𝑵𝒐 𝑹𝒐𝒎𝒆𝒐 𝑵𝒐 𝑱𝒖𝒍𝒊𝒆𝒕.

Cinq • Changement de plan

BONNE LECTURE.

Street 69th.

— Te voilà enfin.

~ Ça dit quoi mon pote ?
dis-je en lui serrant la main

— La routine tu connais, bien Brayden ?

— Ça roule. répondit-il 

~ Allons voir Conor. m'avançai-je

— Eheheh non mec.. me stoppe-t-il
où est-ce que tu vas ?
dit moi d'abord l'info et
je te ramène à lui.

~ Richie on perd
du temps la.

— Dit moi mec.
insiste-t-il

~ Fais chier. Je boss pour Daniel et
ce mec à prévue de tous vous tuer
et ça dès ce soir.

— Qui me dit que je dois te croire ?
demande-t-il

~ Sérieusement, pourquoi
prendrai-je le risque de venir jusqu'ici ?

Il nous regardait longuement, et je commençais à m'impatienter, on perdait trop de temps.

— Allons-y.

Nous prenons les escaliers jusqu'au troisième étage.
Arrivé, il toqua à la porte puis nous entrons, à ma grande surprise, il n'était pas seul.

— Le voilà. dit Richie

— Le fameux Malakaï. dit Conor

~ Le vieux Conor.

— Pas si vieux que ça sourit-il
alors donne moi une bonne raison
de ne pas vous  flingué la tout de suite

~ Daniel à ordonné à ses gorilles
de vous flingué ce soir.

— Comment sais-tu ça ?
demande-t-il

~ Je boss pour lui.
avouai-je

— Et tu le trahis Malakaï,
pour le vieux Conor ?
il y a une couille la dedans.

— Aucune couille.
J'ai des bonne raisons,
tout simplement

— Les quels, dis moi ?

— Les mêmes que toi Conor.

Il ne répondit pas, il était très décontracté. Comme si ce que je lui avait dis, n'avait aucune importance. Il regardait brièvement ses hommes, qui eux étaient assez mitigés. Puis il posa ses yeux sur moi,

— J'aime quant on parle la même langue,
que me proposes-tu ?

~ Je gère tout,
ne t'inquiète pas.

— Très bien. Mais s'il s'avère que c'était un guet-apens ou quoique ce soit Kaï, je te retrouverais quoiqu'il en soit.

~ À ce soir.

______

Dans la nuitée. Le club.

-Vous avez toutes les instructions vous pouvez y aller. dit Daniel

Nous quittions la pièce , les mec descendis , et Brayden me pris a part.

-Kaï est tu sûr de ce plan ?

-Certain arrête de stresser , on y va.

Je descend les marcha et je croisa le regard de Laya qui danser sur le podium je détourna mon regard et sortis du club.
Les mec montèrent dans la premiere voiture moi et Bray dans la notre , l'ambiance était palpable moi j'étais assez confiant contrairement à Bray qui était anxieux. Après quelques minutes de trajet nous arrivions en fin.

-Allez bray. dis je en en ouvrant la portière je descendis et ouvris le coffre pour prendre les armes.

-Une suffit Kaï. me dit il

-Non deux chacun.

Après ça nous sommes entrer dans le bâtiment discrètement sans faire de bruit nous prenons les escaliers jusqu'au 2eme étage. Arrivé devant la porte Curtis donna le signale pour entrer il tira sur la poignée de la porte et poussa avec son pied.

-Personne ne bouge. cria t il

-Mais qu'est-ce que.

-Nous voilà enfin Conor. dit Curtis

-Curtis laisse nous brayden , Ricky Jason et moi ont s'occupe d'eux toi monte avec les autres il y'a sûrement d'autre negro.

-T'es sûr ? demande t il

-Vas-y.

Puis il quitta l'appartement avec les autres.

-Que les vrais choses commence. dis je

-Donnez moi vos armes. ordonna Brayden

-Qu..quoi ? qu'est-ce tu nous fais la negro ? dit Ricky

-J'ai dis donnez moi vos armes.

Ils donnèrent leurs armes puis les hommes de conor sortirent de l'appartement pour s'occuper du reste des membres.

-Occupez bien vous d'eux. dit conor en me tapotant l'épaule et quitta la pièce

-Mec j'comprend pas la qu'est-ce tu nous fais la ? dit Jason

-Joue pas à ça negro , rappelez vous bien il y'a 8ans. répondis je en braquant mon arme

Les deux se regardèrent puis me regardent à nouveau.

-C'est bon votre mémoire est revenu ?

-C'était pas notre plan mec-

Je ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase et le cribla de balle.

-A ton tour Jason.

-Moi.. je.. c'était pas mon plan j'voulais pas. bégaye t il

-Pourquoi tu l'a fais alors ? j'ai perdu 8 putain d'années dans une prison pour un crime que je n'ai pas commis vous étiez complice , mes propres potes étaient complice avec l'homme qui voulais ma peau.

-Kaï frérot-

-Va au diable. dis je en lui tirant une balle entre les deux yeux

-Comme on dit parlez du diable et vous en verrez bande de fils de pute ! on y va bray.