Chapitre 9

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Lycée Jean-bonbeur
Lundi 16 octobre
15h05 arbre de la cour

   Je dois dire qu'un peu de calme ne fait pas de mal, faut dire aussi que le week-end était un peu trop chargé et stréssant pour moi et Ted, d'une part on a chacun eu quelqu'un qui attendait devant nos maisons, pas la même personne ça s'est sûr,  mais bon on est surveillé et j'aime pas ça, d'autre part, je suis suivi, par qui, ou quoi car j'ai cru une fois apercevoir deux yeux jaune m'observé, le point positif c'est que je m'entend de mieux en mieux avec Laura, par contre Ted arrête l'enquête, ça devient trop dangereux, je suis d'accord,  je vais peut être m'arrêter aussi et juste faire copain/copine avec Laura.

Ted : yo Thym ! Esque ça va ? Pas facile ce week-end hein ?

Thym : ouaip, c'est sur, j'espère que ça va se calmé si on arrête tout les deux de mené des recherches.

Ted : surement...

Thym : mais bon, ce qui m'énerve c'est que ça va faire une semaine qu'on a pas vu Marrine et sa soeur... j'aime pas ça... ou sont elle ?

Ted : j'en sais pas plus que toi mec...

Thym : putain je viens d'y pensé ! On pourrait allé...

Ted : je t'arrête tout de suite ! On va encore se mettre dans la merde et puis la polive a déjà fouillé la maison !

Thym : oui c'est vrai mais...

Ted : laisse tomber Thym... tout ce que tu va découvrir au bout de ce mystère c'est la façon dont tu va mourir...

   Ted avait pas tord il fallait calmé le jeu, ça devient trop dangereux, la police n'a rien trouvé, quesque deux gamin peuvent bien faire.

   Laura c'est approché de nous avec Lucie, elle nous on demandé comment ça allé, on ne pouvait pas leur parlé des gens qui nous suivez, je voulais pas risqué leurs vie à elle aussi, nous avons continué à discuté tout les quatre jusqu'à la sonnerie.

   Arrivé dans les couloirs, j'ai eu une crise de panique, je tremblé, j'avais le front en sueur, j'avais froid et pire que tout je senté ce regard braqué sur moi, ma tête tourné, fallais que je me calme, je suis allé au toilette pour me rafraîchir le visage, j'ai fait coulé l'eau du robinet et plongé mes mains pour m'aspergé la tête, à chaque fois que je relevé la tête j'avais peur de voir apparaitre quelqu'un derrière moi, mais bon, heureusement il n'y avait personne, ouf !

   Je me suis dirigé vers la porte, quand je l'ai ouverte, Léa se tenait devant moi... attend ? Léa est au lycée Geneviève, uniquement pour fille, quesqu'elle fou là ?

   Je la regardé, elle était là, fixe, ne fesant pas le moidre geste, les yeux vide.

Thym : salut Léa !  Quel bon vent t'amène ?

Léa : ...

Thym : tu n'est pas à ton lycée ? Et comment es-tu entré ?

Léa : ...

Thym : bon tu m'excusera mais j'ai cour là !

   En voulant passé, Léa me projeta en arrière avec une facilité déconcertante par apport à sa faible carrure, je m'écrasa contre un lavaboet senti mon épaule craqué.

Thym : aaah ! Putain tu m'a pété l'épaule, quesque tu me veux !

Léa : il faut que tu arrête ton petit jeu !

   Elle avait la voix vibrante

Thym : quel petit jeu ! De quoi tu parle !

Léa  : tu dois arrêté ton enquête !

l'âme reflète la personnalité Où les histoires vivent. Découvrez maintenant