je jette un œil à l'horloge qui indiquait qu'il était 17h30 passés. Emre allait bientôt rentré et les bras de Morphe m'ouvraient grands ses bras ...