Voici le premier extrait écrit par Emma Ortiz (aucune reproduction n'est autoriser si l'oeuvre et l'auteur n'apparaissent pas, je vous met quelque ligne et vous laisse découvrir la suite sur le site.
Le dernier soir
Elle passait sous les lampadaires échasses, et se sentait minuscule. Elle aurait voulu l'être, minuscule et invisible. Du moins, à ce moment-là. Un homme était arrivé dans une voiture volée ; une voiture de police à la jambe de bois, et avait sorti deux gros sacs d'armes. Elle assistait alors à un événement spécial : un festival. Il avait choisi ce moment pour frapper et instaurer la terreur. Elle croisa son regard froid, glacial même, et se dit qu'il allait se passer quelque chose. Il sortit un fusil et tira d'innombrables fois sur la foule. Le soleil invincible de la journée avait laissé place à un grand écran étoilé et à une lune éclatante, si bien qu'elle avait pu voir son visage. Elle pourrait donc le reconnaître. Il tira encore et encore pendant qu'elle décidait de s'enfuir. Les hommes titubants essayaient de partir pour se réfugier, en laissant derrière eux, femmes et enfants au sol.
Alors, cela vous plait?
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Les Heurts Propices
PoésieC'est ouvrage n'est pas une histoire mais un recueil de poésies, cette année je suis en seconde dans un lycée de Corse, au cours de cette année notre professeur de français, qui était en contact avec un de ces proches amis qui c'est lancé dans la...