Analyse d'un tableau

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Ce document est un dessin, réalisé par un auteur anonyme, le 19 mai 2018, aux alentours de 17h. Pour mener à bien son oeuvre, l'artiste a utilisé une feuille de papier bristol ultra blanc de 205 grammes, de taille A3 et de la marque Clairefontaine, ainsi que des marqueurs alcool de la marque Sharpie. Comme de nombreuses oeuvres, cette réalisation nous pousse à nous poser la question suivante : En quoi ce dessin dénonce les mœurs légères des générations antérieures ?
Dans un premier temps, nous ferons la description de cette oeuvre de qualité supérieure.
Ensuite, nous nous pencherons sur le message explicité par cette réalisation.

Tout d'abord, il est clairement visible que ce dessin est clairement composé de cinq parties, chacune étant clairement représentée par un personnage, et ces derniers étant clairement aussi méconnus que leur créateur. Chacune des parties représentent une faille de cette société dépravée, de ce monde sans foi ni loi, de cette vie qui n'est que dystopie, que ces hommes et femmes ayant depuis fort longtemps perdus leur âme. Mais nous développerons cela dans la deuxième partie. Les couleurs utilisées, la franchise et simplicité du tracé, ou encore la rugosité du support trahissent le coup de pinceau de cet auteur inconnu, même si cette oeuvre demeure sa seule et unique réalisation. Autrement, le côté péchu des visages ainsi que les nuances spirituelles des chevelures chatoyantes, démontrent l'attention toute particulière portée au faciès.

En ce qui concerne la tonalité critique de cette réalisation, de nombreuses interprétations sont possibles mais nous ne pouvons nous attarder sur toutes tant elles sont nombreuses, nous allons donc expliciter les principales. La vigueur et l'assurance largement visible de ce dessin démontre l'attention qu'a porté l'auteur à dénoncer la société de consommation ou encore les pensées misogynes, sexistes et phallocrates de nos aïeux. L'attaque vive et téméraire du feutre critique, quand à elle, le penchant pour les pensées obscènes et malsaines de nos idoles d'antan. En effet, l'audacieuse exagération outrageusement hyperbolique des abus de jadis manifeste le souhait de l'auteur, sûrement dû à son mépris, de capouner les erreurs de nos prédécesseurs.

En conclusion, cette oeuvre picturale a le mérite de mettre en évidence les axiomatiques et trop nombreuses extravagances du passé. La violence, l'agressivité, l'impétuosité, la provocation, la bravade, ou encore l'irrégularité irrégulièrement irrégulière des mentalités d'avant sont toutes critiquées ici. L'auteur condamne les générations antérieures et pousse les générations futures à prendre leur vie en main dès leur plus jeune âge.












L'oeuvre en question :

L'oeuvre en question :

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Je suis de la levure AlsaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant