Fiche Événement #4 Apparition D'ovni

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Ouais je me modernise, en vrais j'avais trop envie de faire sur des fiches les extraterrestres car *roulement de tambour* j'y crois ! Mais pas au petit être vert qui est juste derrière toi et qui te fixe avec ses gros yeux... Tien un ovni de devrais courir. Bref. Je crois que nous ne sommes pas là seul forme de vie dans tout l'univers.

Un objet volant non identifié, généralement désigné sous l'acronyme ovni, désigne un phénomène aérien qu'un ou plusieurs témoins affirment avoir observé sans avoir pu l'identifier, ou encore une trace qui peut avoir été enregistrée par différents ...

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Un objet volant non identifié, généralement désigné sous l'acronyme ovni, désigne un phénomène aérien qu'un ou plusieurs témoins affirment avoir observé sans avoir pu l'identifier, ou encore une trace qui peut avoir été enregistrée par différents types de capteurs (caméra vidéo, appareil photo, radar, etc.) mais dont on ne connaît pas l'origine ou la nature exacte.

Le sigle anglais UFO (unidentified flying object) fournit la racine du mot « ufologue », qui est la personne étudiant le phénomène ovni. La discipline qui en découle est l'ufologie. Le « soucoupiste » désigne un amateur qui croit au phénomène ovni par opposition aux ufologues qui défendent une approche scientifique et rigoureuse. Les ovnis sont parfois désignés sous l'acronyme MOC, « mystérieux objet céleste ». 

Bon, à la base là. 

 La France,  a créé plusieurs organismes de recherche sur le sujet

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 La France,  a créé plusieurs organismes de recherche sur le sujet.  (Oui, comme en Amérique).

Le Groupe d'étude des phénomènes aérospatiaux non identifiés (GEPAN) était un organisme officiel dépendant du CNES situé à Toulouse et chargé de l'étude du phénomène ovni. Créé en 1977 sous l'ordre de Claude Poher, cet organisme avait pour but de réaliser des études sur le phénomène ovni et de coordonner les rapports de la gendarmerie nationale, l'aviation civile, l'armée de l'air et Météo-France en la matière. Une autre de ses missions était d'informer le public sur les ovnis, en rédigeant les Notes techniques. Son premier président fut Claude Poher, de 1977 à 1978. Au début, celui-ci était seul avec une secrétaire à s'occuper du GEPAN, mais bénéficiait cependant de la collaboration officieuse d'autres membres du CNES. Il réussira, malgré tout, à obtenir plus de moyens et de personnel. En 1978, le GEPAN compte une dizaine de membres et est supervisé par un conseil scientifique de sept savants et ingénieurs. Par ailleurs, d'autres scientifiques français intéressés par les ovnis collaborent avec le GEPAN, comme Jean-Pierre Petit, et Poher noue des contacts avec certaines associations ufologiques. Le 30 décembre 1978, Poher, démissionnaire, est remplacé par le mathématicien Alain Esterle, qui sera directeur du GEPAN jusqu'à sa démission en 1983. La direction d'Esterle correspond à la période faste du GEPAN. Les crédits augmentent et Esterle dynamise l'activité de l'organisation, laquelle travaille alors à pleine vitesse. En 1983, la hiérarchie du CNES oblige Esterle à la démission. Jean-Jacques Velasco, spécialiste en optique, le remplace au poste de directeur, entre 1983 et 1988. Le GEPAN est alors contesté. Beaucoup de savants rationalistes contestent la raison d'être du GEPAN, tandis que les ufologues critiquent la réserve et la prudence qu'observe l'organisme sur les ovnis. De plus, le CNES diminue son soutien au GEPAN. À partir de 1983, le Conseil scientifique est supprimé, la publication des Notes techniques arrêtée et l'activité de l'organisme s'essouffle. Finalement, en 1988, le GEPAN est remplacé par le SEPRA.

Le Service d'expertise des phénomènes de rentrée atmosphérique (SEPRA) avait deux objectifs : prévoir et étudier les rentrées atmosphériques de météores et de satellites et analyser les informations concernant les PAN (phénomènes aérospatiaux non identifiés, dénomination officielle des ovnis au CNES). En 2000, l'étude des rentrées atmosphériques lui fut retirée, l'obligeant à se consacrer uniquement à l'étude des PAN. Contrairement au GEPAN, le SEPRA n'a jamais été doté de vrais moyens de mener des investigations rigoureuses, et n'a jamais publié de notes techniques pour rendre publiques ses conclusions. Le SEPRA ne pouvait pas engager des enquêtes scientifiques de son propre chef, mais avait accès à tous les rapports de gendarmerie sur les ovnis, ainsi qu'aux dossiers des compagnies aériennes sur les observations effectuées par leurs pilotes. En 2001-2002, le CNES, désireux de supprimer le SEPRA, lança une vague de protestation auprès de trente-trois personnalités scientifiques, politiques et militaires, sur la nécessité d'étudier le phénomène ovni. Le résultat de cet protestation, il sauve provisoirement le SEPRA. Cependant, en 2004, officiellement à cause de sa réorganisation interne, le CNES décida de supprimer le SEPRA, mais la vraie raison était la prise de position de M. Velasco en faveur de l'origine extraterrestre de certains ovnis et à la publication d'un livre. Le SEPRA renaîtra cependant de ses cendres en 2005 sous le nom de GEIPAN.

Le Groupe d'étude et d'information sur les PAN (GEIPAN) est placé sous l'égide d'un comité de pilotage qui donne au CNES ses recommandations sur ses orientations et son fonctionnement. Présidé par Yves Sillard, ancien directeur général du CNES, il comprend quinze membres, représentant les autorités civiles et militaires françaises et le monde scientifique. Parmi les quelque mille six cents cas présents dans les dossiers du CNES, certains restent inexplicables « en dépit de la précision des témoignages et de la qualité des éléments matériels recueillis », après enquête du GEIPAN. Ces cas sont désignés sous l'appellation de « phénomènes aérospatiaux de catégorie D, divisée en deux sous catégories D1 et D2 » ou « PAN D ».

De cette étude menée par des enquêteurs du GEIPAN, ressortent les chiffres suivants en avril 2010 :

9 % de cas parfaitement identifiés avec preuve à l'appui (catégorie A) ;

28 % de cas probablement identifiés sans preuve formelle (catégorie B) ;

41 % de cas non identifiables par manque de données physiques et/ou imprécision des témoignages (catégorie C) ;

22 % de phénomènes non identifiés (catégorie D, divisée en deux sous catégories D1 et D2).

On note que beaucoup de cas sont non élucidé... Je t'ai dit derrière toi il y a un alien. 

Témoignage : 

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Témoignage : 

Le 26 juin 1947, Kenneth Arnold, pilote américain, raconte sur une radio de Pendleton, dans l'Oregon l'observation qu'il a faite quarante-huit heures plus tôt alors qu'il volait dans son avion privé près du mont Rainier, dans l'État de Washington. Il rapporte avoir vu le 24 juin, sans pouvoir les identifier, neuf objets en forme de galets plats, très brillants et très rapides, volant en direction du Mont Adams depuis le Mont Rainier. Il estime leur longueur entre douze et quinze mètres et leur vitesse à au moins 1 800 km/h. Ils volaient, déclare Arnold, « comme des oies, formant une chaîne en diagonale comme s'ils étaient attachés l'un à l'autre, en un mouvement sautillant, analogue à celui d'une soucoupe ricochant sur l'eau ». 

Et je fini ici car cette fiche est déjà assez longue comme ça, mais la photo juste au dessus là, elle fait tellement pas crédible ! C'est un nuage ! 

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