Salut les gigolos. Déso je fais des chapitres philosophiques et déprimant sur pk la vie? ces derniers temps, mais.. bon enfait j'ai la flemme de donner une raison parce que y'en a pas. Peace
Je ne suis pas prête à affronter quoi que ce soit dans la vie. J'ai un gros malaise chez moi. J'ai déjà l'impression que ma famille me considère comme une incapable. Enfin non, car je sais qu'ils sont fiers de moi car je suis une bonne personne, je travaille bien, je suis intelligente et tout le bordel.. Mais dès fois je sens leurs regards sur moi qui sont très pesant. Ils me jugent pas, mais je me sens jugée. C'est flippant car si j'ai déjà l'impression qu'ils me jugent alors que je fais rien d'anormal, ça va être comment le jour où je trouverai le courage de vivre la vie que je rêve en mode "yolo fuck la société, jeu sui brizai par la vi".
De plus, hier j'ai vu l'interview d'une meuf qui disait qu'elle était prête à affronter les épreuves que la vie lui réservait. Qu'elle se décomposerait pas si que tout ce qu'elle avait construit disparaissait sous ses yeux. Elle savait qu'elle avait la force de tout refaire encore une fois, car c'est ça la vie : des putains d'épreuves MAIS MEC T'ES PAS PRÊT DE COMMENT TU VAS EN CHIER.
Et je me sens incapable de me battre comme elle se bat. Pourtant j'ai déjà vécu des épreuves dures (je ne dramatise pas ma vie, j'ai vraiment eu des périodes pas fifolles) et pourtant je m'en suis à peu près sortie (bon c'est pas encore ça aujourd'hui, la vie c'est dur dès fois mdrr (c'est pas drôle (je mets 'mdrr' pour détendre l'atmosphère (parenthèse dans parenthèse)))). Mais j'ai que 16 ans, donc c'est rien ce que j'ai vécu comparé à tout ce que je vais vivre, du coup si j'ai du mal à me relever de ce que j'ai vécu aujourd'hui, je vais faire comment plus tard en tant que grosse fragile de la vie ?Aussi, je comprends pas comment je peux être aussi heureuse lorsque je suis en "société" : au lycée, avec mes amis toussa je suis toujours celle qui parle le plus, qui rit le plus, qui crie tout le temps, qui tient pas en place. Et une fois que je rentre chez moi le soir et que je retrouve seule, "confrontée avec moi même" comme on me l'a si justement dit, j'y vois flou mdrr, je déprime. Dès fois le week-end j'essaie de me foutre une claque pour me motiver à faire quelque chose d'intéressant mais je finis toujours le dimanche soir à fixer le plafond de ma chambre en chialant telle la fragile que je suis car je n'ai rien fais de ma vie jusqu'à présent (oui j'adore exagérer un peu, juste un peu), car j'ai tout mes devoirs à faire, je n'ai ni lu, ni écris, ni joué la musique. J'ai des rêves d'artistes incompris (mdrr je me fais rire) mais je me donne pas les moyens d'y arriver.
J'ai envie de boire un café mais je suis trop fatiguée par la vie pour me lever, VOUS VOYEZ C'EST LA DÉCADENCE.
(J'aime cette performance plus que ma propre vie (je fou ça pour finir sur une note positive (la musique ça rend heureux))).
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